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La femme que j'aurais pu être: tout commence au marché aux puces pour Solo-Mâtine. En chinant, elle rassemble douze portraits de femmes, dont l'expression la touche. Chaque mois, elle se transforme en l'une d'elles, uniquement grâce au maquillage et à la coiffure. Elle imagine leur histoire, leur journal intime, et leur donne une vie virtuelle sur les chats de msn. Troublant.
[Michel Bruno]