GE
éteigner dont la lumière…
Confidences :
Le ciel dévore les couleurs du soir… je vais songeur,(…), cramponné au livre de Marie Billetdoux, UN PEU DE DESIR SINON JE MEURS, et croise dans une ruelle, au bas d'une pente, Patrice sur son vélo qui m'apostrophe : Tiens, tu lis en marchant ? Patrice vient d'inaugurer LA FUREUR DE LIRE - toujours autant bûcheron de la langue de bois - en confiant au public présent qu'il n'aime pas trop voyager sinon à travers les livres lorsque sa fonction le lui permet - gêné, je dissimule Billetdoux, sans savoir trop quoi dire.
Sentiment étrange pour moi d'être Maire… me confie-t-il…
Comment tu fais pour prendre du recul, rester clair vis-à-vis de cette lourde fonction?
Comme tu vois, je rentre chez moi, simplement.
Sa réponse, épure d'orgueil, m'illumine !
L'envers du décor de l'agence de presse REZO, en fête pour le lancement de son nouveau site WEB.
Como :
Bal d'hydravions rugissants sur le lac.
Touristes enfiévrés par les reflets des vitrines des magasins.
Café plus boule chocolat, huit euros.
Le passé industriel en strates baroques dans l'architecture.
Le Fake wild boy, conformisme vestimentaire très en vogue chez les italiens.
L'architecture, miroir de l'époque, en plein délire narcissique.
Une photographie dit toujours plus de ce qu'elle ne montre pas que ce quoi elle proclame avec entêtement.
«Je réclame la liberté à grands cris.»
Camille Claudel (Letttre à Claude)
Bonne Journée internationale de la paix à tous!
J'imagine que les tagueurs se mesurent sur l'échelle du risque qu'ils prennent pour s'exprimer.
Photographier l'âme des gens, aussi furtive soit-elle, quel bonheur !
Sous le pont du Mont-Blanc coule le sang ….non non non c'est pas bon on oublie. Voyons l'original:
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Wilhelm Apollinaris de Kostrowitsky est emporté par la grippe espagnole à 38 ans mais ses poèmes sont éternels.
Sophie voulait l'appeler "Anus horribilis". Mais l'année est partie pour être bonne. Avec en prime des ventes honorables de ses oeuvres en céramique.
Juste devant un ancien squatt connu à Genève, cette affiche mettant en garde contre ces ravisseurs sans scrupules et très habiles: hasard ou nécessité ?
Le patron du restaurant leur offre un tiramisu. Il se décomposera tout seul dans l'assiette, regard dubitatif du manager de leur défilé oblige.
[extrait de courte biographie de JLG - traduction google]
Nouvelle vague d'Une (1998) (v) Vieil Place (1998)
La monnaie de l'absolu (1998) (v)
Beauté de Fatale (1997) (v)
Pour jamais Mozart (1996)
OH, ennui est moi (1993)
Salue vous de Je, Sarajevo (1993) (v)
[extrait de courte biographie de JLG - traduction google]
Auourd'hui 22 septembre 2007, le Mali célèbre sa 47ème année d'indépendance dans la communion.
Le fleuve Niger constitue un don exceptionnel pour les pays du Sahel. Cette ressource vitale s'avère gravement menacée par une baisse de pluviométrie, associée à un ensablement croissant, à une diminution de renouvellement de ses eaux, à l'amplification du rejet d'eaux usées, à l'intensification de l'exploitation des ressources du fleuve, à la pollution de la flore, à l'eutrophisation qui raréfie l'oxygène… la capacité d'autoépuration du fleuve n'est pas sans limites. Son état suscite de grandes inquiétudes.
"Au Brésil, la tribu des Yawanawas approvisionne AVEDA en uruku, un pigment végétal naturel utilisé pour la fabrication de rouges à lèvres. "
Encadré 5.1
Bixa orellana : l'Association des Yawanawas et la société Aveda
Le buisson Bixa orellana (ou rocouyer) est originaire des néotropiques où il est très répandu. Il est souvent cultivé autour des villages indigènes. Ses usages traditionnels sont nombreux, notamment en médecine populaire.
La bixine qui en est dérivée est vendue dans le monde entier comme colorant alimentaire. Au XIXe siècle, l'Amazonie brésilienne a exporté d'importantes quantités de poudre d'uruku en Europe. Aujourd'hui, le rocouyer suscite un regain d'intérêt de la part des sociétés de transformation des aliments et de produits cosmétiques parce que la bixine peut être consommée et appliquée sur la peau sans danger."
"Tant d'images coulaient dans nos yeux : nous sommes prisonniers d'une seule, qui pèse le poids vrai de ses dunes, de son soleil, de son silence." St Exupéry
tout décent, mais ce coffre à la sortie me rappellait la chanson des pirates de l'Île du Trésor de Stevenson:
Fifteen men on the Dead Man's Chest
Yo-ho-ho, and a bottle of rum!
Drink and the devil had done for the rest
Yo-ho-ho, and a bottle of rum!
(le monsieur en bleu représente upj, éxcusez qu'il n'a pas fait la photo lui même…) Merci, Susan
(Quattre-vingt-huit-mille-huit-cent-quattre-vingt-huit, en français ça me semble plus compliqué que du chinois)
Piatti de retour des vacances (à vous de choisir, lequel est lequel)