- premier jour
vers la première semaine du site uneparjour, en juin 2006 
semaines
-
mois
-
années
- aujourd'hui
vers la semaine en cours / dernières images chargées
La semaine uneparjour... 12 octobre 2017
- productions uneparjour
"Free Tibet !" le combattant de demain... réveillez-vous européens, envahis par l'Amérique, la finance et la dictature Europe, et toujours silencieux, accumulant les conforts et les lâchetés, vivant du pillage des plus mal lotis
Les Saintes à fond de cale
Des centaines de flammes
Me chauffe la peau
Sara s'approche !
Ne t'inquiete plus, dit-elle
Entre deux écoulements de Coeur
Je te caresse les joues
Du haut des 3 étages
7 années se jetèrent,
Troublant le Rhône
3 secondes, à peine
Bateaux coquilliers Nouvelle-Écosse Canada
Se préparer à la saison des homards d'hiver
Quand les autorités pensent que leur action est un succès, les discours sont enflammés ( Centre Intermonde pour les échanges d'artistes avec les pays lointains).
Les photos de Muriel Bordier dominaient la salle avec leur humour politique.
C'est l'époque où les flamands roses se rassemblent...dans les ateliers ,d'artistes.
Sylvain Schneider : photos sur bâches : la surface de la Charente , oeuvre installée à côté du fleuve.
"L'aube paraissait à peine; tout était encore baigné du sombre de la nuit" V.Hugo
"Le silence se prolongeait. Il devenait de plus en plus épais, comme le brouillard du matin, épais et immobile."Vercors.
"Brouillards, montez! versez vos cendres monotones
Avec de longs haillons de brume dans les cieux
Que noiera le marais livide des automnes
Et bâtissez un grand plafond silencieux!"
S.Mallarmé
Accélération confuse
Vertigineuse et coupable,
Au petit jour, juste déambuler.
Nous étions en des jours
ou l'amour était décision
la lumière avait fui
le corps était à l'aise
Et la pensée libérée
du tragique
du sacré
des fleurs
et des cerises écrasées
J'ai emprunté la voie de gauche et sommé les jours anciens de se taire quand ils me doublaient
Les colonnes de mousse
grimpaient si haut
Tel un mariage
Chutaient au sommet
Ce vent soufflait
A l'entrée de la caverne
la tenait enflée de vide
Et de tunnels avortés
Un automne à Venise - 5 - Rien dans les mains, rien dans les poches
Cette Venise sans sympathie pour moi où j'allais rester seul, ne me semblait pas moins isolée, moins irréelle et c'était ma détresse que le chant de Sole moi s'élevant comme une déploration de la Venise que j'avais connue, semblait prendre à témoin.
( Albertine disparue, III, Marcel PROUST Ed. Gallimard )
Un automne à Venise - 6 - The Japonese girls
- Non mon colonel. Je n'avais aucune idée de qui avait fondé Venise.
- Ce furent les gars de Torcello. Des durs, qui avaient bon goût en matière de construction. Ils venaient d'une petite ville de la côte appelée Caorle. Mais ils avaient entraîné avec eux toute la population des villes et des fermes de l'arrière-pays quand les Visigoths eurent saccagé le coin. C'est un gars de Torcello qui faisait du trafic d'armes avec Alexandrie, qui découvrit le corps de saint Marc et le ramena en contrebande, sous une cargaison de porc frais, pour que les douaniers païens ne le repèrent pas. Ce garçon apporta la dépouille de saint Marc à Venise, et depuis le saint est devenu le patron de la ville, et les gens lui ont élevé une cathédrale.
( Au-delà du fleuve et sous les arbres Ernest HEMINGWAY Ed. Gallimard, 1965 )
Un automne à Venise - 8 - Soudain un visage se glissa dans l'encadrement de la fenêtre et complèta l'oeuvre auparavant très austère.
Un automne à Venise - 9 - Sculpture du Suisse Hans- Ruedi Wuthrich au Palazzo Mora
