Les gens qui restituent la lumière, bonheur du photographe
Il y a un an, mon fils m'avait répondu "Laisse-moi partir" quand j'avais voulu lui arracher un dernier portrait avant la douane à l'aéroport. C'est un autre homme qui est revenu d'Australie.
Vous n'êtes pas obligées de sourire, contrairement à ce que dit votre mère ...
L'air perdu dans ses pensées, bonheur du photographe
Combien de cicatrices photoshopées ?
Metallica Girl
Dis-moi ce que tu portes à la soirée fluo, je te dirai qui tu es
Bientôt payés pour acheter
La photo est belle mais moi chuis moche dessus. Tu vas pas la mettre dis, Papaaaa ?
L'ASSOCIATION UNEPARJOUR EST NEEEEEEEEEE !
Mon ego aime les photographes. Mon subconscient les aime aussi. Mais je ne suis pas photogénique
J'en déduis qu'il suffit d'aimer pour être aimé ?
Un dimanche à la campagne. Infinie
Then fuck the fuckers so that the world keeps spinning on itself
C'est dans le Japon du XVIIe siècle que se trouvent les origines de l'analyse technique en finance: les producteurs de riz cherchaient à stabiliser leurs revenus en vendant leur production à l'avance. Ils ont développé pour ce faire des contrats à terme. En observateur averti des fluctuations du cours du riz, un certain Munehisa Homma a répertorié sous forme de rectangles verticaux le cours du riz à l'ouverture et à la fermeture de chaque séance journalière. Si ce dernier était supérieur au premier, le rectangle était vert. Dans le cas contraire, la couleur du rectangle virait au rouge. Homma a rajouté un trait aux extrémités supérieures et inférieures du rectangle, dont la longueur était donnée par, respectivement, le cours maximum et le cours minimum enregistrés durant la séance. Avec ces « mèches », la technique des « bougies japonaises » était née - une source de grande richesse pour Munehisa Homma, qui lui vaudra le surnom de « Dieu des marchés ».
Je n'ai toujours pas compris pourquoi, lorsque vous portez un badge, les gens préfèrent le regarder plutôt que de vous demander votre nom, en vous regardant dans les yeux.
Le contact, bonheur du photographe
C'est interdit, mais qu'est-ce que c'est bon Monsieur !
Plus de problème de transpiration
Farewell kiss
Il y en a un qui triche
Il n'y a que dans les rêves que l'on va voir son patron, dans le plus simple appareil sans être stressé.
Allah est plus grand que leurs désirs
Conduire le nez dans les étoiles, rêve de photographe
Rêves de Suisses
... livre dont je ne vois plus le moment qu'il soit dans les mains de l'éditeur
Au Gelert, bains mythiques de l'hôtel homonyme
Mon S100 a rendu l'âme. Opte pour un 3ème oeil Danube-proof
Laszlo a fuit la Hongrie en 1956, à l'âge de 17 ans, en sautant d'un train qui longeait l'actuelle Croatie. "Pour éviter de me faire les poteaux au bord de la voie, j'ai plongé sur l'un d'eux. De sauter d'un train qui roule à 80 km/h, ça t'aide ainsi à l'éviter".
Quelques semaines avant de fuir, Laszlo s'était ouvert de son projet à un prêtre de sa paroisse, à Pécs. Celui-ci lui avait fait cadeau de 1000 Forints.
Depuis, Laszlo rembourse sa dette envers l'église chaque fois qu'il retrouve la cathédrale de Pécs.
Rock au Titika
En guise de lampions