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Ca explique certaines choses.
Avaler le soleil qui a fait pousser le blé en mangeant la tranche de pain!
Suite à la mort de son frère, Anne nous lit, aux lectures publiques, ses fragments de deuil : "Jamais n'est jamais sûr".
Dans la rampe d'accès au garage communal, nichait une hirondelle. Elle a été écrasée par une voiture.
Pizza avec 5 femmes qui racontent leur atelier d'écriture érotique.
Un homme en marcel, sur un vélomoteur, pousse un cri de victoire et disparaît.
Il a fait presque trente degrés aujourd'hui.
Et jamais, n'est jamais sûr !
Jamais, en me levant ce matin, je n'aurais imaginé faire la rencontre d'une jeune fille au sourire crémeux, déguisée en pot Nivea,
Imaginez un bâtiment de 200 mètres de long collé contre une colline en granit dans laquelle s'engouffre un tunnel - c'est la gare en cul de sac de Porto, une des plus belles gare du monde. Emporté par la majesté du projet, l'architecte a oublié de prévoir des guichets. (C'est le bâtiment au fond à droite !)
Au Portugal, avec le salaire minimum - smic - on peut se payer 300 litres de super par mois. C'est vrai que c'est l'essence la plus chère d'Europe, deux francs cinquante le litre, et c'est vrai aussi que sept cent cinquante francs mensuel c'est toujours mieux que les cent trente cinq francs que touche l'ouvrier Bulgare. En cherchant bien, on trouve toujours plus malheureux !
Scotché chez moi un peu comme Jeff dans "fenêtre sur cour", je m'interroge sur le lien entre la mobilité et la photographie.
30ème anniversaire du "Beau Lac de Bâle". Magnifique concert au Petit Casino. Le public s'est levé pour danser le slow "Warum"
Le Comité d'Analyse Technique est bullish sur le Conf 10 ans. Bearish sur les prix, donc. Les taux longs vont monter, faiblesse du franc oblige.
Communisolement: un thème photographique qui m'habite depuis longtemps. Fusion antinomique, isolement commun au bout du fil? Il y a comme un isolement dans la communication, vous ne trouvez pas ? Hého… je vous parle !…
Deux collèges qui s'affrontent à coup de ballons remplis d'eau, juste sous bureau. Mais pourquoi ces cagoules ? Mon fils m'expliquera que les ballons se transforment systématiquement en pierres.
Avec un naturel dont le Brésil a le secret, elle me dit que c'est le seul endroit d'où elle peut entendre les vibrations de son téléphone.
"Dis Maman, il y a un lac à Bâle ?". Ca fait 30 ans qu'on y croit. Mais écouter le Beau Lac de Bâle assis dans du velours, c'est éprouver la même frustration que le bellâtre qui doit d'abord aller faire pisser Mirza avant de pouvoir glisser sa plantureuse propriétaire sous ses draps.
Dans ce quartier chic de Genève, ce genre de pied-de-nez en serait presque drôle.
… un des moments les plus importants de la vie
… rejeton âgé d'une grande famille, mis à l'abri d'une grave maladie par cryogénisation. Dans mon froid glacial, capturé par un ralenti interminable, je songe aux chances inestimables qu'apportent la technologie et la richesse… J'aurais tout aussi bien pu naître ouvrier et mourir stupidement de l'immense fatigue de mon corps!
de l'arbre à cause de la tempête. (Malgré tout le changement du climat et de la nature, les oiseaux ne pondent pas encore des oeufs en plastique, heureusement…)
au volant, c'est clair, mais u-p-j-er, çe n'est pas défendu, non?
… c'est ce qu'on nous répète souvent. Ici, on s'improvise réparateur de pneus de vélo, on vend quelques litres d'essence 2 temps dans des bouteilles de pastis, on fond le plastique pour réparer bassines et seaux, on s'installe blanchisseur dans 4 mètres carrés, on devient buraliste de carrefour. A Bamako la capitale comme ailleurs, y'a pas de sots métiers.
Tableaux de Marc CRESCI qui à mis fin à ses jours 3 jours avant son vernissage, ce soir verrée en son hommage à l'usine Kugler
C'est la réalité des photos qui sont sur mon cœur que je veux
Cette réalité seule elle seule et rien d'autre
Mon cœur le répète sans cesse comme une bouche d'orateur et le redit
A chaque battement
Toutes les autres images du monde sont fausses
Elles n'ont pas d'autre apparence que celle des fantômes
Le monde singulier qui m'entoure métallique végétal
Souterrain
O vie qui aspire le soleil matinal
Cet univres singulièrement ornée d'artifices
N'est-ce point quelque œuvre de sorcellerie
Comme on pouvait l'étudier autrefois
A Tolède
Où fut l'école diabolique la plus illustre
Et moi j'ai sur moi un univers plus précis plus certain
Fait à ton image