GE
un homme s'invente une place privée à l'arrière d'un tram,interdite…évidemment.
Où est le sens sinon…?
La première fois je me suis dis "ho tanpis!",
la fin de journée venu,elle était encore là,
même position,même regard…
le message est clair:clic!
Fabien, hospitalisé à Beau Séjour, (quelle ironie), n'en a, d'après les médecins, plus que pour une année. Son courage, son appétit de vivre me rend hargneux envers les enculeurs de mouches dont je suis parfois entouré.
Catherine nous accueille princièrement dans sa tanière sur l'alpage de Nava - Claude nous sert de généreuses raclettes, Romeo nous parle de son peuple les Cree et de cet étrange légume, la carotte polaire, qui ne pousse que dans la glace et préserve l'organisme du froid. Romeo sait-il que le chocolat suisse, à condition d'en manger un kilo par jour, remplace abondamment le prozac, et rend heureux. A chaque culture ses mystères!
Les révoltés n'ont plus la culture de la dérision. Un nez noir c'est stupide. C'est du rouge qu'il faut mettre sur le nez des politiciens.
Il était très diminué. Je lui massais les pieds, l'embrassais, le choyais. Nous récitions un Notre Père et à chaque fois il me remerciait, mon chéri. Très reconnaissant toujours il était. Il est mort dans son lit.
Cette confession de foi, ce sacerdoce conjugal arrache une larme à C. Georges est mort à 92 ans et avec lui un certain modèle de couple.
A travers les vitres du funérarium, les arbres se trémoussent dans la nostalgie de l'été. Un écureuil saute de branches en branches. Le soleil est bleu !
(Je remplace ici un texte écrit sous le coup de la colère par un Mea Culpa. Ce petit texte sans importance, réactionnaire aux yeux de certains, a été pondu, sans discernement, suite à une succession de rencontres, de frustrations qui m'ont fait trébucher émotionnellement. Je ne conserve donc ici que sa chute, chute qui n'a évidemment aucun rapport avec des personnes existantes ou ayant existé. A moins évidemment que quelqu'un, comme moi, s'y reconnaisse.)
…
La merde est un don du ciel - comme le reste. William Blake
Et c'est finalement ce que je produirai avec la plus grande constance durant toute ma vie : quelques tonnes de merde !
Image volée à l'insu de cette dame - sans autorisation de sa hiérarchie…
On m'a tondu à mon arrivée de Paris. Carlos,Cubano-Italien, avait carte blanche! La photo n'est pas le résultat
final…!
J'aime cette main de Mercure qui agrippe la Renommée. L'insouciance de ces pigeons aussi.
Non, je ne vais pas la prendre à la dérobée. Je vais lui demander. Avec ou sans mari ? Il prend beaucoup de place ?
Madame l'invite à aller au bar du TGV. Vas-y déjà, je finis juste un truc sur mon PC.
Un dernier contrôle pour vérifier que la place dans l'au-delà n'est pas squattée.
Tokyo aimerait bien ravir à Pékin le titre de champion de la croissance mais la route est encore longue.
Je me plais à imaginer une sympathie de la jeune fille pour la mendiante. "Je la connais c'est tout " me dit la fille, un brin agressive. "Dégage!" renchérit la Rom. Il faut dire que la municipalité est en train de changer de ton. Très permissive cet été, elle promet aujourd'hui de faire face à l'évolution préoccupante du nombre de mendiants qui se sont exportés à Genève.
Hundekot Aufnahmepflicht. Au cas où ce ne serait pas assez explicite.
LA Lune/DER Mond, est sexuel-le. Il-elle vole la lumière DU soleil [DIE Sonne, bon dieu !] pour se dénuder devant nous.
Et nous que foutons-nous là, à la regarder comme des poètes-ses essouflée-es ?
"Eh con ! (avec accent marseillais) et pourquoi tu la mets, ton image ?"
"Bof…"
Une revue placarde régulièrement ses affiches sur des cloisons dissimulant des containers, dans un passage abritant aux petites heures dealers et pisseurs nocturnes.
J'aime bien ces côtoiements surréalistes et me demande souvent avec quels ingrédients se construit l'idée de mariage dans une tête d'aujourd'hui …
Dans un calme cheminement d'intense spiritualité ? A la poursuite des dessins tortueux d'un fantasme pornographique ? Concentré sur la liste des achats du lendemain au super-marché ?
La force créatrice, qu'on effleure parfois du doigt, c'est d'ouvrir des portes, non de les fermer…
avec leurs parents. Midi et après-midi, nous étions chez l'Oncle A. qui habite depuis un an dans une maison pour des patients Alzheimer, tous ensemble avec la tante M. on fêtait leur noces de diamant. De voir que l'amour et la tendresse d'une femme et d'une famille ne s'arrêtent pas, ç'était beau et quand-même triste, voyant la faiblesse totale d'un homme qui avait mené une vie tellement active. Pas mal alors de voir à la rentrée ces petits poussins
supportables dans le calme de la nuit
Bamako est la capitale du Mali, sur le fleuve Niger, dans le sud-ouest du pays. En 2006, la ville comptait 1 690 471 habitants (Bamakois). Bamako est le centre administratif du pays, un important port fluvial et un centre commercial pour toute la région alentour. La capitale Bamako est érigée en district et subdivisée en six communes dirigées par des maires élus en plus du maire central du district. Adama Sangaré est le maire du district de Bamako
Le site de Bamako a été occupé dès la préhistoire comme l'ont confirmé les fouilles archéologiques de Magnambougou.
Bamako, originellement Bammâko (« marigot du caïman » en langue bambara) a été fondée à la fin XVI ème siècle par les Niaré anciennement appelés Niakate, qui étaient des sarakolés. Niaréla, le quartier des Niaré, est un des plus anciens quartiers de Bamako.Actuellement la ville s'étant sur lus de 20 km.
En voulant éviter un véhicule qui roulait en sens inverse la Sotrama(mini-bus vert servant pour le transport urbain dans la ville de Bamako) a terminé sa course sur le bas côté d'un pont. Le conducteur demeure introuvable
Où sur terre, se trouve le chauffard dont le véhicule s'est trouvé dans le pont ?
Pour l'instant nul ne le sait avec exactitude. Mais ce ne serait plus pour longtemps assure le commissaire de police qui a inspecté le lieu de l'accident. Ces genres d'accident reste monnaie courante dans la ville de Bamako.
En Afrique, on raconte que la beauté frappe les femmes par la tête et se répend ensuite sur tout le corps…Plusieurs femmes sont restées des jours et nuits sur la place du marché, attendant que cette beauté leur tombe sur la tête. Un jour de pluie, Maïmouna qui attendait toujours la beauté pour pouvoir conquérir le coeur de son futur prince, se prend la foudre sur la tête et meurt.
Le lendemain matin, alors que cette nouvelle avait fait son chemin dans chaque case du village, les femmes décidèrent de consulter Karamogo, le grand sorcier pour savoir ce que l'avenir leur réserve et si le mal pouvait encore frappait.
Le grand sorcier prit peur mais persista à leur dire que la beauté devrait leur tomber sur la tête d'un jour à l'autre.
En tout cas, la dernière femme qui a été frappée sur la tête n'était plus présente pour être admirée.
Cette nuit encore, d'autres femmes étaient là, assises sur cette place, peu nombreuses et peu rassurées, mais attendant toujours que cette beauté frappe !
La princesse Sarah, resplendissante et lumineuse, belle comme la lune décida un jour de livrer son secret. Elle fit rentrer dans sa case trois femmes, moches comme on n'en fait plus.
Ces trois femmes sont ressorties de la case de Sarah, belles et lumineuses avec de magnifiques tresses africaines.
Une douzaine d'artistes d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique du Nord ont pris part à cette expo, qui durera du 3 octobre au 10 novembre au musée national du Mali. Cette exposition temporaire du Musée national du Mali qui s'intitule "Contact Zone" a réuni 12 artistes.
Parmi ces artistes figurent l'Algérien Ammar Bouras, le Marocain Hassan Echan, le Malien Abdoulaye Konaté et le Sénégalais Mamady Seydi.
L'exposition présente des créations contemporaines, notamment dans les domaines de la sculpture, de la peinture, de la photographie et de la vidéo.
Elle s'inscrit dans le cadre de la nouvelle politique nationale visant à promouvoir la création contemporaine.
Cette photographie a été prise dans le cadre d'un reportage commandité par le Samusocial Mali en octobre 2007. Harandane Dicko, assistant technique du CFP de Bamako (Cadre de promotion pour la Formation en Photographie), en est l'auteur, avec l'appui du CFP.
Le Samusocial Mali est une ONG de droit malien, en activité depuis 2001, qui a pour vocation de lutter contre l'exclusion sociale des enfants de la rue à Bamako. Lors de leurs tournées de nuit quotidiennes, les équipes mobiles d'aide vont à la rencontre de ces enfants sur leurs lieux de vie, dans la rue, et leur apportent une aide tant médicale que psychosociale. Leur principale mission est de recréer du lien social avec ces enfants en rupture plus ou moins profonde avec leur famille et avec la société. Ceux-ci, ayant perdu tous leurs repères, développent leurs propres stratégies pour survivre dans un environnement hostile.
Le travail photographique qui vous est présenté se veut le reflet des conditions de vie de ces enfants de la rue, et du travail des équipes mobiles du Samusocial Mali auprès d'eux. Afin de respecter la dignité et de préserver l'anonymat des enfants pris en charge par le Samusocial Mali, le photographe a dû faire en sorte qu'aucun d'entre eux ne soient reconnaissable à l'image.
Ces photographies seront exposées en parallèle de la 7ème édition des Rencontres africaines de la Photographie de Bamako, du 24 novembre au 23 décembre 2007, afin de sensibiliser la population aux difficultés rencontrées par les enfants de la rue, et de plaider leur cause auprès des décideurs.