GE
du Commandant Cousteau, caché dans le port de Caen!
mais en face dans un enclos un cheval se meurt...
oeuvre de l'artiste Dennis Nona venu du détroit de Torrès.
Son crâne convenablement orné pourrait servir à s'acheter un bateau dans le détroit de Torrès.
Vision imprenable sur la Cité de Calvin depuis ce balcon intérieur au 16ème étage de la tour de la télévision. Il y aurait largemnent de quoi y aménager un bar, ouvert au public. De quoi amortir un tant soit peu la redevance annuelle SSR de quelques 700 frs (pour ceux qui la payent ...) ? Mais la vue, c'est bien sur la Cité de Calvin, non ?
Elle m'assure que son ancien conseiller fédéral de mari UDC ne craint pas la confrontation, bien au contraire.
Un souffle puissant venu des catacombes sous la cité pieuse et commerçante, s'élève au dessus d'une grille posée au sol...
Et ce souffle est celui d'un vent chargé de fragrances agréables faisant perdre la tête aux Fidèles s'égaillant dans les catacombes...
Dans les catacombes c'est la fête lubrique des Fidèles en vacances interdites...
Et l'homme de religion et sa femme en longue robe passent...
Le souffle impudique et impie soulève la robe de la femme qui traverse la grille...
Et met en l'air la barbe de l'homme de religion...
L'homme de religion qui ainsi, passe et ne voit rien...
Le slip rouge, les moiteurs suintantes, et les regards d'en bas...
Puis tout rentre dans l'ordre après le passage sur la grille...
L'homme de religion n'a pas vu...
Mais Dieu, lui, a vu...
Guy Sembic, dit Yugcib, Paroles et Visages
Nous nous laissons captiver par la taille de nos capteurs: X100, S100, Nex-7...
Léon, lui, se contente de capter la lumière.
Avoir une passion, la photographie.
Hésiter à en faire un métier.
Puis choisir de devenir chimiste ou économiste
Pour la préserver, l'autre, de passion
et l'esprit sain la frappa doit au coeur parce qu'elle avait oublié de refermer les armoires et les fenêtres et qu'elle ne s'était pas protégée
...cochon qui grogne en plantant le groin dans l'auge, qui braille en voyant étinceler le couteau, blé qui trémousse ses épis sous les coups de langues du soleil, vache qui rumine son herbe et pisse son lait battu en beurre, tout ça est pris en sandwich dans le mot Sandwich...
Le cormoran se rit du mot cormoran dont nous l'affublons, se moque des ponts sur lesquels nous circulons, le cormoran ne sait pas ce qu'est un voilier, une fusée, ne comprend pas le mot illico, se fout du bonheur, des larmes, le cormoran ignore tout de l'indifférence qu'a Dieu pour les fours crématoires, ne goûtera jamais à la pistache, il vole, flotte, va vers ce qu'il est sans vouloir plus, l'œil mobile, caressé par le souffle du battement d'aile
de celui qui le précède.
Glisse vers l'être sans le savoir...
Alors, rien que pour y voir clair autant peut-être que pour se rassurer, J… demanda à J…, autour d'un verre sur une terrasse au soleil, de lui parler du Laos.
Quelle douce euphorie que de se préparer à la route en collectant informations, tuyaux et conseils en tout genre au sujet des fringues, de comment sortir de l'aéroport sans se faire arnaquer, des guest-house à éviter, de la devise la plus couramment utilisée, de comment fuir les lieux que les « comme nous » fréquentent, etc…
Et puis le poids, le poids, cet ennemi déclaré du routard. S'alléger à tout prix. Faire rendre gorge au superflu qui se prétend nécessaire. Un pantalon ? Un pull ? Deux ? Il pleut beaucoup ? Au nord ? Le chargeur du téléphone pourrait-il être utilisé pour l'ordinateur ? Un livre ! Oui, mais lequel ? Le guide du routard émasculé de sa partie Birmane : 150 grammes de gagné…
Au plus fort de ces réflexions, le destin chamboula la conversation entre les deux amis. Il fit disparaître le sac du futur voyageur. Envolé son ordinateur. Mais un kilo et demi de gagné.
… « Le voyage chez Bouvier est aussi une expérience d'ascèse et de dépouillement, comme si le bonheur rencontré en route devait se payer d'une façon où d'une autre (« la vertu d'un voyage, c'est de purger la vie avent de la garnir ») L'Usage du monde page 25…
Ah ! le Léon qui ne peut s'empêcher de pousser son père à faire le pitre. Le manipuler (il faut oser le dire) habilement. D'abord c'est plus haut, plus loin, plus fort. Après un temps c'est : encore ! Après encore c'est toujours, et ainsi de suite, crescendo. On passe ensuite du petit camion en lego au tricycle. Après c'est le vélo, après ça, bien vite, vient le désir mobylette, si ce n'est directement le scooter. Parce le scooter, bien sûr, mène à la moto…à moins que ça le mène directement vers un MAC BOOK AIR.
Trouvez la bonne légende pour l'image :
Votez verts, une longueur d'avance.
Il faut taxer le sourire commercial.
Pour toutes et tous sans privilèges.
Non aux parachutes dorés dans les banques. Qu'ils prennent l'ascenseur comme tout le monde.
Gratuité des primes maladies pour les enfants.
Une taxe pour les riches qui dépensent sans compter.
Honnêtement, vous y croyez encore ?
Nous défendrons vos intérêts parce qu'ils sont les nôtres.
Le nucléaire est un colis piégé.
Il faut taxer ceux qui refusent l'éco-responsabilité.
Votez contre la dictature des caisses maladie.
La politique est une farce et vous les dindons.
Le changement, oui, mais pas sans la sécurité.
Sans vous nous n'existerions pas.
Il n'avait peut être pas le temps de se changer
Ils ont bon gout ces martiens quand même
En fait, c'est pour dire que je n'ai pas eu d'idée de thême.