GE
Si vous sentez qu'on vous caresse dans le cou, vous saurez que c'est moi.
A la lake parade comme au mondial, le spectacle est en face du spectacle.
Belle balade cyclo-littéraire avec Sita sur les Hommes du Tarot.
Pour être passionnant, il suffit d'être passionné.
www.baladesavelo.ch
www.samediduvelo.ch
My name is Monica, m'avait-elle dit.
J'éclate de rire, puis, ne la voyant pas en faire autant, me rabats sur un cigare en marmonnant une vague excuse.
J'ai googlisé ce tag déviant et suis tombé sur cette belle histoire, que je transmets avec plaisir au tagueur.
Dakar, le 30 septembre 2008.
Le célèbre Tigre de Fass, Moustapha Guèye, s'est illustré, cette fois-ci, loin des arènes de la lutte. Arrêté dimanche dernier, il a été déféré hier matin pour s'en être pris à un policier de la circulation en faction entre autres infractions.
A l'origine, le lutteur était au volant tout en téléphonant. L'agent lui demanda son permis de conduire, mais Moustapha Guèye préféra continuer son chemin sans avoir l'aval du policier. Puis il revint sur ses pas et saisit le policier par le collet. Mais c'était sans compter avec la réaction des passants conscients de la valeur de la tenue et du noble travail qu'ABAT LA POLICE en général et surtout la compagnie de circulation en particulier. Les passants volèrent au secours du policier malmené en s'en prenant à Moustapha Guèye qu'ils ont failli lyncher pour son comportement à l'endroit de l'agent.
Entgegen alle Erwartungen, mit dem Warten nährt man sich der Istigkeit.
…said the boyito.
insatallé sur l'ultime terrain libre du quartier riche;
fait penser à la rapacité humaine.
A l'orée du bois de pins, dans les confins de l'adolescence…
Vue d'avion de l'énergique chanteuse de "What's wrong with us" au festival des Cropettes.
…je…oui, sirop de sureau…Jacques…rire…melon et fromage jusqu'au bout…passez-moi les plats…regardez mes mains… remonte du pain !…rentré les foins…Ramu…touché quelque chose de magnifique, devinez quoi ?…Simon, ça va l'école ?…touché quoi…et toi tu ?…tu, le bleu de l'encre…Alain…Une Saison en Enfer…, ah, oui, le connais…où habites-tu ? dans le, dans le, dans le buisson ardent de Lulu…qui coupe la tarte ? mardi : pique-nique, etc…arrête !… la lune…lune vite…monte…Ghana….qui ?… martinets et l'odeur du café…couper la tarte ?…c'est beau…Fabio, dommage…regarde la bougie…c'est pas rond…je savais que, je savais que tu le dirais…transparence…une par jour…sens ?…c'est bon, ta tarte !…tiens Ruth rentre, il y a de la lumière…un chalet dans un couloir d'avalanche…arrête !…le moins souvent possible…on se réjouit…
Et pendant que murissait la lune dans le ciel, Aline, qui ne la voyait pas, regardait pour la huitième fois Autant en emporte le vent.
La soirée était douce et il a peu plu, sinon pas du tout….
"Je viens d'arriver à Berlin…les gens ont l'air vachement sympa…Bisous. J."
Vers quoi a bien pu se porter sa dernière pensée avant qu'il ne rende son âme à Dieu ?
Le fumet du brouet que lui préparait sa tendre épouse ?
Le chant du merle qu'il a tant aimé ?
Lulu et son beau joufflu ?
La peur de manquer d'air ?
C'étaient les années quatre vingt
J'avais 25, 26 ans
Peur de rien et une bicyclette
Lu Le Clézio sans vraiment comprendre
Cru comprendre
Qu'aimer passionnément
Engendrait la réciproque
Et des enfants en bonus
C'était le temps où Bill
Promenait son amour de la beauté
En faisant ronronner les entrailles de son américaine
Sa voiture c'était lui
Ses pneus blancs étaient ses chaussures
Son taxi était sa vie
C'était le temps où
le temps ne compte pas
ni l'énergie qu'on dépense pour sauver un rêve de la noyade
C'était le temps où les chutes du Rhin
Me traversaient le corps
Quand elle disait du bout des lèvres : « Mais oui… »
C'était le temps des sourires étincelants reflétés par les chromes
Où la vitesse empêchait les promesses
Où l'amour était un feu de joie
Qui brûlait en plein soleil
C'était le temps où les corps étaient des peaux de tambours
Qui faisaient des bruits d'orages
Quand on les effleurait des doigts
C'était le temps où Bill brillait
Se moquant comme d'une guigne des 80 ans qu'il a aujourd'hui
Vertical encore sur le radeau de la Méduse de cette photographie
Toujours encore, il sourit …
Parc des Cropettes, AMR Jazz Festival
Fabio et la vaisselle recyclable au soleil couchant
Sofia nous a rejoint, la lumière a une autre clarté desormais
je me questionne souvent - quoi donc est-ce qui m'échauffe tant à
écrire dans des langues sans maîtrise pour moi
presqu'au bafouillement
l'hésitation de la création
dans un espace non maîtrisé
me donne des frissons
your naked foot on the ground is a door to your purest heaven
l'absence d'une maîtrise des mots
se frotte sensuellement
à l'imprécision du sens des images
her bones lay
today
calmly in a box
under a few feets
of ground
she was a warm
friend
near to my soul
in sound, noise or music
(
t'excite pas
mâteur de culs
je parle ici
d'amitié…
et
je ne donnerai pas
l'adresse
de sa tombe
)
DERNIERES NOUVELLES : Une jeune reine vient de commettre un putsch dans une ruche de Zinal. Elle s'est emparée du pouvoir et à chassée la vieille reine qui a dû quitter son palais précipitamment pour aller se réfugier dans un sorbier. Elle a été suivie par des milliers d'abeilles qui lui sont restées fidèles. Au point de vue économique, ce putsch pourrait avoir des conséquences sur la production de miel.
Fracas du tonnerre
Solitaire et secrète, l'essence éternelle
La pluie s'abat