GE
On compare le cancer à un crabe; c'est pire que cela, c'est comme une explosion nucléaire, ses pinces sont plutôt des radiations, traîtres , pénétrantes, qui finissent par agir sur les proches, même après la disparition du malade. Et beaucoup de nos problèmes actuels se répandent tels des radiations...
dans la cour intérieure de la bibli universitaire.
(artiste G Lhériteau)
commente les peintures de Claude Dolivet.
En live à l'Electron Festival
Ce chien avait :
…une gouaille nasillarde, de brocanteur.
…un petit fond de vitalité, par sursaut, qui faisait que son allure empoussiérée, un peu sale passait au second plan.
…un air de cogneur, de mauvais garçon, un caractère bagarreur.
Il semblait :
…graveleux mais avec verve. Qu'est-ce que ça devait être dans ses jeunes années. Cochon avec démesure ?
…affectueux parce qu'en manque de caresses ?
Etait-il le miroir de son maître ?
Les vieux motards que jamais savent-ils qu'ils ont 26 fois plus de chance de se mettre sur le toit qu'un automodébiliste ?
La tendre tristesse de voir s'éloigner les rivages de l'adolescence se mêle à l'effrayante immensité de l'océan.
Il faudrait savoir mieux écouter parler les mains avant de se les faire mettre dans la poche.
Pousse-toi pétasse, laisse-moi de l'air, du soleil. J'étais là avant. Tes pistils sentent les pieds, ta tige fait fuir les bourdons, t'es vraiment foutue comme une herbe de fourrage, non pire, une herbe à chat. Teigne ! Catin, même les pucerons, tu les fais fuir.
Annonce de la béatification de Jean-Paul II par l'église catholique.
Béatification de Oussama Ben Laden par les forces spéciales américaines suite à son assassinat.
Mort d'une mésange.
[mais il est con ce mec !]
En étant penchés vers l'objet, le désir engendre le déséquilibre. Il en est tout autre du rêve.
Hommage à HCB et son instant décisif.
Belle rétrospective jusqu'au 24 juillet au Museum fuer Gestaltung
- Vous m'avez servi une portion pour enfant ?
- Non Madame, mais vous savez nous nous adaptons aux coutumes du pays...
- ???
- En Suisse, on ne mange parce qu'on a faim, mais ... parce que c'est l'heure de manger.
Retour après une longue virevolte débordante.Mille excuses pour ce trou noir dans le web.
Les voyageurs sont ainsi, ils partent sans laisser d'adresse, sans laisser un mot du jour où le voyage vers d'autres énergies prend tout. Le retour est difficile, mais passionnant.
Petit appareil nouveau venu simplifier le regard instantané.
A nouveau des images vont défiler.
Des mains et des yeux sont venus attrapée cette image qui n'est pas de moi, mais de Nicolas...