GE - Une photo par jour

Francis Traunig



un mois d'images

Pour parcourir les images de l'auteur: la présence de l'auteur au long des années du site est visible et cliquable sur la droite.

  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2015
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2016
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2017
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2018
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2019
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2020
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2021
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2022
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2023
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2024

Octobre 2010

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1616_g2.jpg

31.10.2010 - Toulon - 08 heures 36

"Aquaparc, un parc familial par excellence. Découvrez nos attractions adaptées à toute la famille !

Aquaparc, faites le plein de sensations. Plus d'1 km de descente, dont les chutes orange et rouge pour les plus téméraires d'entre-vous !"

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1615_g2.jpg

30.10.2010 - Palombaggia - 14 heures 48

...

Pourquoi Breton s'est-il cru Pape ?

Où va le vent quand il se repose ?

Pourquoi n'écrit-on pas impossible : un possible ?

Pourrait-on - se dévouant une vie entière - apprendre le mot consensuel à un singe ?

Et si le big-bang n'était qu'une éjaculation au fond du ventre d'une femme qui s'appelle Univers ?

Et si si n'existait pas ?

Resteraient les fils de soie dans le paysage que les oiseaux emportent.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1614_g2.jpg

29.10.2010 - Palombaggia - 11 heures 15

...

Pourquoi le plaisir naît-il du mouvement ?

Si sur le gâteau de la copulation ne trônait pas la cerise de la jouissance, les corneilles (ou les rats) auraient-ils pris le pouvoir dans les ministères ?

A-t-on déjà vu un oiseau mourir de vieillesse en vol ?

L'obstination de la mer qui fait d'un roc du sable.

Connaître les prévisions de la météo rend-il sourd ?

...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1613_g2.jpg

28.10.2010 - Palombaggia - 16 heures 25

...


L'eau jamais ne dort.

Le rire - face à l'abject - est-il l'ultime parade qui nous empêche de retourner à l'état sauvage ?

Est-ce que l'araignée sait qu'elle tisse des toiles ?

Pourquoi les mots ne nous répondent pas lorsqu'on les appelle ?

Peut-on être généreux si on n'a jamais reçu ? Aimant sans jamais avoir été aimé ? Peut-on être sans jamais avoir été ?

...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1612_g2.jpg

27.10.2010 - Palombaggia - 16 heures 50

...

Pourquoi, pourquoi ?

Est-ce que ce sont les mains du vent qui donnent aux branches des arbres leurs formes ?

Pourquoi le soleil du soir ébouriffe-t-il l'âme ?

La pluie, jamais n'a tort.

Pourquoi la fin du monde et la braise d'un renouveau inespéré sont-ils contenus tout entier dans la lumière de cette journée unique ?

...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1611_g2.jpg

26.10.2010 - Palombaggia - 11 heures 06

...

Qui guide le pic-vert vers l'insecte sous l'écorce ?

Pourquoi la banane n'est elle pas l'orange ? le fleuve, la table ? et l'air les cils ?

Faut-il craindre d'être dévoré par le doute si c'est la pensée qu'on nourrit ?

Avoir le temps au poignet, nous en fait-il gagner ?

...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1610_g2.jpg

25.10.2010 - Porto-Vecchio - 12 heures 31

?dans la seule librairie de la ville, tiraillé par un impérieux besoin :

-Bonjour Madame, le rayon poésie, s'il vous plaît ?

-Poésie ? Mais rien?enfin presque. Quelques livres que je m'apprête à retourner, ils sont là-bas, derrière le pilier.

Et derrière le pilier, sur le sol, écrasés par des livres de cuisines et de bricolages, une dizaine de poètes en poche, dans un carton, attendent d'être réexpédiés chez Gallimard. Je sauve Marina Tsvétaïva de cet affront.

Rafale, rafale
Aux mille pétales,
Aux mille coupoles,
Rafales-la-folle !
Toi une, toi foule,
Toi mille, toi râle,
Rafale-la-Saoule
Rafale-la-Pâle (?)

Et fouaille les cendres de ses mots à la recherche de braises. Mais rien. Rien que je comprenne et me touche. Rien qui soit commun à nos mondes sinon ce Moi-Je, siège de toutes les douleurs où viennent gémir les tempêtes de l'Epoque.

Merde, je vais laisser les mots dans les livres, pour aller me promener et me saouler de l'odeur des pins mouillés?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1609_g2.jpg

24.10.2010 - Palombaggia - 12 heures 31

Un correspondant de guerre a sa mise - sa vie - dans ses mains, et il peut choisir de la risquer sur tel ou tel cheval, ou il peut refuser de la jouer à la toute dernière minute. Je suis un joueur.

Robert Capa

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1608_g2.jpg

23.10.2010 - Palombaggia - 17 heures 41

Une carte postale, brutalement, me barre le chemin.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1607_g2.jpg

22.10.2010 - Méditerranée - 21 heures 53

Une entrainante musique cubaine fait vibrer les fauteuils.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1606_g2.jpg

21.10.2010 - Genève - 18 heures 59

Attention de d'zou, le petit gros zoiseau va sortir...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1605_g2.jpg

20.10.2010 - Genève - 12 heures 15

Fûmes-tu...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1604_g2.jpg

19.10.2010 - Genève - 07 heures 46

Bois-tu...

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1603_g2.jpg

18.10.2010 - Genève - 08 heures 00

Pouvons-nous vous prier de déclarer clairement si Dieu existe ou non ?

Monsieur, pourquoi voulez-vous le savoir ? Quelle différence cela vous ferait-il que je le déclare clairement ou non ? Je vous confirmerais dans votre croyance, ou je vous ébranlerais dans votre croyance. Si je confirmais votre croyance, vous seriez content, et vous continueriez à vivre selon vos habitudes, aimables et hideuses. Si je vous troublais, vous diriez : " Oh ! cela n'est pas important ", et malheureusement vous continueriez aussi à être tel que vous êtes. Mais pour quelle raison voulez-vous savoir ? Voilà qui est plus important que de découvrir si Dieu existe ou non. Pour connaître Dieu, Monsieur, pour connaître le réel, il ne faut pas le chercher. Si vous le cherchez, c'est que vous fuyez ce qui est; et c'est pour cela que vous demandez si Dieu existe ou non. Vous voulez échapper à votre souffrance, fuir dans une illusion. Vos livres sont pleins de divinités, chaque temple est plein d'images faites par la main; mais il n'y a pas de Dieu, parce que ce ne sont là que des évasions hors de votre souffrance. Pour trouver la réalité, ou, plutôt, pour que la réalité entre en existence, la souffrance doit cesser ; et simplement chercher Dieu, la vérité, l'immortalité, c'est fuir la souffrance. Mais il est plus agréable de discuter si Dieu existe ou non que de dissoudre les causes de la souffrance, et c'est pour cela que vous avez des livres innombrables traitant de la nature de Dieu. L'homme qui discute sur la nature de Dieu ne connaît pas Dieu, parce que cette réalité ne peut pas être mesurée, elle ne peut pas être captée dans des guirlandes de mots. Vous ne pouvez pas saisir le vent dans votre poing; vous ne pouvez pas capturer la réalité dans un temple, ni en faisant puja, ni au cours d'innombrables cérémonies. Ce ne sont là que des évasions, comme boire de l'alcool. Vous buvez, vous vous enivrez parce que vous voulez vous évader ; de même, vous allez dans un temple, vous faites puja, vous suivez des rituels �ou ce que c'est que vous suivez � et c'est afin de vous évader de ce qui est. Ce qui est, est la souffrance, cette perpétuelle bataille contre soi-même, donc contre un autre; et tant que vous ne comprenez pas et ne transcendez pas cette souffrance, la réalité ne peut pas entrer en vie. Donc votre interrogation au sujet de l'existence ou de la non-existence de Dieu est vaine, n'a aucun sens, ne peut mener qu'à une illusion. Comment un esprit qui est prisonnier de l'agitation quotidienne, de l'affliction et de la souffrance, qui est ignorant et limité peut-il connaître ce qui est sans limites, indicible ? Comment ce qui est le produit du temps peut-il connaître l'intemporel ? Il ne le peut pas. Il ne peut même pas y penser. Penser à la vérité, penser à Dieu est encore une forme d'évasion; car Dieu, la vérité, ne peut pas être saisi par la pensée. La pensée est le résultat du temps, d'hier, du passé ; et étant le résultat du temps, du passé, étant un produit de la mémoire, comment la pensée peut-elle trouver ce qui est éternel, intemporel, immesurable ? Comme elle ne le peut pas, tout ce que vous pouvez faire c'est libérer l'esprit du processus de pensée ; et pour libérer l'esprit du processus de pensée, vous devriez comprendre la souffrance et ne pas la fuir � la souffrance non seulement sur le plan physique, mais sur tous les plans de la conscience. Cela veut dire être ouvert, vulnérable à la souffrance, ne pas se défendre contre la souffrance, mais vivre avec elle, l'embrasser, la regarder. Car vous souffrez maintenant. Vous souffrez du matin au soir, avec un rayon de soleil occasionnel, avec une éclaircie occasionnelle dans le ciel nuageux. Or, puisque vous souffrez, pourquoi ne pas considérer cela, pourquoi ne pas y entrer pleinement, profondément, complètement et le résoudre ? Cela n'est pas difficile. La recherche de Dieu est beaucoup plus difficile, parce que c'est l'inconnu, et vous ne pouvez pas aller à la recherche de l'inconnu. Mais vous pouvez rechercher la cause de la souffrance et la déraciner en la comprenant, en en étant conscient, non en la fuyant. Puisque vous avez fui la souffrance au moyen de différentes évasions, examinez toutes ces évasions, mettez-les de côté, et arrivez face à face devant la souffrance. En comprenant cette souffrance, il y a un affranchissement.

Krishnamurti: Dieu existe-t-il ? (Entretiens de Saanen)

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1602_g2.jpg

17.10.2010 - Marchissy - 14 heures 29

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1601_g2.jpg

16.10.2010 - Genève - 11 heures 44

Dieu est si bon de nous faire croire que notre habileté de restituer le monde passe par l'acuité de nos regards. Dieu est si bon de nous laisser jouer avec ses créations dans le bac à sable du temps. Dieu est si bon de nous avoir mis les mots dans la bouche qui permettent de le remercier infiniment d'être vertical et désirant, et de l'engueuler quand les choses tournent mal. Dieu est si bon de ne pas trop nous en vouloir lorsque le Diable nous raconte que Dieu lui-même n'est qu'une chimère au même titre que fumer modérément, finalement, ne tue pas tant que ça malgré les mises en garde qui ornent les paquets de cigarettes. Dieu est si bon d'avoir fait pleuvoir sur une table et d'avoir permis au singe, création divine, de descendre de l'arbre, de se mettre en marche à quatre pattes et de se rendre compte que sur deux pattes il voyait plus loin, de découvrir le feu, le bronze, de domestiquer les autres créatures divines, de les trouver à son goût, d'inventer la roue, les ponts, les arbalètes et les spoutniks et finalement les appareils photos compacts numériques, le canon S 95 en particulier, et de permettre au singe la pratique photographique?

Merci beaucoup, en tout cas?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1600_g2.jpg

15.10.2010 - Genève - 07 heures 49

?tous les piétons (mâles) que je croise marchent en regardant derrière eux, certains se déplacent en crabes, d'autres en se dévissant littéralement la tête. Cet ahurissant spectacle, qui transforme la rue en scène de danse contemporaine, investit mon imaginaire au point de négliger la cause de toutes ces virevoltes. Jusqu'au moment où je vois ce qu'ils voient : une Elfe blonde bottée comme Barbarella déterminée de faire de ce vendredi un jour unique.

Je lui cours après mais l'émoi rend flou?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1599_g2.jpg

14.10.2010 - Genève - 20 heures 13

Père et fille?


?à quelques pas de là, l'orchestre RECUPEREETFILS fait se dodeliner crescendo le public venu assister à la remise des prix de l'expo photo : LA VILLE EST A VOUS. On boit. On se regarde, on se sourit. On risque une phrase gentille. On boit encore. Fontaine à bière. Poissons au fromage. Une femme en engloutit six à la suite. On bouge un peu plus. Une truite se débat dans un lavabo (?). Un homme déclare vouloir enlever une de ses chaussures et se tenir à cloche-pied. Il veut être photographié, déclare : « Quand on a une idée dans la tête, il faut la réaliser, ne pas s'encombrer de projets. Faire. Réfléchir après. Voilà. Merci. Au revoir ». Quelqu'un, plus loin, dit : « Les gens ne savent pas se lâcher ». Une femme, seule, danse comme un peuplier dans la brise. Un sourire survole la rue avec des battements d'ailes de papillons - ailes grandes comme des raquettes de tennis.

Merci, au revoir !

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1598_g2.jpg

13.10.2010 - Genève - 10 heures 13

-Bouge pas, bouge pas�
-Dépêche
-Génial, génial
-Arrête
-Génial, la lumière est � bouge pas
-Ouais
-Ouais, c'est bien, hein ? c'est bien, hein ?
-Arrête ton shoot, c'est plus toi-même que moi que tu cherches à convaincre, allons boire un café�

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1597_g2.jpg

12.10.2010 - La Roche Saint Secret - 15 heures 28

A la Roche Saint Secret, un nouveau sport de glisse est né : la luge des champs. Très rapidement devenu une des activités les plus prisées de la région, (En dehors de la porterie), ce sport draine des amateurs de sensations fortes de tous horizons. Il plaît particulièrement aux parents qui refusent le politiquement correct et l'éco-culpabilité.

Ces sportifs aiment boire et manger, font du bruit à table en riant et adorent la confiture de figue.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1596_g2.jpg

11.10.2010 - Genève - 19 heures 11

Igor et Igor.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1595_g2.jpg

10.10.2010 - Servion - 15 heures 06

« Vaches et génisses se sont partagées la vedette samedi au Boéchet pour la 22ème désalpe, la seule dans le Jura. Les bêtes et leur propriétaire ont parcouru une dizaine de kilomètres depuis la Combe à la Biche, juste en dessous de Mont-Soleil.
Ensuite, elles ont pu regagner leurs étables pour l'hiver. Toutes sont décorées de fleurs en papier, de cloches ou d'autres décorations de toutes les couleurs ».
Sources actu RJB

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1594_g2.jpg

09.10.2010 - Troinex - 20 heures 22

"J'admettais enfin que ma vie n'était pas une histoire que je me racontais, mais un compromis entre le monde et moi."

Simone de Beauvoir

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1593_g2.jpg

08.10.2010 - Genève - 13 heures 14

Il y a trois choses que j'aime s'exclama X au sortir de sa transe : faire l'amour sur la sonate à Kreutzer, regarder la météo sur Antenne 2 et l'odeur des patates au moment où on les arrache à la terre.

Moi, répondis-je, pour ne pas paraître en reste, j'aime boire des cocktails d'ovules de truite mêlés de fleurs de genévriers, faire l'important aux vernissages de mes amis artistes en refusant d'être présenté aux hommes politiques et acteurs culturels qui viennent se faire voir, parce qu'il y a toujours un électeur derrière un bol de cacahouètes, et enfin, lire VOICI pour faire croire ce que je ne suis pas.

Au même moment, un cri perçant, comme la plainte d'un animal qu'on égorge sema la confusion à notre échange, et c'est avec une feinte nonchalance que chacun s'en retourna à ses préoccupations.

Alors que quelqu'un, quelque part, se faisait ensemencer ses rêves?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1592_g2.jpg

07.10.2010 - Genève - 19 heures 13

« Il y a toujours un rêve qui veille » est vernit dans le pied-à-terre que Voltaire a occupé aux Délices en 1755. Le livre nous est présenté avec esprit par le conservateur de ce pied-à-terre devenu Musée et Institut Voltaire. Dans la foulée, Bernard Campiche, l'éditeur, nous gratifie d'un commentaire : Pour un second roman c'est réussi. C'est personnel, intense et violent, l'écrivain se dévoile beaucoup plus que dans son premier livre.(?) Campiche se rassied après son hommage derrière sa petite table recouverte de piles de livres qu'il espère vendre au public venu fêter l'écrivain. Roman dans lequel Nathalie décrit, entre autres, sa Grand-mère qu'elle aime? et fond en larme : elle vient de mourir aujourd'hui?

Un rêve dont le salpêtre remonte dans le réel et nous émeut, (sous l'oeil goguenard de Voltaire et des caméras de surveillance).

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1591_g2.jpg

06.10.2010 - Genève - 12 heures 08

Le visage, terminal cathodique des tumultes intérieurs.

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1590_g2.jpg

05.10.2010 - Genève - 07 heures 49

"Dans le ciel les cormorans montrent la route
Sur la pelouse notre ami voit sa fin
A Cointrin le fils s'envole?" A.W.

Quelle joie d'être en chemin !

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1589_g2.jpg

04.10.2010 - Genève - 14 heures 17

Faire pleurer le violon avec les images?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1588_g2.jpg

03.10.2010 - Saint-Prex - 15 heures 09

Jour radieux, couscous, crème de dattes et survol de notre joyeuse compagnie par une escadrille de cormorans?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1587_g2.jpg

02.10.2010 - Saint-Prex - 18 heures 23

Saint-Maxime, roi de la graine?

https://objets.netopera.ch/upj_traunig/upj_traunig1586_g2.jpg

01.10.2010 - Turin - 10 heures 57

Turin ou le sex-appeal de la désuétude.

  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2015
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2016
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2017
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2018
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2019
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2020
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2021
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2022
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2023
  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 2024



>> Envoyer un commentaire à la rédaction PhotOpera