GE
There ain't such thing as a free lunch in Finance. How about dinner ?
Fidèle à lui-même, Bernard. Le premier réflexe au réveil sera pour le Zippo qui cherche la gauloise sans filtre. Et de me rappeler ensuite la notion bakounienne de la liberté: "Ma liberté commence là où commence celle d'autrui".
Mais… qui commence ?
le rêve de conquérir une nouvelle coupe du Monde va relever de la plus haute Antiquité!
l'exposition de M Schildge s'achève dans un accord (très)sensible.
"Your memory is a monster; you forget-it doesn't. It simply files for you, or hides things from you-and summons them to your recall with a will of its own.You think you have a memory;but it has you." John Irving, quoted in The Times of London
enfin je remarche dehors
dans la nuit qui a des odeurs
pas comme les écrans de télévision
et je finis par retrouver un espace
qui se montre enfin vrai
le jaune pétant industriel
le gris sale du passé
le tag tourbillonnant
un seul rayon de lumière
venu de je ne sais vraiment pas où
et un seul spectateur… moi
plutôt que la vomissure télévisuelle
et ses millions de projecteurs et de spectateurs
[eurovision - trajet des images violeuses dans des millions de corps obéissants]
sortir au dehors pour revivre
encore craintif
retrouver la lumière
mais pas la malsaine de l'écran
entre une image qui tente de te vendre quelque chose
( un produit, une perfection technique, de la célébrité )
et une image qui simplement parle
il y a tout l'espace entre une machine et un humain
[sur une image de Amsatou Diallo]
quand tu te retrouves pris entre les feux
pris entre des visages
qui ont des regards
mais pas de logique
pas de signification évidente…
alors tu peux enfin te mouvoir
dans un espace de liberté
et de création intérieure
je trouve que les photographes
devraient éviter de révéler
les contextes qui pourraient
"faire comprendre" l'image
lui enlevant ainsi
son mystère et sa portée
[vie et fonctionnement d'une image entrant dans un corps à un certain moment de l'histoire - sur une image de Michel Bruno]
j'aime les images de déchets
quand l'oeil
discutant avec le corps et l'âme
regarde passer cette image
il se dit
"oh-ho… belles couleurs… nourriture… nature.. . jolies herbettes…"
"eh ! merde ! le salop ! c'est une poubelle …"
et c'est là que s'initie le dialogue de la pensée avec le corps
"c'est étrange… que j'aie aimé ça … les poubelles… ne seraient-elles pas immuablement dégueulasses ? mais alors… peut-être… à la rigueur… les mendiants Roms non plus…"
[vie et fonctionnement d'une image entrant dans un corps à un certain moment de l'histoire - sur une image de Francis Traunig]
je ne sais pas…
je ne sais pas si cette image est fabriquée, vraie, fausse
je ne suis même pas bien certain de la technique utilisée
et ne cherche pas à savoir
ne pas savoir… quel luxe sublime
pas de google big brother… pas de procureur au crâne rasé… pas de diseur de vérités artistiques… pas de google street view… pas de politicien marketé par un spécialiste en communication… eux qui voient tout et croient tout savoir et tout maîtriser
je ne sais pas
juste une image
[exposition à l'espace ford - usine - genève]
Elle dit ne pas comprendre mon goût pour ce type de cliché.
Je lui réponds que mon goût va dans cette direction…
Au pied du divan où se repose ma vieille mère, absorbée par les souvenirs du passé, j'ai été saisi par ce sac qui figure l'enfance et dont l'inscription prend du coup une valeur symbolique particulière…
Oui, c'est la vie, et celle-ci n'est qu'un passage…
Derrière le paravent du feuillage, un nu de Combas se dévoile charnellement…
jardinage, cueillette, conserves et élixirs
… déjà le temps des cerises
et des fleurs de sureau …
L'intelligence c'est la capacité d'adaptation au changement du milieu. Ce couple s'est rendu compte que les trottoirs, le matin, étaient constellés de miettes de croissants. Ils attendent qu'il en pleuve..
…comme nous, la guêpe boit, pique, se réjouit de l'été et fait des petits.
Puisque notre corps ne sait plus préserver ses secrets, il faudrait proposer à l'église de la technologie d'investigation médicale moderne pour partir à la recherche de l'âme - savoir si elle niche du bon côté. Eco-responsabilité qui aurait empêché le clergé, avec sa mode du bûcher, de souiller l'atmosphère et de foutre ne l'air le jardin de Dieu…
C'est dans cette tour, ancien donjon des seigneurs de Rarogne, que depuis le XIIème siècle, résidaient les vidomnes et les majors de Rarogne, représentants locaux de l'évêque de Sion.
Que d'intrigues, de manoeuvres secrètes se sont déroulées derrière cette porte !
Jiminy Crickett, l'ami et le conseiller de Pinocchio recommandait à celui-ci, quand il fallait agir, de bien suivre cette règle : ne jamais mentir et écouter les conseils de sa conscience. Naturellement, Pinocchio n'écoutait jamais les bons conseils de son ami le grillon et faisait tout le contraire, exactement comme aujourd'hui,pour une grande partie de nos politiciens qui manient la langue de bois et qui nous prennent vraiment pour des cons.
Les pinocchios du Conseil Fédéral et de sa meute de parlementaires fédéraux ne sont que de lamentables et tristes pantins qui n'ont aucun respect pour la majorité du peuple Suisse.
Alors que nous devrions attendre de ces guignols, qui en passant reçoivent des enveloppes pour leurs partis venant de la part de ses ignobles banquiers, du courage, de la confiance et de l'honnêteté, la seule chose qu'ils sont capables de nous offrir, ce sont des mensonges, des magouilles et des blablas. En plus, ce sont de gros malhonnêtes qui n'ont même pas remercié les contribuables suisses pour les 45 milliards de montants actifs pourris d'UBS rachetés par la Banque national provenant de l'argent public.
La bonne conscience de Jiminy Crickett est depuis longtemps passée à la trappe !