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Inspirée par la grande mosquée de La Mecque et ses cercles concentriques de pélerins tournant autour de la Pierre Noire.
Une semaine extraordinaire débute pour l'unijambiste-écrivain: il va jouer les ermites, seul dans sa grotte pendant 10 jours, avec une seule mission: tenir des propos d'économiste-manchot dans son livre. Celui qui ne peut répondre: "on one hand, but on the other hand..." quand on lui demande sîl pense que l'Euro ne sera plus dans 6 mois.
Firmin a réussi son pari. Ayant su arrêter de boire, il s'appelle dorénavant Luc. Mais pour ce qui est de parler, c'est encore "demain, j'arrête".
Luc est un fan d'"air guitar", une activité qui consiste à mimer les gestes d'un guitariste sans avoir d'instrument en main. Une première démonstration en a été donnée par Joe Cocker à Woodstock en 1969.
Depuis 1994, un championnat du monde d'"air guitar" est organisé à Oulu, en Finlande. Nombre de participants ? 20'000
"Le travail sur la mort vous rend votre authenticité, votre vérité et donc la plénitude de vie pour le temps qui vous reste." Bernard Crettaz ponctue les belles images de Monique Jacot qui a promené son regard argentique pendant 10 ans dans le Val d'Anniviers.
Quand enfin la lumière Hoppérienne fut prête à rentrer dans ma boîte à images, ne voilà-t-il pas que la garde forestière se saisit d'une bière. Mais la dite lumière donne à penser que la journée de travail n'est plus.
Le portable, ou comment connaitre la vie d'un mec sans avoir vu sa gueule
finalement ils se sont décidés à sévir contre les dealers de crédits malsains qui profitent du malaise des jeunes pour les embobiner dans un filet d'endettement - 1000 personnages indélicats ont été interpellés: démarcheurs au porte à porte, publicitaires et afficheurs, fourgueurs en boîtes de nuit et dans les clubs de sport
mais les gros poissons, directeurs d'institutions de crédit et actionnaires en tous genres restent malheureusement encore inatteignables
nous nous sommes également livrés à une estimation du nombre de banquiers et financiers dont les jeux malsains sont payés de VOTRE poche de contribuable pour rembourser les trous gigantesques qu'ils prennent plaisir à creuser, jouissant de la complaisance de nos politiciens
ces assistés de toutes sortes, profitant des sauvetages répétés d'un état laxiste et sans courage, nous en avons dénombrés au moins vingt mille dans notre petite république
jusqu'à quand pourront-ils continuer de profiter sans limite ?
il faut que la peur et la haîne lui inhale chaque pore de la peau et de l'âme, qu'elle lui liquéfie les yeux, lui assourdisse les oreilles, lui perfore l'âme, lui ramollisse les couilles
il faut d'la peur, rien que d'la peur !
c'est le business des vendeurs de fascisme à la petite semaine
tu prends 20 ans de page de couverture de GHI, semaine après semaine, et tu as un véritable manuel de création du fascisme, une sorte de "mein Kampf" du gratuit
quand au bol de lait Caillet, il sent de plus en plus le tourné - évidemment, il lui manque totalement les quelques ferments nobles qui pourraient rendre sa suffisance vaguement comestible
....alors là, on me vernit. Malaise. Disons, en étant un peu nuancé, que cette célébration de l'un par la multitude me semble chaque fois un peu artificielle. Les mondanités avec alibi photographique o� chacun fait son cinéma, déploie avec panache sa modestie, plante ses banderilles en souriant dans ceux qui rôdent autour du sujet auquel on est attelé depuis des mois, tout ça, m'ennuie.
Mais là, à Meysse - tu sais c'est près de cette centrale nucléaire qui borde l'autoroute avant Montélimar - la fête est au rendez-vous. C'est pas guindé, c'est généreux, les gens sont curieux. On rit, on boit. Une toute jeune fille, timide, que sa mère accompagne, s'accroche les yeux aux images. Elle dit oui à toutes les questions qu'on lui pose et finalement pose pour moi à l'extérieur.
Si vernir c'est partager la passion de la photographie, je vernis tous les jours à Meysse.
Dans tout mariage il y a un naufrage qui sommeille...
L.R.
9950 francs suisses pour se faire buller le sphincter...
Je l'ai décroché de sa laisse et l'ai laissé courir d'un arbre à l'autre
Mon regard
Comme un chien
Renifler la lumière, s'ébrouer joyeux en battant des cils
Et remercié ce sous-bois de nourrir mes yeux
Saint Vincent de Barrès (Ardèche)