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La règle: rester dans l'eau autant de minutes que l'eau compte de degrés. Là, la petite laine s'impose.
...L es filles du village apprennent que le vieil et riche oncle de Nemorino vient de mourir, léguant sa fortune à son neveu. Nemorino l'ignore encore, mais il est devenu un parti avantageux : aussitôt, les paysannes l'entourent et se disputent ses faveurs. Déconcerté, Nemorino attribue l'effet à l'élixir qu'il a pris dans l'espoir de séduire la belle Adina, dont il est amoureux
Une bâche avec 200 photos tirées de upj, assemblées aléatoirement et imprimées par Tristan. Il y a des troublants hasards dans certains côtoiements d'image. L'aléatoire ne doit rien au hasard.
Le droit à l'image ? Mon mari n'en a pas besoin: il photographie des blaireaux.
It's cool, avec mon Pulse de chez Naiki (prononcez Nike), je sais que je dois monter à 3000 beats tous les jours pour être en forme. Bon, si je fais du vélo et que je ne bouge pas mes bras, le Pulse ne va pas me donner des crédits.
Je lui suggère de lâcher le guidon. Et le pulse, par la même occasion.
A cette traductrice, je révèle que l'arrière-plan m'intéresse tout autant que le premier plan.
C'est un peu traître, non ?
Ah mais ...il faut bien que je mette le "Traduttore traditore" (traduire, c'est trahir) en image non ?
Presque tous les jours je passe devant, j'adore l'atmosphère de ce jardin avec cette vieille bâtisse, il inspire la tranquillité, on y juste envie d'aller s'y ressourcer.
Contrairement à la croyance populaire, ce n'est pas le lys qui est l'émblème floral du Québec, c'est l'iris versicolore est l'émblème floral du Québec.
Cette fleur, je l'ai prise en photo il y a quelques jours alors qu'elle était épanouie. Aujourd'hui, j'ai photographié l'image de cette photo puisque la fleur elle-même est déjà chose du passé.
Et puis, il y avait une visiteuse en plein centre de la fleur. Je n'aurais pas pu mieux tomber.
Il n'était pas 4h30 ce matin que j'enfourchais le VTT (véhicule tout-terrain) ou Quad et je prenais la route vers le lac Vassal à quelques 5 kilomètres de la forêt-école.
Moi qui ne suis nullement le courage incarné quand il s'agit de partir seule, en forêt, sur le bord de l'eau, alors que les animaux viennent s'y désaltérer ... Je n'en ai vu aucun, le moteur de mon engin les ayant fait fuir avant même mon arrivée dans leur champ de vision.
Quel spectacle grandiose !
Être là, seule au coeur de la forêt dans la nature qui s'éveille ...
Vois comme c'est beau !
Alors ça se passe sur une terrasse. On mange. Déjeune disent les français. Un cordon bleu qui fait la planche sur un risotto. Un mec passe, zieute nos assiettes. Repasse dans l'autre sens, rezieute. Puis s'arrête, fixe avec insistance nos plats du jour encore une fois. Laissez-vous faire, que je jette, c'est délicieux. Il s'assied. Sans un mot. Je déplace mon pied droit qui touche un truc mou. La queue d'un chien. L'ai pas vu. Il est à vous ? C'est quelle marque ? On dit race. Pendant ce temps Boris envoie une image de son laptop qu'il a sur les genoux pendant que je mange, discute et considère le chien. Je dégaine mon appareil. Appelle la bête. Qui s'en fiche d'abord. Il doit avoir d'autres centres d'intérêts. Je photographie alors sa vie de chien. Rengaine. Souris à son maître qui se lance dans une histoire de combat féroce entre son chéri et un renard qui lui aurait arraché à coups de dents son petit manteau d'hiver retrouvé ensanglanté au milieu d'un champ enneigé.
Bon appétit !
Vous n'oublierez pas de me verser les droits pour l'image, me dit le propriétaire du cabot... Oui, bien sûr, justement on en parlait ce matin avec des collègues photographes.
King Bala, l'incroyable et invaincu lutteur américain en visite à Genève.
Nos amis ardéchois nous apportent l'expérience qui leur a permis de se mobiliser contre l'exploitation du gaz de schiste pour lutter contre la prolifération de la musique d'ascenseur andine aux fêtes de la musique...