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le bonheur affirmé, les surfaces lisses et brillantes, me mettent toujours un arrière-goût de mort dans la bouche… Et je souris de me sentir chez moi dans le noir de l'ombre, de la nuit, du froid…
"Oh my God ! Oh my God ! (réplique favorite des actrices pornographiques américaines - ndtr) That light was too hard for my eyes ! I needed protection. "
La survie n'est pas simple pour le hibou sorti de sa nuit. Même une souris peut le ridiculiser. Sans parler de la belette sanguinaire…
Arnulf Rainer, Autoportrait, 1969. Détail.
C'est déguster l'alphabet tout entier qu'il faut. Avec de la crême fraîche et des points d'exclamations.
Au-delà de ce qui pourrait paraître trivial (cette photo a été interdite aux USA), me bouleverse cette poignante métaphore où l'homme cherche à rapprocher son cerveau de son berceau et ainsi réconcilier la chair et l'esprit.
J'aime la fête des morts. C'est bien aujourd'hui? Parce que pour fêter les morts il faut être bien vivant.
Epitaphe sur la tombe de l'architecte : Il a construit dur toute sa vie sachant que rien ne dure.
Beware of sharks. Don't surf or swim at dawn or dusk, when sharks feed. Never urinate in your wetsuit or in the ocean; sharks will think you're a fish in distress. Stay out of the water if you have a bleeding wound. Don't clap your hands and bark like a seal. Fight back if attacked. Poke the shark's eyes and its sensative snout. Sharks don't expect meals to fight back. Suggestions!
"Nous sommes des passants à travers des vies, belles, terribles." Barbara
Ouverture de la chasse aux chevreuils aujourd'hui ici! These lines aren't Martina's white lines (hint, hint!) but the parking demarcations of a restaurant at Lac Beauport.
On pourrait croire que cette mégapole financière qu'est New-York est derrière l'actuel Président. Détrompez-vous.
Vous goûter moyennement à cette récupération d'Halloween dans nos frontières? Attendez de voir débarquer la mode des défilés d'ados qui laissent chapeaux pointus et longue toque noire au vestiaire.
Il est aussi connu à Times Square que la boule de Nouvel An. Eté comme hiver, dans la même tenue. Vous pouvez le découvrir, enfin presque, sur son site "The Tao of the Naked Cowboy" et lui envoyer un pourboire. A moins que vous ne préfériez le glisser dans ses bottes.
Ce Vigneron-tâcheron de Vevey rentre de New York en Business après avoir joué du Cor des Alpes à une fête d'un célèbre Horloger. Son émerveillement est un vrai bonheur. Tant pis si on dirait qu'il répète quand il dort.
Elle a eu envie d'un grand format pour la plus belle déclaration d'amour qu'elle ait lue.
Une de ses oeuvres magiques des années 77 à 79, qui à survécu, grace au goût artistique d'un proprpiétaire de bâtiment.
période mon assisstant de photo, un des meilleurs que j'ai jamais eu. Depuis des années maintenant, il est copropriétaire de plusieurs restaurants et bars, ils prospèrent tous. Le voilà avec ses compagnons à l'ouverture de leur dernier enfant: Le "Alte Metzg", un Bar Métal hurlant
à la Langstrasse
il peint et y mène un galerie d'art. Le voiçi devant ses propres oeuvres "les derniers jours de l'humanité"
pour un Karaoke qui aide à digérer la fondue
La circoncision fait partie des moments les plus importants de la vie d'un garçon chez les soninké (une des ethnies au Mali) . A l'instar de nombreuses autres communautés dans le monde, la circoncion est une pratique à l'origine mal connue. Aussi longtemps que l'on remonte, les Soninké ont toujours pratiqué la circoncison en ce qui concerne les jeunes garçons. Comme le mariage ou le baptême, la circoncision est une étape très importante dans la vie du jeune Soninké. Elle sert tout simplement à lieu pour la vie toute une classe d'âge. Elle donne un sens au Féddé qui regroupe tous les garçons de la même classe d'âge. Cette classe d'âge font ensemble le birou c'est à dire la case d'hommes. Il y a une vie avant la circoncision et une vie après cet épisode. Au Soninkara, le mot murunté signifie un garçon qui n'est pas encore circoncis. Ainsi on différencie un circoncis et et une personne non circoncise. Chez les Soninkés, le mot murunté fait partie du vocabulaire péjoratif quand on le lance à la figure de quelqu'un. C'est étape qui permet au murunté de devenir un Homme. C'est le passage de l'adolescence au monde des adultes.
d'un point de vue philosophique, le noir symbolise l'invisibilité et l'amitié
une double notion symbolique pour cet oiseau;
idéale, rare et invisible d'une part…
concrète et vécue d'autre part…
Je reviens à Montréal
La tête gonflée de nuages
C'est le transit d'Amsterdam
Qui s'est chargée du glaçage
Je reviens à Montréal
Le corps tatoué de visages
Des anges dandys au dense plumage
Ont mis en lumière mon passage
…
Ariane Moffatt
Je les entends toujours qui m'appellent
Les cris de l'endomètre rebelle
Au temps d'avant
D'avant les grands détours
C'était le temps d'avant
Je les entends toujours qui m'appellent
Les hurlement de l'ange rebelle
Massacrant l'apparat de nos amours
De nos fastes amour
Ô toi ! Mon pauvre amour
Qui sait si j'ai eu tort
De proclamer sa mort
Au milieu de la nuit
Au beau milieu de la nuit
Allez-y criez plus fort
Vos cris seront ma mort
Comme un geste précis
Un geste bien trop précis
…
Pierre Lapointe
Un flâneur exigeant et systématique
L'exposition « Mine…» fait partie du projet Ville-Visage, commencé par Guy Wouete à Cotonou il y a deux ans et poursuivi à Bamako, avant d'autres capitales africaines. Un projet mené dans une logique de pélerin plutôt que de voyeur : à travers les photographies, les peintures ou les vidéos, ce n'est pas l'extraordinaire qui est recherché, mais le banal, le quotidien des scènes de rencontre avec l'étranger. Au fil des voyages et des travaux, les impressions des villes se confondent et se superposent. Douala, Cotonou, Bamako. Medellin, aussi, une ville latino-américaine réputée pour sa violence, où l'artiste a résidé pendant plusieurs mois. Flâneur
Traduire la ville
Les photos sont prises au hasard des déambulations, parfois volées, parfois consenties. L'enfant fasciné par les gestes du photographe de studio quand sa mère l'y emmenait pour des poses, qui fréquentait en secret les vidéoclubs et rêvait de devenir scientifique à la NASA, s'est formé aux métiers de l'image. Dès lors, le souci de témoigner rejoint la fascination des images de films, tenues en mémoire depuis l'enfance. Comment montrer l'identité d'une ville ? Comment traduire ce qui s'en dégage ? Pourquoi, trop souvent, apparaît-il dans les images comme un sentiment de déjà-vu ? Il faut introduire du mouvement, travailler de manière plus conceptuelle : la photo n'est plus seulement une prise de vue, elle devient médium de recherche. La vidéo l'installe définitivement dans un rapport expérimental.
La peinture, elle, s'insère dans le travail sans rapport a priori aux impressions recueillies à travers les photographies : c'est l'émotion du moment, la survenue d'un fait d'actualité qui la motivent. D'où les fonds parfois plombés, parfois transparents, les explosions de couleurs, l'objet meurtrier sorti de son contexte et emblématisé. C'est cela qui fait sens. Nul besoin de s'étendre dans les explications. La posture artistique est assumée : on ne s'exprime jamais que depuis là où l'on est.
Terrains minés
Chaque ville connaît son lot de violence. Mais l'impression n'est pas la même au contact des personnes rencontrées. Les discussions dans les petits parcs de Medellin appellent un savoir-vivre qui conjure la brutalité des faits. Impressions trompeuses ou réelles antidotes ? La vie continue, même si en sous-main, le destin frappe. Au hasard, ou de manière systématique. Les traits répétitifs sur la toile, ce sont les alignements des personnes qui ne se relèveront pas.
Bamako va plus doucement. On s'y sent à l'écart de la vitesse des autres capitales du continent. D'où peut-être cette impression d'originalité, de vrai dans le vécu des gens, aussi bien dans les bons jours que dans les moments critiques. Au Cameroun, les jeunes ne sont pas positifs vis-à-vis de l'avenir, mais ambitieux pour eux-mêmes. Il n'y a personne qui incarne ce rêve d'avenir, d'un avenir qui pourrait être meilleur.
Ce rêve, c'est peut-être celui de la petite Aïcha de la vidéo « Imminent tsunami ». Son entrée en résistance, son effort quotidien pour réduire l'écart entre un présent hypnotique et un avenir qui serait inaccessible. Car le futur n'est pas ailleurs, il est dans cet entre-deux, il est là où nous étions quand nous étions chez nous : « là-bas ici ».
Dominique Schoeni, d'après les propos de l'artiste
L'Afrique??? Comment l'observer? Comment y vivre? Pourquoi y croire?
En tous cas, j'y suis né il y a quelques temps, et j'ai appris à me poser d'autres question que celles la…
Dur dur… d'être une femme dans un pays en voie de développement.
Une petite qui ne se laisse pas faire, à 4ans Sira se lave toute seule.
Tout se passe en neuf (9) mois. Le corps des futures mères se transforme rapidement et psychologiquement, elles sont amenées à considérer les besoins d'un petit « être » à naître.
Salut à toutes les nouvelles maman !