Les feuilles mortes se ramassent à la pelle Les souvenirs et les regrets aussi...
Et que pètent les couleurs !
Un dimanche ciel bleu et soleil, en Drôme provençale.
J'AVAIS BIEN INVITÉ QUELQU'UN POUR S'ASSEOIR MAIS - IL Y AVAIT TROP - DE LUMIÈRE POUR DES MOTS
LA LUMIÈRE EST NOIRE - QUAND ELLE SE HEURTE ELLE SE REND - VISIBLE POUR L'OEIL
LA VRAIE GUERRE - SE PASSE VIA LA RADIATION DES HUMAINS - SATELLITES 5G - TRANSFORMATION EN ANIMAUX ÉLECTRIQUES
La couleur est un désespoir. Un désespoir qui aide à lutter face à la noirceur du blanc. Lutter face à la noirceur des corps blancs.
J'ai toujours aimé le noir. Quelque part je me sens noir au fond de moi. Mais pas d'une noirceur comme la mort, pas d'une noirceur d'assassin, non ! Une noirceur de la vie, du rêve, de la joie sombre, du corps qui s'ouvre à tout, y compris à la mort - la sienne propre bien sûr ! Pas comme les tueurs blancs qui tue toujours les autres, au lieu de se tuer eux-mêmes !
... le poisson en fin de carrière, capturé dans les filets industriels, un joli moustachu aux yeux profonds au corps mordoré, la main de Dieu qui se prépare peut-être pour un doigt d'honneur aux humains, le Grossmünster de Zurich avec une suppliante qui cherche à obtenir des passe-droits, quelques maisons carrébossues, un gratte-à-cul, vague cousin de sa cousine l'églantine, bien plus mignonne que lui ! et voilà. tout ce chaos fait une sorte de tableau, assez décadent ...
FACE à FACE
Un face à face rétrospectif où mes images des 20 dernières années regardent dans les yeux les petites chéries des années 80 et 90 ! Les techniques ont changé, et même basculé, mais la fureur est la même: fragilité, acceptation des chocs, chaos et refus de la perfection. Tout ça pour une belle bordée d'émotions parfois surprenantes.
Pour y venir, il vaut mieux disposer d'un véhicule (adresse sur le carton). Les transports publics depuis Genève c'est un peu coton ... éventuellement à vélo pour les musclés des molets!
FACE à FACE
Un face à face rétrospectif où mes images des 20 dernières années regardent dans les yeux les petites chéries des années 80 et 90 ! Les techniques ont changé, et même basculé, mais la fureur est la même: fragilité, acceptation des chocs, chaos et refus de la perfection. Tout ça pour une belle bordée d'émotions parfois surprenantes.
Pour y venir, il vaut mieux disposer d'un véhicule (adresse sur le carton). Les transports publics depuis Genève c'est un peu coton ... éventuellement à vélo pour les musclés des molets!
