GE - Une photo par jour
hhhhhhhhhhhhhSELECT o.*, m.titre_f AS module_titre , m.choix_themes AS module_choix_themes , m.id_module AS auteur_id_adresse , m.id_module AS auteur_id_adresse , m.titre_f AS auteur_titre , m.url_texte_f AS auteur_reference_rec_repertoire FROM netop_global_objet AS o INNER JOIN netop_global_module AS m ON o.objet_auteur_code = m.code_auteur WHERE 1=1 AND objet_auteur_code = 'upj_ericpijnaken' AND objet_date = '2012-02-29' numero=232
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machine temporelle

JOUR: Liberté bridée: démonstration contre le traité ACTA qui mine l'internet en faveur des grandes sociétés.

Ce jour une photo de reportage STOP ACTA. 

 

CONTENU DU FLYER 

 

La liberté d'expression est en jeu. ACTA va rendre les fournisseurs d'accès à internet (FAI) et les hébergeurs légalement responsables de ce que leurs utilisateurs font en ligne, les transformant en « Juge et Police Privée » forcés de censurer leurs propres réseaux , avec des énormes conséquences sur la liberté d'expression. 

 

L'industrie du divertissement sait qu'il est impossible d'arrêter le partage de fichiers sans détruire Internet. Mais avec ACTA ils utiliseront le « piratage » comme excuse pour filtrer et contrôler chaque contenu que vous pouvez voir, entendre ou lire sur internet. 

 

Au nom des brevets ACTA donnera aux grandes sociétés le pouvoir d'arrêter la production de médicaments génériques avant qu'ils n'atteignent les personnes qui en ont besoin, et d'arrêter l'utilisation de certaines semences pour l'agriculture leur donnant contrôle sur la chaine de production alimentaire. 

 

Cela implique que ACTA est une arme « anti-démocratique ». 

En mettant la pression sur n'importe quel fournisseur d'accès à internet, ou tout prestataire de services, les industries du divertissement sont en mesure de forcer à filtrer le net, supprimer des contenus et bloquer l'accès aux utilisateurs, en ignorant leurs droits, le tout sans passer par la case juridique et sans l'approbation d'un juge. 

 

Suite à une forte mobilisation dans leurs pays, la Pologne et la République Tchèque ont gelé leur processus de rectification du traité.

[Eric Pijnaken]

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