GE
êtes-vous en paix chez vous ?
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pourquoi ne sommes-nous pas tous égaux face au virus ?
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si les soignant.e.s avaient été écouté.e.s AVANT
aurait-on besoin de les applaudir MAINTENANT ?
est-ce qu'on oubliera ?
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comme un virus un désir planétaire d'obéissance
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est-ce que le capitalisme nous a offert 2 mois de vacances ?
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qui fait du profit en ce moment ?
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Postcard from Provence, France. I paint this hand made postcard after a trip to Roussillon, last year, September 2019.
Watercolour on paper, 10x15 cm.
Montagne Saint-Victoire. Postcard from Provence, France. I paint this hand made postcard after a trip to Aix-en-Provance, last year, September 2019.
Watercolour on paper, 10x15 cm.
Le dr. Thierry Schmitz: "La pandémie est doucement en train de disparaître et selon les prévisions, elle sera éradiquée à 99% à la fin de la première semaine de mai. Nous aurons donc vraisemblablement vaincu l'épidémie sans masque, sans test et sans vaccin !
Et concernant la « deuxième vague » que l'on prévoit (comme il a été le cas pour la grippe espagnole), il faut savoir que ce n'est pas la règle pour ce type d'affection, qui reste surtout saisonnière."
FEMMES HINDOUES
La Constitution indienne garantit l'égalité de tous devant la loi, mais les femmes demeurent inférieures aux hommes. Infériorité d'origine religieuse.
« L'épouse unique, totalement confiante, considère son mari comme un dieu et lui est complètement dévoué », dit le Kâma Sûtra, un texte écrit vers le 4ème siècle av. J.-C.
Le statut des femmes hindoues est sans doute meilleur que celui des musulmanes. De manière générale, il existe en Inde une asymétrie très forte entre hommes et femmes. Les Vedas posent que la femme n'est que la moitié de l'homme. Le siège de la féminité est considéré comme impur. Cette impureté, liée au sexe, est amplifiée dans les Lois du Manu, ce texte fondamental de l'hindouisme. Les femmes, inférieures aux hommes, sont assignées à demeurer d'éternelles mineures. Elles appartiennent à leur père, puis à leur époux... Une propriété qui passe de main en main. Aujourd'hui encore, l'homme transmet le nom de la lignée à travers ses fils. Il hérite du patrimoine familial. Ses droits et ses devoirs, comme prendre soin de ses parents âgés et accomplir les rites funéraires de son père, font de lui le chef « naturel » et incontesté de la famille.
La femme est complémentaire de son époux. Mais son rôle est résiduel. Ainsi, elle est condamnée au silence. La parole et la connaissance sacrées sont l'apanage des hommes. Au XIXe siècle, cet apanage est devenu un interdit radical : les femmes n'ont accès ni à l'écriture ni à la lecture... des pères ou des maris éclairés ont alors bravés cet interdit.
En 1974, sous la pression de l'ONU, Indira Gandhi a suscité un rapport sur les femmes qui révéla la très forte discrimination dont elles souffraient. L'Etat a alors mis en place des politiques de développement en leur faveur et tout un arsenal de lois pour les protéger. Un mouvement féminisme, très actif, s'est développé ; les médias ont joué le jeu.
VOL KLM 872 POUR AMSTERDAM
Jeudi matin je reçois un mail de l'ambassade Suisse, m'avertissant que deux vols étaient prévus pour le 3 et 5 mai avec la compagnie KLM : Delhi – Amsterdam – Genève. Sachant que le confinement en Inde allait être reporté jusqu'un 18 mai, je n'ai pas hésité, j'ai contacté par mail mon agence de voyage à Sion (Equinox). Claudia de l'agence a galéré durant deux heures pour me décrocher le dernier siège encore disponible.
Mon billet électronique en poche, mon parcours du combattant allait commencer. D'abord trouver un taxi pour me rendre de Rishikesh à l'aéroport de Delhi. Le fils de mon manager à une agence de voyage, a eu aucune difficulté de me trouver le taxi. Mais pour qu'il puisse m'emmener à Delhi il faut des autorisations. Pour cela j'ai dû contacter l'ambassade Suisse, qui après avoir reçu la confirmation de mon vol, a dû demander au ministère des Affaires extérieures à Delhi la permission de me rendre en taxi à l'aéroport. J'ai dû au préalable remplir une déclaration donnant tous les renseignements sur mon taxi et son chauffer et sur moi-même que l'ambassade a envoyé au ministère.
Vendredi matin, je reçois de l'ambassade Suisse ma permission du ministère des Affaires extérieures m'autorisant à me rendre à l'aéroport de Delhi le 4 mai. J'ouvre ici une parenthèse, pour remercier l'ambassade Suisse de Delhi, dont l'efficacité a été exemplaire.
Mais mes tribulations ne sont pas terminées, il me faut maintenant aller au poste de police de Laxman Jhula pour demander une accréditation pour que mon taxi puisse venir me chercher à la Guest House et m'emmener à Delhi. Après une heure d'attende, le chef de la police me remet le papier tant convoité ; mais ce n'est pas fini, pour que le papier soit validé il faut que je me rendre à 2 km du poste police pour recevoir le tampon et la signature du chef de la SDM (Sub Division Magistrate). Après m'être fait engueulé par le gardien de la SDM, parce que je l'ai dérangé durant son repas, je peux enfin recevoir le sésame qui m'ouvre les portes de la route Rishikesh – New Delhi (250 Km).
Vendredi, 14 heures, mes démarches sont terminées. Une bonne bière sans alcool s'impose.