GE
Chrzaszcz & Desrosiers, photo taken by my friend Lyssandre.
…
Je veux être la source où tu auras bu
À la fois pure et crue
M'échoir dans le creux de tes mains
Et fondre contre la chaleur de tes seins
Ta perpétuelle volupté enlace mon corps
Arrose mes douleurs de tes propres pleurs
Pour assouvir les désirs et les songes de mon cœur
Tard à l'aube ou tôt la nuit
Je cherche les muses de la nuit
…
" Doesn't matter very much which wind is blowing, you just need to feed DjuWedenshuu with meat in the fire. DjuWedenshuu is the boss of the winds. It is Djuwedenshuu that tells me what I will catch, It gives me the animals. Djuwedenshuu is just a human being, who is hard for us to see. In the old days, Indians saw the North Wind." Interviews with William Saganash (1969), Harvey Feit, as translated by Eva Ottereyes
Voilà de quoi j'ai l'air au boulot…. Sans vouloir être trop dure avec moi-même !
aussi précieux que s'il était un ballon.
la mort des jeunes huitres; aussi elle se reconvertit dans la capture des sirènes…
au large, si leur vision n'est pas éblouie par l'abondant soleil…
Les dreads ?
Effet de mode grégaire ? Proclamation d'indépendance ? Terrorisme capillaire contre la raie et le peigne ? Effets collatéraux du Reggae et de ses tenants ?
Je ne sais toujours pas.
Michel est dans le ton - sinon dans les teintes - mais est-ce de bon ton de mettre en scène l'harmonie des couleurs pour faire passer le graveleux comme joyeux ? Les Pâquis c'est ça. C'est racoleur. Ca clignote, fricotte, ça roucoule, ulule sur les trottoirs, les regards parfois affolés comme des gyrophares…
Faire frissonner la peau du lac pour éclabousser la canicule.
D'une fleur cueillie à l'autre offerte
l'inexprimable rien.
Giuseppe Ungaretti
Je ne fais pas trop prétentieux? Je retrouve l'humanisme d'Edouard Boubat chez son ancien assistant.
Pictorialiste ou moderniste? La photo doit-elle être proche de la peinture, une harmonieuse mise-en-scène iconographique ou un rapport frontal à la réalité sans floutage et autres tirages sépia? Dans les années 30, le monde de la photographie s'écharpait sur cette question.
Foin de débat aujourd'hui. Le couple numérique-photoshop autorise un parfait mélange des genres et c'est la lecture de l'image plutôt que cette dernière qui devient floue.
Le "Near-documentary" est une belle illustration de ce non-débat. Nous prenons des centaines d'images d'un immeuble, les assemblons dans photoshop et reconstruisons l'immeuble en question. Bienvenus dans le ventre mou de l'ère pictorialismoderniste.
Mais à 35 degré à l'ombre papy ne fait plua le résistant.
Quand la pleine nuit… les feux de camp s'allument…
nos regards s'illuminent sur les flammmes du désir !
Quand plus rien ne semble s'offrir au regard égorgé par la chaleur, il reste le mikado des rues où je tremble…
Que penses-tu, Elise, du motif des rideaux et de l'éclat des plinthes pour la salle 3 du MIS, celle des dessous pires?
Le lieu et le moment fixes d'un rendez-vous ne nous mènent pas en un point précis de notre jour, mais nous laisse sans cesse à la lisière d'un domaine inconnu. Ce qui devait être un centre atteint n'est qu'une approche dispersée.
Les miroitements du soleil, sur la chaussée des rues étroites, comme des coups de frein en négatif, vous arrêtent et vous murmurent des chocs autrement plus sensibles et des attentes bien moins sévères.
Et voici le nouvel épisode du feuilleton du vendredi depuis le 6 mars dernier.
Le gamin qui fait d'une gouille un océan et d'un bouquet de noisetiers son comptoir colonial se fout bien de qu'il en sera demain, et les courants d'air frais, et les ombres accueillantes remuent toujours un peu ce farniente vif et involontaire de l'enfance.
c/o CTH Studendkorridor 367
Näverlursgatan 28
SE 421 44 Västra Frölunda
C'est parfait, Alan! De mon côté j'ai trouvé la première pièce, le très rare et très recherché soupir ail!
Il va falloir en manger de la soupe, petit homme, pour être à la hauteur de cette porte imposante…
La bicyclette reste le mode de transport privilégié des campagnes et le parapluie fait office d'ombrelle.
Les vietnamiens aiment les peaux claires. C'est pourquoi les jeunes élégantes abritent leurs visages sous un parapluie. Dire à une femme qu'elle a la peau blanche est un compliment, lui dire qu'elle a un joli bronzage est une insulte !
Au Vietnam, on transporte tout à moto ou encore à vélo. La famille entière souvent, ou les marchandises les plus diverses qui parfois ensevelissent véritablement le deux roues…
Efficacité parfaite pour cette femme qui mène sa barque des deux pieds tout en tamisant à la recherche de quelques petits coquillages vivants dans l'eau saumâtre…
Les joncs confortables, fièrement surmontées du drapeau révolutionnaire national, en partance pour une croisière de 24 heures dans la baie d'Along. Inscrite au Patrimoine Mondial de l'Unesco, la baie d'Along est une pure merveille, hélas déjà menacée par le développement frénétique du tourisme…
Ha Long se traduit par “Dragon descendant” et la légende raconte que la baie est née de la plongée d'un dragon dans la mer en la fouettant frénétiquement avec sa queue, la morcelant ainsi en un vaste archipel.
Le monstre hante encore la baie et les touristes les plus excentriques y voient la version vietnamienne du monstre du Loch Ness…
Avec ses parents, sur un bateau de fortune, elle vend quelques fruits aux touristes dont elle accoste la jonque…
Le pont routier à la frontière de Lao Cai-Hekou qui sépare le Yunnan chinois et le nord Vietnam. Le trafic y est intense et les moyens de transport les plus divers…
…j'ouvre le portail.
Ses cheveux, qui autrefois brillaient comme les plumes d'un aigle noir,
étaient devenus ternes
et son regard plein de douleur,
rongé par l'alcool.
Ma main délicate à ses heures
ici torturée par des engins aussi tranchants que des diamants.
L'exposition est dans un mois et me donne du fils à retordre….
Je regarde le large
Rêverie du jour
J'écoute la mer dans les coquillages.