GE
Ce kaki qui m'offre sa chair me renvoie à ces vers sublimes de Gide sur la figue:
" Heureux qui, jeune encore, a mordu votre chair encore sûre et sucé, figues, votre lait parfumé d'amour, sans plus attendre... pour courir après, rafraîchi, sur la route ââ¬â où nous achèverons nos pénibles journées. " André Gide - Les nourritures terrestres
[Michel Bruno]