GE
J'suis venue dire au revoir à ma grand-mère, j'suis pas la seule… on dirait !
au bord de la mer tout s'envole, vache et poissons se rejoignent….
Le bal du pistil et de l'étamine - une vieille histoire.
Il faudra l'aide d'un bouddha pratiquant le sumo pour repousser le désir du fumeur hors du cendrier.
Quel bircher ce fucking add for eine schweizer Uhr. Das ist évidemment dificult to decide quelle montre acheter. There is such a big choice de montres und so wenig Zeit. Ce mec, c'est un soldat? Celui que je rêve d'être, oder ist er une image sortie d'un film, film de ma vie dont je serais le héros. Et ce Nietzsche, c'est qui, un joueur de tennis, un pilote d'avion ? Et cette phrase in english, déjà entendue, mais où ? when ? wann ?
Quand les suisses auront enlevé toutes les taches de couleurs, ils les remplaceront par des panneaux de circulation et seront heureux
…Okayyyy, so I've got a slight something for those high heels! Other than that, I'm sane, really!!
The story of her arrival echoed across the lights and stars of this Other World, but she now had to return…
-Do you, she said, hear that music, that song?
-The music can be you, responded Tshe-Mannduu, I, the song!
…-But don't tell the world.
(In:Short stories and Other Musings)
"La Mer navigue/
La Terre marche/
Le Ciel vole/
et moi, je rampe pour humer la vie…" Rita Mestokosho
…I know he would've felt outrage at the thought of seeing 6,000km of forestry roads being constructed on the land that has sustained him and many generations before him, including his own Grand-parents.
I can't write or talk much about my father, he left me early, I only want to walk the virgin forests he left for us all, and travel the lakes and rivers he canoed with such dexterity; after him! (Speech, at Laval University on Environmental Justice)
Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles.
Jules Barbey d'Aurevilly
enfin ! probablement que francis va me dire que c'est pas de la bonne qualité
mais la musique, elle, fut puissante, la transe solide…
la "transe" ! pas la "tranche" ! inculte !
On découvrait qu'entre nos mots nous parlions encore la même langue, que les champs de lavandes n'avaient plus de saisons et que le soleil, trop fort et net à cette heure, ne menaçait pas pour autant les lueurs autrement ténues.
Je vois le monde endimanché, au bord d'un lac ou sur les trottoirs des cités, comme un roquet à la laisse brisée se surprend soudain à le voir, aveuglé mais qui hésite encore entre gambader juste quelques mètres en plus ou carrément foutre le camp. Ah! errer!
C'est un après-midi oisif de printemps étalé sur toute la chrétienté, on va, on vient, des histoires se racontent et d'autres n'existent pas encore, on attend une commande, on baille en jetant un coup d'œil et on se surprend à baigner dans une iconographie américaine qui nous aura marqué bien plus qu'on ne le pense.
Première tentative de traversée de la rue sur un fil. Les conditions sont optimales: pas de vent, soleil latéral, température agréable, humidité favorablement antidérapante et puis les passants comme d'habitude indifférents et les radios des fenêtres pas trop fortes. La plus grande difficulté réside dans l'invisibilité de mon câble. Il faut glisser à tâtons en restant sur les lignes!
J'ai bien entendu qu'il paraîtrait que sa sœur, après avoir vécu dix-huit ans à Chicago, n'aurait pas reconnu l'amant de sa mère, à son retour, et qu'elle lui aurait proposé, ni une ni deux, de reprendre l'affaire simplement parce que les jumelles assuraient encore le service et, qu'en tant que cousin, il ne pouvait pas laisser filer l'occasion. Et moi je sais ce qu'il a répondu.
Le soir tombait, je regardais la mâture et les voiles en attente d'un frémissement. Ainsi, accoudé au bastingage, le nez au ciel de nuit tombante, sifflotant à peine une rengaine, j'attendais moi aussi un frisson d'air en songeant à ma lointaine Patagonie et je compris définitivement que si je n'entendais rien à la physique des vents, que si le vent me demeurait étranger, je parlais néanmoins sa langue. Il constituait peut-être même ma véritable langue natale, celle-là que je me dois alors maintenant de réapprendre, sa rose comme grammaire et ses sautes comme lexique.
Comme annoncé le 6 mars et réitéré depuis tous les vendredi.
Un brin baba-cool, à la Francis Cabrel en culotte de zouave, à sa place je me méfierais de l'écolo tendance alternatif planté dans son dos…
Ce double album vinyle 30cm de Bob Dylan s'appelle «self-portrait» et date de 1970. La peinture de la pochette est donc de Dylan lui-même et c'est notablement l'un des plus mauvais disques de l'artiste.
Ou comment faire un auto-portrait à partir d'un self-portrait…
"l'artise ne doit pas copier la nature mais prendre les éléments de la nature et créer un nouvel élément"
Paul Gaugin
Poshi …mais l'homme voit "l'ours Polaire vu de sous la banquise, avant que celle-ci n'existe plus, aussi" XR
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« L'objet de la recherche n'est plus la nature en soi, mais la nature livrée à l'interrogation humaine, est dans cette mesure l'homme ne rencontre ici que lui-même. » Werner Heisenberg
Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié…
c'est un jour pour sortir les caquelons!
Aux bains de Pâquis … tous!
Sans l'ombre de l'homme
le souffle du vent présent
ombres tombantes en forment de grappes
Sans l'ombre de l'homme, une instalation de Samuel Rousseau à la Galerie Guy Bärtschi