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En 672, les moines de Fleury envoyèrent au Mont-Cassin, au nord de Naples, deux de leurs frères sauver les reliques de saint Benoît, fondateur de leur Ordre, et en même temps se les approprier. Après un voyage long et difficile, les religieux revinrent en Gaule. Mais ayant dû transporter les restes du patriarche et de sa sœur dans un sac pour les soustraire à la curiosité publique, ils ne savaient plus comment les distinguer. Plusieurs personnes émirent des doutes sur la véracité de leur récit. On décida de faire recommencer à saint Benoît et à sainte Scholastique, morts, les prodiges qu'ils avaient accomplis de leur vivant. Les plus grands ossements placés sur le cadavre d'un jeune homme le rendirent à la vie ; les plus frêles ressuscitèrent une jeune fille.
APRÈS AVOIR PASSÉ PAR BESANCON, AUTUN, AVALLON, AUXERRE, ILS EMBARQUÈRENT À NEVERS, AVEC LES HOMMES D'ARMES DE LA REINE BRUNEHILDE QUI LES SURVEILLAIENT. ILS AVAIENT DÉCIDÉ DE DESCENDRE LA LOIRE JUSQU'À NANTES OÚ UN NAVIRE LES ATTENDAIT POUR LES RENVOYER DANS LEUR PAYS...
Les hommes en blancs ne pouvaient pas passer inaperçus, sur les rives de la Loire, leurs frères veillaient sur eux... ILS SAVAIENT !
ILS CONTINUÈRENT EN BATEAU VERS ORLÉANS, TOURS PUIS NANTES OÙ LÀ ILS EMBARQUÈRENT SUR UN NAVIRE EN PARTANCE VERS LEUR TERRE D'ORIGINE, AU GRAND SOULAGEMENT DES SOLDATS QUI LES ACCOMPAGNAIENT. Mais le destin va en décider autrement, la reine Brunehilde avait-elle oublié qu'ILS SAVAIENT UTILISER LES FORCES DE LA NATURE. Des vents contraires vont faire échouer leur navire sur les côtes sud de la Bretagne. Alors IL DÉCIDE AVEC SES COMPAGNONS DE RESTER SUR LE CONTINENT. Ils remontent vers le nord en longeant les côtes armoricaines où règne le jeune roi breton Judicaël.
Jusqu'au milieu du 17ème siècle, le centre de pèlerinage à Chartres était sous la cathédrale ; c'était une grotte dans une paroi de la crypte et cette grotte abritait une statue archaïque de la Vierge-Mère au-dessus d'un puits. Le puits fut comblé en 1650 et retrouvé en 1901. Cent ans avant l'ère chrétienne, des druides avaient érigé dans la grotte un autel et une statue à la « Vierge qui devaient enfanter ».
Évangélisé, selon les légendes du Moyen Âge central, au milieu du 3ème siècle, par saint Altin et saint Eodald, la cité aurait même été avertie du message chrétien dès le 1er siècle, par les druides, qui auraient instauré le culte marial.
C'EST SUR CETTE PLAGE, APRÈS AVOIR FRANCHI LA MANCHE, QU'ILS ACCOSTÈRENT SUR LA GRÈVE DU GUESCLIN À LA FIN DU 6ème SIÈCLE. Ils avaient d'abord traversé la mer d'Irlande sur leur curragh, puis longés les côtes de la Cornouailles anglaise, faisant étape près de Tintagel, avant de lever la voile vers la Bretagne.
Accompagné de douze compagnons, (nombre symbolique) le moine Irlandais Colomban influença profondément la vie religieuse sur le continent. Cet homme de Dieu passionné de solitude est à l'origine d'un puissant mouvement de fondations monastiques en France, en Suisse et en Italie. Il fut le « Soleil de la chrétienté occidentale » du 6ème siècle. (Le soleil chasse l'obscurité, révèle les coins d'ombre. Il dévoile ce qui est enfoui, dissimulé).
Ce débarquement est le début d'un nouvel élan dont le continent avait bien besoin : le désarroi des populations, les troubles du royaume mérovingien, la disparition quasi complète de l'héritage culturel de l'Antiquité, les incursions barbares, agitaient autant la société civile gallo-romaine que la société religieuse. Colomban allait secouer cette terre mérovingienne en diffusant le message d'une compréhension du Christ au travers de la Nature.
MAIS CES MOINES EMPORTAIENT AVEC EUX UN SECRET BIEN GARDÉ JUSQUE-LÀ !
DINARD : L'étymologie de Dinard n'est pas certaine. Il s'agit peut-être d'une colline de l'ours, de l'ancien breton din, « colline », et arz, « ours ». Cet animal était jadis l'objet d'un culte parmi les Celtes et, fait intéressant ici, le roi Arthur, frère de Morgane, déesse des eaux, lui devrait son nom.
Dans les environs de Dinard, l'agglomération de Saint-Lunaire s'est constituée, comme beaucoup d'autres en Bretagne, autour de l'ermitage d'un solitaire. Le patron de la paroisse, dont on montre le gisant dans l'église, est en effet Léonorius, moine venu d'Irlande au 7ème siècle. Depuis, son nom s'est transformé en Lunaire. COÏNCIDENCE ! Mon cher Watson !
Avant hier, Poutine, guide suprême de la Russie, lors de la célébration des huit ans de l'annexion de la Crimée, s'est adressé en ses termes à ses fans ultra-nationalistes : « Les mots qui me viennent sont ceux des saintes écritures : il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » a-t-il dit en marchant sur la scène de cette fête ultra-patriotique.
L'autre jour le primat de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine, une des plus hautes autorités religieuses de l'Eglise ukrainienne nous disait sans rire : « Tuer l'ennemi n'est pas un péché ! » rajoutant : « celui qui est venu avec une épée mourra de cette épée ».
AU SECOURS !
Je me pose alors la question : EST-CE QUE DIEU EXISTE ? Et s'il existe comme l'affirme le pape, la papesse et la papeterie : QU'EST-CE QU'IL FOUT LÀ-HAUT EN CE MOMENT ALORS QU'IL DEVRAIT BOSSER POUR LA PAIX DANS LE MONDE ?
Nous sommes en train de faire un retour en arrière de 900 ans quand, St Bernard de Clairvaux prêchant la deuxième croisade, écrivait en 1129 dans son « Liber ad milites de laude novae militiae » : « Pour les chevaliers du Christ, au contraire, c'est en toute sécurité qu'ils combattent pour leur Seigneur, sans avoir à craindre de pécher en tuant leurs adversaires, ni de périr, s'ils se font tuer eux-mêmes. Que la mort soit subie, qu'elle soit donnée, c'est toujours une mort pour le Christ : elle n'a rien de criminel, elle est très glorieuse. » Bin voyons !
Résultats, des milliers de juifs et de musulmans, femmes et enfants compris, furent massacrés dans la ville céleste de Jérusalem.
L'Amour n'a rien à voir avec les Va-t-en-guerre et les manipulateurs spirituels de l'Histoire ! Il faut lire et relire Platon, comme il faut lire et relire les auteurs antiques, Plotin, Plutarque, Pythagore et tant d'autres. On comprend vraiment alors que rien n'est nouveau sous le soleil et que nos temps modernes n'ont pas tant à apprendre qu'à redécouvrir ce que l'obscurantisme de dogmes moribonds a, pendant des siècles, voilé de sa laideur jalouse et craintive.
Vous serez préparé et transformé à un citoyen obéissant aux maîtres du Forum Économique Mondial ou massacré avant 2030. Aucun rapport avec une grippe quelconque. Le 6e vague est un mensonge, et une piège, menée par la propagande.