GE - Une photo par jour

La semaine uneparjour... 26 avril 2023

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Meysse (Ardèche)

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Valence (drôme)

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Valence (Drôme)

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Saint Martin (Ardèche)

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Valence (Drôme)

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Meysse (Ardèche)

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Meysse (Ardèche)

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uneparjour#82

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Binôme du jour... La veuve

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Les asperges

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Jour de pluie

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Trinôme du jour... la vie au jardin

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Tableau printanier.

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Petite expo sur le littoral.

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fresques au printemps.

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Ombres sans cohérence.

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Intérieur réaménagé.

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LA GRENOUILLE, L'HISTOIRE EST AILLEURS

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ESPOIR DE REPOS, FEMMES EN ROBE PRINTANIÈRE

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POUR CHARGES LOURDES

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LE MONDE INTÉRIEUR, NE CORRESPOND PAS, AU MONDE EXTÉRIEUR

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TRAVAUX SANS FLEURS, LE CIEL ACCUEILLE

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LA LUMIÈRE TRAVERSE LA POÉSIE, DEHORS LA GUERRE

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plus de septante ans que j'aperçois fugitivement cette tête de zombie dans le miroir de la salle de bain ... m'y suis-je habitué ? vraiment ?

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trancher le ciel et passer de l'autre côté pour échapper à la fin du monde

[zombie]

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... nos journées se passaient entre un conteneur plastic réfectoire et un autre conteneur pour jouir de nos plantes ou d'un morceau de nature reconstituée, ou dans un autre encore pour faire l'amour ... on ne pouvait plus les compter ... certains se trouvaient au conteneur mouroir, d'autres encore, de plus en plus nombreux, enfermés au conteneur prison ---

[la vie Zombie]

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C'est l'usure qui nous manque, tout est comme neuf, n'y a plus de défauts dans les choses et les corps ou les images, et pourtant ils existent moins que les trucs tout cassés ...

[la vie zombie]

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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." La Patinoire des Vernets, quel souvenir ! Donc dès 9 heures le jeudi matin, je glissais sur la glace luisante de notre patinoire des Vernets mais les mains timides n'arrivaient dans la mienne en général que vers 10 heures. Comme je me souviens des mains plus fines des gamines, oui ces mains plus fraîches parfois un peu frémissantes dans les courbes aux bouts de la surface de glace et dans le flux de patineurs ... Ça tirait joliment et on s'accrochait comme au bord d'une falaise pour ne pas tomber ! Les petits garçons étaient un peu vacillants aussi mais quand même physiques, plus sportifs quoi ! et leurs mains s'accrochaient ferme et il me jetaient parfois un court regard admiratif ou inquiet. []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." La Patinoire des Vernets, quel souvenir ! Plus la matinée avançait plus je m'excitais à tirer l'attelage de plus en plus vite et alors je sentais le corps comme ça lié au mien un peu apeuré sur ses jambes tremblantes les patins écartés pour éviter de tomber Et toujours les minuscules saccades sur la glace entaillée de partout par les lames des patins - surtout les patins des plus grands qui glissaient et viraient brutalement et bien plus vite que nous les petits et dans les virages on sentait le bruit de la glace entamée et profondément éclatée. []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." La Patinoire des Vernets, quel souvenir ! Dans un coin de la patinoire il y avait certains jours une zone réservée, séparée par une corde, où une fille - ou parfois deux - se penchaient le torse en avant et se levaient la jambe en l'air par-dessus l'épaule pour faire une sorte de chandelier à deux branches. Et elles tentairnt d'avoir l'air sûres et détendues en pivotant comme des toupies trop lentes ! Je les regardais parfois quelques secondes et je me demandais pourquoi elles faisaient ça ... ça me semblait un peu inutile, et moi je préférais quand même tenir une main dans ma main - où laisser la mienne dans une autre - et tourner en rond en rond sans fin sans fin et peut-être un instant rêver d'un baiser ... alors Gigi se foutait de moi depuis son canapé : quelle satanée dragueuse débile ! Mais j'étais quand même un peu jalouse de leurs costumes en jupettes toutes courtes et de leurs patins blancs étincelants et tout neufs ... moi je n'avais que des patins de garçon noirs et blancs ... je ne savais pas pourquoi d'ailleurs ! []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." La Patinoire des Vernets, quel souvenir ! Et alors arrivait au bout d'un moment l'annonce du haut-parleur et il fallait sortir de la glace et s'asseoir dans les tribunes pendant que les grosses machines lourdes tournaient lentement, passaient et repassaient consciencieusement pour refaire la glace qui devenait alors lisse comme une vitre... Mais au lieu de s'asseoir sagement on pouvait aussi descendre par la pente en grille de fer avec des planches en bois dessus jusqu'au vestiaire où on pouvait acheter une barre de chocolat et un verre de quelque chose de frais - ou de chaud, selon les aventures de la matinée ... []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." Pour ce qui est de la Pointe de la Jonction, située, dans le cul de sac du quartier entre les deux cours d'eau qui partagent la ville, après le dépôt des trams - ces belles machines à transborder les hordes de travailleuses et travailleurs si pressés et pressées d'aller s'offrir à torturer dans un boulot qui les exploite - et encore plus loin que les autres bâtiments industriels tel que l'usine Cougar ... Non pas Cougar mon amour de chéri adorable et débile ! mais K-u-g-l-e-r oui Kugler - décidément je ne me sens vraiment pas du tout prête ni décidée à épouser un petit con maladroit comme toi, inutile, même déguisé en machin à téléphoner et à frimer et dissimulé derrière un écran mat ou brillant dernier cri, décision irrévocable en dépit les merveilles promises par les incessantes publicités qui te décrivent comme Monts et Miracles ! []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." Donc la Pointe de la Jonction NON ! Vraiment non ! Tout cela, malgré son nom charmant, ne semblait vraiment pas très attirant pour Gigi, l'endroit se montrant même plutôt glauque ... ce qui a changé depuis puisque récemment je remarque en bordure du Rhône durant l'été les incessants pique-niques qui s'alignent à quelques mètres l'un du suivant jusqu'à la Pointe un peu angoissante où se joignent l'Arve et le Rhône comme deux époux fort différents et peu enclins à s'accoupler... []

///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..." Ah le Pont Sous-Terre ! oui ce nom nous avait toutes les trois fascinées depuis longtemps et on en était encore un peu émues en retour, mangées par le passé ..... Un pont sous la Terre ? Alors il reliait quoi à quoi ? une grotte à une caverne peut-être ou une Grotte à une Colline Souterraine ? Et qu'est-ce que c'était qui pouvait bien passer sous ce pont, ce pont sous la Terre ? une rivière sous Terre une rivière enterrée comme un mort en cercueil ? rivière coulante et roucoulante et sautillante dans le noir de la Mort ? Oui ça nous donnait à penser, et depuis toutes petites ... mais avions-nous vraiment grandi depuis, avions-nous vraiment perdu nos émotions de gamines trop curieuses ? []


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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."
La Patinoire des Vernets, quel souvenir !

Donc dès 9 heures le jeudi matin, je glissais sur la glace luisante de notre patinoire des Vernets mais les mains timides n'arrivaient dans la mienne en général que vers 10 heures. Comme je me souviens des mains plus fines des gamines, oui ces mains plus fraîches parfois un peu frémissantes dans les courbes aux bouts de la surface de glace et dans le flux de patineurs ... Ça tirait joliment et on s'accrochait comme au bord d'une falaise pour ne pas tomber ! Les petits garçons étaient un peu vacillants aussi mais quand même physiques, plus sportifs quoi ! et leurs mains s'accrochaient ferme et il me jetaient parfois un court regard admiratif ou inquiet.
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."
La Patinoire des Vernets, quel souvenir !

Plus la matinée avançait plus je m'excitais à tirer l'attelage de plus en plus vite et alors je sentais le corps comme ça lié au mien un peu apeuré sur ses jambes tremblantes les patins écartés pour éviter de tomber

Et toujours les minuscules saccades sur la glace entaillée de partout par les lames des patins - surtout les patins des plus grands qui glissaient et viraient brutalement et bien plus vite que nous les petits et dans les virages on sentait le bruit de la glace entamée et profondément éclatée.
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."
La Patinoire des Vernets, quel souvenir !

Dans un coin de la patinoire il y avait certains jours une zone réservée, séparée par une corde, où une fille - ou parfois deux - se penchaient le torse en avant et se levaient la jambe en l'air par-dessus l'épaule pour faire une sorte de chandelier à deux branches.
Et elles tentairnt d'avoir l'air sûres et détendues en pivotant comme des toupies trop lentes !
Je les regardais parfois quelques secondes et je me demandais pourquoi elles faisaient ça ... ça me semblait un peu inutile, et moi je préférais quand même tenir une main dans ma main - où laisser la mienne dans une autre - et tourner en rond en rond sans fin sans fin et peut-être un instant rêver d'un baiser ... alors Gigi se foutait de moi depuis son canapé : quelle satanée dragueuse débile !
Mais j'étais quand même un peu jalouse de leurs costumes en jupettes toutes courtes et de leurs patins blancs étincelants et tout neufs ... moi je n'avais que des patins de garçon noirs et blancs ... je ne savais pas pourquoi d'ailleurs !
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."
La Patinoire des Vernets, quel souvenir !

Et alors arrivait au bout d'un moment l'annonce du haut-parleur et il fallait sortir de la glace et s'asseoir dans les tribunes pendant que les grosses machines lourdes tournaient lentement, passaient et repassaient consciencieusement pour refaire la glace qui devenait alors lisse comme une vitre... Mais au lieu de s'asseoir sagement on pouvait aussi descendre par la pente en grille de fer avec des planches en bois dessus jusqu'au vestiaire où on pouvait acheter une barre de chocolat et un verre de quelque chose de frais - ou de chaud, selon les aventures de la matinée ...
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."

Pour ce qui est de la Pointe de la Jonction, située, dans le cul de sac du quartier entre les deux cours d'eau qui partagent la ville, après le dépôt des trams - ces belles machines à transborder les hordes de travailleuses et travailleurs si pressés et pressées d'aller s'offrir à torturer dans un boulot qui les exploite - et encore plus loin que les autres bâtiments industriels tel que l'usine Cougar ... Non pas Cougar mon amour de chéri adorable et débile ! mais K-u-g-l-e-r oui Kugler - décidément je ne me sens vraiment pas du tout prête ni décidée à épouser un petit con maladroit comme toi, inutile, même déguisé en machin à téléphoner et à frimer et dissimulé derrière un écran mat ou brillant dernier cri, décision irrévocable en dépit les merveilles promises par les incessantes publicités qui te décrivent comme Monts et Miracles !
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."

Donc la Pointe de la Jonction NON ! Vraiment non ! Tout cela, malgré son nom charmant, ne semblait vraiment pas très attirant pour Gigi, l'endroit se montrant même plutôt glauque ... ce qui a changé depuis puisque récemment je remarque en bordure du Rhône durant l'été les incessants pique-niques qui s'alignent à quelques mètres l'un du suivant jusqu'à la Pointe un peu angoissante où se joignent l'Arve et le Rhône comme deux époux fort différents et peu enclins à s'accoupler...
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///"On n'allait pas le dire avec des fleurs ..."

Ah le Pont Sous-Terre ! oui ce nom nous avait toutes les trois fascinées depuis longtemps et on en était encore un peu émues en retour, mangées par le passé ..... Un pont sous la Terre ? Alors il reliait quoi à quoi ? une grotte à une caverne peut-être ou une Grotte à une Colline Souterraine ? Et qu'est-ce que c'était qui pouvait bien passer sous ce pont, ce pont sous la Terre ? une rivière sous Terre une rivière enterrée comme un mort en cercueil ? rivière coulante et roucoulante et sautillante dans le noir de la Mort ?

Oui ça nous donnait à penser, et depuis toutes petites ... mais avions-nous vraiment grandi depuis, avions-nous vraiment perdu nos émotions de gamines trop curieuses ?
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44 – NAMASKAR INDIA – En attendant les divinités de Naggar (pendant que les manifestants français à Ganges dans l'Hérault attendent leur divinité « Pause-Caca » avec des casseroles) - Casserole : arme de destruction massive.... confisqué par la police sur ordre du préfet.

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45 – NAMASKAR INDIA – Appartement du peintre Nicolas Roerich et de son épouse Héléna Roerich, Mère de l'Agni Yoga.

Nicolas Roerich est né en Russie à Isvara le 10 octobre 1874. Il était descendant d'un père scandinave et d'une mère appartenant à une famille de la noblesse russe. On lui doit notamment plus de 7000 œuvres et des centaines sont exposé dans les musées de plus de 25 pays. Il est aussi connu comme écrivain de grande qualité. Il écrivit notamment des ouvrages traitant de l'art, de la poésie, de la philosophie, de la culture, d'humaniste, de voyages et d'archéologie.

Nicolas Roerich fut chargé d'une importante mission non seulement en U.R.S.S., mais également aux U.S.A. où il devait promouvoir le pacte de paix et la bannière de paix. Le pacte de paix avait pour but la protection des droits et des valeurs humaines et une plus grande harmonie entre les nations. Ce n'est qu'en 1930 que le pacte de la paix fut approuvé par une autorité mondiale, la Société des Nations, ancêtre de l'O.N.U.

Roerich aurait dans les années 1920, apporté une pierre sacrée de Shambhala qui, selon lui, aurait été apportée par un voyageur extra-terrestre venant probablement des environs de Sirius. Le fragment de pierre sacrée fut envoyé en Europe pour aider à l'établissement de la Société des Nations. La tentative fut un échec et d'Europe le fragment fut rapporté à Shambhala par Nicholas Roerich.

C'est de 1924 à 1928 que Nicolas Roerich fut l'organisateur et le guide de l'expédition en Asie Centrale dont le but réel et non avoué était d'entrer en contact avec certains lieux rattachés à Shambhala.

Les dernières dix-huit années de sa vie furent vécues à Naggar avec sa femme Héléna (qui quelquefois avait à voyager) et son fils Georges. Sa transition eut lieu le 13 décembre 1947 et ses cendres furent déposées sous une simple pierre quelques mètres plus bas que sa maison.

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46 – NAMASKAR INDIA – Bureau et bibliothèque d'Éléna Roerich « Mère de l'Agni Yoga » à Naggar.

Né le 13 février 1879 à Saint-Pétersbourg en Russie, Éléna Roerich dès son jeune âge montre une véritable passion pour la lecture, et les livres deviennent ses meilleurs professeurs et amis. Elle s'intéresse surtout à la nature, à la vie des différents peuples et à l'Orient. Également, dès l'enfance, Éléna aurait fait des rêves profonds et « prophétiques », et prétend recevoir des visions de nature à la fois personnelle et spirituelle.

Le 28 octobre 1901, Éléna épouse l'artiste, explorateur et promoteur de la paix Nicolas Roerich. En 1920, elle l'accompagne à New York pour la première exposition de ses peintures en Amérique. En mars de la même année, elle commence à écrire une série de livres appelés Agni Yoga ou Enseignement de l'Éthique Vivante. Présentés comme dictés par le Maître Morya, ces livres traitent de l'évolution de l'humanité. Se fondant à la fois sur les connaissances les plus anciennes de l'Orient et sur l'approche expérimentale de la science occidentale, les livres de l'Agni Yoga prétendent proposer de nouvelles solutions aux graves problèmes de l'humanité actuelle.

Elle a été l'une des fondatrices de l'Agni Yoga Society, dépositaire aujourd'hui de ses œuvres écrites, et a également été la traductrice en langue russe de La Doctrine Secrète de Helena Blavatsky.

Après sa mort, survenue en 1955 à Kalimpong, à l'est de Darjeeling en Inde, ses étudiants ont publié deux livres à partir des lettres qu'elle leur avait envoyées partout dans le monde.

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47 – NAMASKAR INDIA – Chatar Bhuj Temple, temple dédié à Vishnu – Bhutanta une des trois divinités de Naggar, sœur de Tripura Sundari

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48 – NAMASKAR INDIA – La terre se réchauffe, les lézards profitent de se dorer au soleil

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49 – NAMASKAR INDIA – Bye ! Bye ! Naggar.

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50 – NAMASKAR INDIA – New Delhi - Préparation du char et du cheval pour une cérémonie de mariage hindou.

On peut s'étonner que de jeunes ingénieures ou médecins, acceptent encore un mariage arrangé par leur famille.
Pour l'immense majorité, hommes et femmes confondus, la structure familiale et le mariage demeurent des valeurs essentielles. Si les jeunes gens éduqués acceptent encore les mariages arrangés, et c'est le cas de 95% des unions en Inde, c'est qu'ils sont convaincus qu'ils permettent d'accomplir le projet familial dans des conditions optimales. La pratique a d'ailleurs évolué : avant, les époux ne s'étaient jamais rencontrés avant la cérémonie du mariage. Aujourd'hui, même si ce sont toujours les parents qui se mobilisent pour rechercher un partenaire, les jeunes ont le droit de se rencontrer et de prendre le temps de se connaître. Les Indiens parlent de « mariage arrangé avec amour » et ne manquent pas de remarquer que les « mariages d'amour » occidentaux débouchent sur de nombreux divorces.

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