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[avec Nina Oelmann]
Dans « Rêves d'Indiennes » de Colette Vlérick (Calmann-Lévy), l'autrice nous raconte l'histoire de Louise qui n'a pas encore treize ans quand la police du roi la déshabille en pleine rue de Brest. Son crime ? Elle porte une étoffe prohibée, une indienne. Toute l'Europe s'est prise de passion pour ces cotons tissés en Inde et peints de couleurs éclatantes. Mais la France les interdit toujours, en plein XVIIIe siècle !
Dans les années 1650, les tissus de coton imprimés appelés « Indiennes » se répandent en Europe et en France, avec l'intensification du commerce entre Orient et Occident. Ces étoffes légères aux décors colorés et variés, encouragent le goût des Européens pour l'exotisme et les Compagnies des Indes n'ont aucun mal à écouler leurs considérables cargaisons de toiles en provenance d'Inde.
En France, l'importation et la fabrication des toiles de coton imprimées connaissent un tel succès que les métiers lyonnais de la soie et les manufactures royales de laine s'insurgent contre la forte concurrence de cette nouvelle activité. En octobre 1686, un Arrêt du Conseil d'État du Roi prohibe les « toiles de coton peintes aux Indes ou contrefaites dans le royaume ». Louis XIV et Colbert veulent protéger les manufactures textiles françaises : il est désormais interdit d'importer ou de fabriquer des Indiennes.
Cependant plus les mesures d'interdiction s'intensifient, plus le pouvoir monarchique échoue à enrayer ce véritable phénomène de mode qui va, pour la première fois, concerner toutes les classes sociales. Les Français veulent porter des Indiennes ! La prohibition encourage une très forte contrebande : les portes d'entrée des Indiennes étrangères sont les régions frontalières et les ports. Des ateliers d'indiennage existent sur le territoire du royaume pendant la période de prohibition (à Marseille, Le Havre, Rouen, Paris, Angers, Orange) mais ils ne peuvent vendre leur production qu'à l'étranger.
L'indiennage va contribuer à l'essor de l'industrie chimique qui lui est spécialement destinée dès la fin du XVIIIe siècle. À Rouen, la fabrication d'acide sulfurique apparaît en 1766 puis, à Lyon en 1787, jumelée à une fabrication d'acide nitrique. L'usine de Javel, à Paris, produit du chlore dès 1777 et fabrique également du vitriol. Les trois premières régions de la chimie sont nées !
(Source : Histoire des Indiennes, ces tissus très à la mode au XVIIIe siècle, Isabelle Bernier, historienne.)
CE QUI SEMBLE FOLIE POUR L'IGNORANT PEUT-ÊTRE UNE HAUTE SAGESSE
GLYPHOSATE MON AMOUR
Les campagnes roundupisées au glyphosate
et autres merdes, au lieu de nous empoisonner,
devraient mieux respecter leurs terres
au lieu de nous casser les couilles
avec leurs gros tracteurs à 100 000 Euros.
Qu'ils apprennent des vrais paysans
la valeur du fumier qui contribue
à la fertilisation et à l'enrichissement des sols
et est le meilleur allié pour retenir l'eau
et faire face aux périodes de sécheresse,
pour autant que le fumier
ne soit pas bourré d'antibiotiques,
résidus de médicaments absorbés par les animaux
pour augmenter leur croissance afin
que l'éleveur puisse augmenter ses bénéfices
et s'acheter un plus gros tracteur.
Même si dans les mythes Hanuman est très célèbre pour son dévouement au service de Rama, concrètement, il est l'une des divinités les plus populaires et le plus largement vénéré en l'Inde où il possède de nombreux temples. A New Delhi; au Karnataka : à Bangalore; au Kérala à Malappurna, à Payyanur et à Palaghat ...
Cette popularité découle de son statut intermédiaire, à la fois dieu et serviteur. Il parait moins distant et moins majestueux que Rama, par conséquent, plus accessible aux hommes. Un autre facteur important est que cette accessibilité est couplée à sa capacité de protéger les personnes qui l'invoquent.
Hanuman est facilement reconnaissable car il est dépeint comme un singe au corps d'un homme musclé et velu.
Les reproductions les plus célèbres le montrent avec une tête, (seulement) deux bras et une longue queue de singe. Il a généralement un visage de singe et un grand corps humain musclé. Mais il est également connu sous diverses autres formes, par exemple avec dix bras et cinq têtes. Il est de couleur jaune, a le visage rouge et porte souvent une massue (gada) comme arme dans sa main gauche et une montagne dans sa droite.
AGNÈS PANIER-NULACHIER PERMET AUX BETTERAVIERS DE RECOURIR Ã UN INSECTITICIDE « POUR PROTÉGER LEURS CULTURES »
L'annonce devrait rassurer les betteraviers, pas les opposants aux pesticides. La ministre déléguée auprès du ministre de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé, vendredi 5 avril, accorder une dérogation aux betteraviers « pour protéger leurs cultures ». Ils sont autorisés à plus recourir à un insecticide permettant de lutter contre les pucerons responsables de la maladie de la jaunisse, très dommageable pour la production de sucre.
« Cette année, les betteraviers pourront désormais faire jusqu'à cinq passages de Movento » au lieu de « deux passages aujourd'hui », a déclaré Mme Pannier-Runacher, interrogée sur l'antenne de France Bleu Nord.
Avant-hier j'ai posté sur uneparjour un petit commentaire sur le grand merdier des pesticides, entre-autre le Glyphosate. Le lendemain je tombe sur cet article du Monde. Je suis atterré par ce gouvernent d'abrutis et de minables ! Et après-ça les agriculteurs vont demander à la population de manger français. Du cancer assuré dans les prochaines années avec l'aval de ce pitoyable gouvernement de loser. Quel cynisme, quel mépris ils ont pour la population française. Aujourd'hui la philosophie des agriculteurs se résume ainsi : POUR FAIRE DU VIVANT, IL FAUT TUER...