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machine temporelle

Nous sommes fliqués, pour motre plus grand "bonheur"

La science met à la disposition des autorités des Etats, mais aussi des particuliers, des outils de surveillance qui dépassent en efficacité et en perversité ceux des œuvres de science-fiction les plus cauchemardesques. Pas un recoin de notre intimidé ne pourra demeurer inviolé. 

Depuis le développement d'Internet, et plus encore depuis l'arrivée des smartphones, le mantra orwellien, « Big Brothers is watching you », est repris un peu partout. Cette paranoïa ambiante, parfois teinté d'un humour fataliste, en dit long sur le sentiment qu'ont nos contemporains de vivre en dictature, sous une surveillance permanente. 

Dans le roman d'Orwell, l'outil technique utilisé s'appelle un « télécran », une caméra installée dans le salon des particuliers dont les images sont visionnées par les agents du Parti. Mais on comprend assez vite que les pires délateurs, les surveillants les plus pointillieux, sont les citoyens eux-mêmes, qui se scrutent les uns les autres. 

Nous y sommes. La science investit les moindres recoins de la psyché humaine.

[Jean-Louis Claude]

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