GE
S'envoyer en l'air! C'est pour mieux nous faire oublier le flicage électronique généralisé.
-le tour de l'île de Ré à la voile;
-premier jour de l'Art à l'Air: installation
de Gilles Blosseville sur le ruisseau du jardin des plantes;
et bien d'autres activités, en passant par le congrès de écolos....
cette manif artistique a échappé à l'orage:
un an de préparation avec 2 associations et la Mairie,
beau succès, 3000 visiteurs.
La rassurer que je vais la prendre de dos. Puis, me souvenir d'un de mes professeurs à Londres qui supputait que je souffre de politesse excessive. Le comble, au royaume de la courtoisie.
Je me souviens de ma mère qui sous-corrigeait sa myopie pour que les gens restent beaux.
Ave toi, ce n'est pas de la photo dont je dois me méfier mais ... du texte. La suite s'écrira donc à l'encre sympatique. A tous points de vue.
Bientôt 5 ans sur uneparjour, une aventure ponctuée ici et là de ce véritable bonheur que procure LA rencontre. Celle qui te relie à des personnages authentiques.
Exceptionnel champion de la résilience que Gérald Métroz, ce valaisan qui perd ses 2 jambes à l'âge de 2 ans au passage d'un train à Sembracher, et qui décide 25 ans plus tard de jeter ses prothèses aux orties ?
Cet homme a grandi sous le regard compatissant de ses voyageurs qui donnait quelques pièces à son père, chef de gare à Sembrancher, pour le petit, "pour qu'il ait quelque chose plus tard" ...
Gérald parle de cette vieille dame rencontrée sur un quai de gare, il y a quelques années. Elle tourne et tourne encore autour de sa chaise et finit par lui dire "Mais elle est OÙ votre tirelire...???"
Cet homme a tout réussi malgré (certains diront "grâce à ...") son handicap: sportif d'élite - dans les 10 meilleurs au monde des jeux paralympiques - journaliste, coach ...
Pourtant, l'homme reste simple, profond. Il fait avec. Plutôt que contre. En ce sens, il est bien au-delà de la résilience.
Merci Gérald d'être ce que tu es.
PS: A voir le film magnifique de Jean-François Amiguet "Gérald Métroz: elle est pas belle la vie ?"
Juste eu le temps de penser que je photographiais ses derniers instants.
Un de ses derniers 1/500ème de seconde.
Et q'il ne pourrait pas la regarder sur Une par jour, dont lui ai hurlé l'adresse mail depuis le plancher des vaches.
Et puis non, finalement, il vivra encore une foultitude de 1/500èmes de seconde.
Sois pas triste mon petit Spark... Tout ça va passer! Inévitablement :)
IRDIQ 20 ans. Assemblée Générale.
Et en introduction aux discours...
Avant, quand j'étais môme, les oiseaux se contentaient du ciel, se perchaient dans les arbres parfois sautillaient sur le trottoir.
En quelques années, ils se sont infiltrés dans les centres commerciaux, à glaner sous les tables les miettes des restes de repas. Puis, las d'attendre qu'ils pleuvent des restes, ils sont allés directement se servir dans les plats.
Et voilà qu'ils s'assoient sur des chaises et piaillent :
« Ca vient, bordel ! »
Huit degrés à l'aube. Les montagnes alentours sont poudrées de neige et Viktor est de retour.
-Léon va avoir un an et bientôt se tiendra debout pour le reste de sa vie. Roman nous a fait un beau dessin.
-Tartes aux poireaux, aux abricots, balade avec la marmaille et trottinette dans les vignes.
-Strauss-Kahn, sujet de palabres.
-Première promenade du Fuji X100 (Un client de Tonio - Europhoto) a souhaité mesurer la radioactivité du sien avant d'en prendre livraison.
-Suite à une cyber-attaque ciblant de hauts fonctionnaires américains lancée depuis la Chine, les Etats-Unis s'apprêtent à considérer ce type d'intrusions informatiques comme des « actes de guerre » susceptibles de rétorsions économiques allant jusqu'à envisager des frappes aériennes classiques.
-La Nature glougloute de bonheur d'avoir été arrosée.
-Une pensée en passant pour le Christ qui a pris l'ascenseur pour l'éternité -il y a bien longtemps.
Why not ne pas démontrer - DSK, le 6 juin - que nous ne sommes que des marionnettes suspendues aux fils de nos hormones, (câbles pour certains) qu'actionnent le Créateur, et que même les canards (mâles) en sont victimes - et que c'est eux, avant tout, qui devraient être assignés en justice.
Et qu'enfin soit convoqué le Créateur, qu'on le fasse venir à la barre pour qu'il s'explique une fois pour toute pour toute cette gabegie causée par son incompétence à régler correctement le carburateur hormonal.
Zut, à la fin !
Alors ? DSK, canard ou victime d'un mauvais réglage de carburateur ?
« Il cache bien son jeu, ce petit salopard d'emplumé. Oubliez le couple romantique qu'il forme avec sa dame cane, le canard cache l'âme d'un ignoble violeur. La nature l'a doté d'un engin maousse, en moyenne une vingtaine de centimètres de long - jusqu'à 42,5 cm en érection chez une espèce argentine (Oxyura vittata) - dont il n'hésite pas à se servir avec violence. Au repos, il le planque à l'intérieur de son corps pour ne pas donner l'alarme, et ressembler à la majorité des autres volatiles mâles qui se contentent d'un cloaque (les malheureux !).
Cette particularité anatomique est connue depuis longtemps, mais il aura fallu attendre Patricia Brennan, écologiste de l'université de Yale, pour un peu mieux comprendre la sexualité des anatidés. L'article scientifique qu'elle publie ce 23 décembre dans la revue Proceedings of the Royal Society B . surprendra même le Père Noël. Chez les canards, la guerre des sexes s'est traduite, au fil de l'évolution, par une guerre du sperme au moyen d'organes sexuels extravagants.
Pour bien comprendre l'affaire, un rapide cours d'éducation sexuelle est nécessaire. Chez tous les animaux (l'homme y compris), les stratégies reproductives du mâle et de la femelle s'opposent. Le premier ne cherche qu'à dispenser son sperme au maximum de femelles possible pour que ses gènes se répandent dans un grand nombre de descendants. Tandis que la deuxième, chargée d'élever les enfants, sélectionne avec grand soin le futur père afin de ne pas se faire refiler des gènes de deuxième choix. C'est que, tout au long de sa vie, elle ne peut élever qu'un nombre limité de petits. C'est donc une perpétuelle bagarre entre mâles et femelles pour assouvir, chacun, ses besoins bien spécifiques.
Le canard a choisi d'agir sans le consentement de la belle
Peu porté sur le baratin amoureux, le canard a choisi voilà très longtemps d'agir sans le consentement de la belle quand la situation l'impose. D'où l'adoption d'un pénis, de plus en plus long et de plus en plus efficace. Essayez donc de forcer une femelle avec un cloaque ! Très consciencieuse, Patricia Brennan a filmé la manoeuvre avec une caméra vidéo opérant à grande vitesse. On voit l'agresseur grimper sur la cane, puis sa verge se déployer avec le caractère explosif d'un airbag. En moins d'une demi-seconde, elle jaillit dans la plénitude de sa forme, spiralée comme un tire-bouchon, pénètre dans l'orifice récalcitrant, fait son dépôt, puis se retire flagada.
La principale découverte de Patricia, c'est que la cane n'est pas du genre à se laisser faire. Seulement, au lieu de se livrer à une prise de bec contre son violeur, elle la joue subtil. Au fur à mesure que le pénis de son partenaire s'est allongé, elle a développé un vagin plein de chausse-trappes et de culs de sac. Lui aussi est spiralé, mais en sens contraire du pénis, pour s'opposer à la pénétration. "Cette coévolution découle du conflit entre les sexes pour s'emparer du contrôle de la fertilisation" explique-t-elle. Patricia a pu tester l'efficacité de la stratégie féminine en présentant au pénis du mâle des tubes de différentes formes. Quand ceux-ci convenaient, le phallus se déployait efficacement. Au contraire, quand le tube imitait l'intérieur d'une femelle, le déploiement ne pouvait pas s'opérer. Encore une fois, c'est la femelle qui a le dernier mot !
À tous ceux qui voudraient me reprocher l'utilisation, par facilité, du mot viol, je les approuve par avance. Sachez tout de même que chez les animaux, la copulation forcée n'est qu'une stratégie parmi d'autres. Pas de connotation morale donc.»
Source : Le Point.fr - Publié le 23/12/2009 Frédéric Lewino
Mais l'inconvénient avec les témoignages, quelle que soit leur prétention à la vérité, c'est leur manque de précision dans les détails et leur restitution passionnée des événements… La prolifération des témoignages de second ordre ou de troisième que certains ont copiés, d'autres ont transmis sans soin, que certains ont répétés par ouï-dire, d'autres les ont modifiés dans les détails en toute bonne ou mauvaise foi, que certains ont librement interprétés, d'autres les ont rectifiés, que certains ont propagés avec une indifférence totale, d'autres les ont proclamés comme la vérité unique, éternelle et irremplaçable, ces derniers étant les plus suspects de tous.
L'Histoire du siège de Lisbonne (cité dans Les Disparus). De José Saramago
Taxi, le chaton si mignon il y a peu, câlin et joueur, est devenu un mâle agressif et indépendant qu'on va castrer.
Dompter la Nature pour ne pas qu'elle nous déborde a toujours été le propre de l'homme.
Si on savait apprendre aux chats mâles la modération, il y aurait déjà moins de voitures de sport dans les garages des villas des vétérinaires.
Mais modérer les ardeurs des canards, voilà bien encore autre chose. Les asiatiques, les très pragmatiques Chinois en particulier, ont résolu le problème de la surpopulation de canards : ils les laquent.
Peut-être qu'alors laquer les chats seraient moins cruel que de les castrer ?
La Crau (Var)
La Crau (Var)
Mais il faut assumer ses choix et savoir les surmonter. Il y a des jours comme celui-ci où plus rien ne va, où l'on a plus d'idées, où l'on se sent dans le brouillard... Il faut accepter et patienter jusqu'au lendemain, espérer que le bonheur revienne. En une nuit.
La Crau (Var)
et en plus qui profite de l'ombre de mon chapeau !
tandis que mon doigt patine sur le déclencheur, encore tout glissant de la sauce du poulet alla contadina mangé avec les mains