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les africains tentent de rester stoïques au milieu d'un chaos colonial où on ne reconnaît plus rien ... comme dans un vieux grenier, les objets sont pourris et méconnaissables, les richesses des terres africaines disparaissent comme par magie entre les mains des colons ... les colonisés regardent la mort rôder parmi eux ... dans l'est du Congo, le massacre est organisé par Kagame depuis un bon quart de siècle, depuis que le charmant homme a déclenché le génocide rwandais et tué autant de tutsis, ses collègues, que de hutus ... et depuis longtemps il s'est mis à massacrer les congolais, peut-être une dizaine de millions, à la demande des états-unis ... il y a des rapports précis de l'ONU là-dessus, mais ils sont enfermés dans des tiroirs très profonds à grosses serrures ... et en plus "pensez donc, chère comtesse ... un tutsi ! il ne peut qu'être parfaitement bon !"
l'occident aime les fausses vérités qui font battre leurs petits cœurs de colons sanguinaires, mais ils adorent se trouver innocents dans leurs miroirs falsifiés ... et NOUS, nous mangeons à notre faim et NOUS avons les yeux fixés toute la journée sur nos téléphones portables, qui ne peuvent fonctionner que grâce au coltan de l'est du Congo ...
oui NOUS sommes les criminels sanguinaires, et nos révoltes sont factices et racistes, notre blancheur est parfaite ... parfaitement mortelle
Comme le dirait Lélosubmarine ( la femme du poissonnier, Ordrealfabétix, dans la BD Astérix)
Si les vaches avaient des ailes
Zombies
Une Par Jour
Exposition Espace Matthieu Côte
07250 Rompom France
Photo prise avec Sony RX100 mkVI défectueux pendant le vernissage 01-02-2025
Photo du jour 02-02-2025 la vache ailée
imagine si ceci
un jour ceci
un beau jour
imagine
si un jour
un beau jour ceci
cessait
imagine
S. Beckett
///Vent de Nord qui bruite dans l'anneau
Diffuse son élixir sonore dans la brume
Figée dans un froid du haut aux saveurs glacées
Tokyo dance dans la neige noire
Trop nombreux pour éclaircir le ciel
Les oiseaux de passage
s'interrogent
Sur les alternatives d'un atterrissage
Portée par la cadence folle de ce piano fou
La meute affamée se décale d'un petit pas
Terre promise pour un temps limité
Locataire obligé d'une terre découpée
Refuge de nulle part où personne ne transige
Laissez-les circuler au gré des vents migrateurs
Antoine
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Résonnance intime en partage
Engloutit dans une silhouette en argile
Prisonnier dans un corps assiégé
AB
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