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La semaine uneparjour... 30 mars 2017
- productions uneparjour
la vie des chambres traversait les murs
lumière du matin sur des morceaux de futur
Voyage Amsa, mes moyens de transoprts
Il y a des jours ou j'étais fatiguée et je n'ai pas fais de photo. Alors, j'ai fais des montages à la place. Est ce vous c'est bon... ?
Mes collègues, je suis aussi une photographe de la route. J'immortalise nos quotidiens durant mon voyage à travers les vitres ou (sans vitre si j'ai la chance) des fenêtres des voitures, étant sur la moto et dans la charrette.
Pendants ces moments je suis concentrée sur chaque occasion que je peux capter. Une photographe presque aveugle, je suis motive par les découvertes et je ne veux rien rater. Malheureusement, je rate beaucoup de bonnes occasions à cause de la fatigue, le manque de concentration, la distraction, les échanges avec mes voisins.
J'ai emprunté le car, le minibus que j'aime beaucoup, la voiture, la moto et la charrette.
Je partage avec vous mon voyage au Burkina, au Niger et au Nigeria : à suivre...
Une voiture en charge
Sur la route, j'ai capté cette voiture dans un village, le jour du marché au Nigeria.
La charge d'une voiture sur ma route
La charge d'une voiture sur ma route...
Une voiture charger
J'ai été attirée par les mouton sur les sacs et je voulais la partager. Voilà !
J'étais toujours en route
Et oui, je voyageais beaucoup pour avoir plus d'image et même souvent je reprenais la même route plusieurs fois en espérant avoir une meilleurs photo de certaine lieu. Ça n'ai pas marché !
Dès la fin du stage je me lance dans la réalisation.( masques de Gérard Lhériteau- pause dansée par le Collectif E2A )
Le lieu te dicte son texte
avec son savoir inconnu de toi
lance le loin devant
géant disparu
Dans ce silence des corps
l'âme grimpe les escaliers
invente l'origami à déplier
sous les toits
une couverture de fraises anisées
réparties souriantes
sur le haut de tes branches
encore nues
tu redresses le soleil
[UPJ: paparazzi des arbres]
Va, pays aimé
donne ton visage au monde
éloigne ta tragique ardeur
nourrie de frayeur léguée
Elle souffrait de la lumière
trop irradiée de son regard
cueillant le lilas du jardin clôt
et ses cheveux en bandoulière
Traversée du féminin maison
a brandi force et colère
haïe et aimée les ongles rouges
griffant les cuisses de la dernière
Tombée de violettes écrites
tes pas se heurtent aux cailloux
laisse courir la plainte dite
tu aimes le poète et c'est tout
