GE
Manifestation contre la réforme des retraites à Montélimar (Drôme).
"Il est tout à fait impossible de trouver la Bouddhéité ailleurs que dans son esprit"
Un autre sage plus proche de nous a dit : "Le Royaume des Cieux est en vous"
Une femme tibétaine, tard le soir, prépare la farine d'orge dans son magasin.
Ludmila c'est liée d'amitié avec une famille tibétaine venu faire un pèlerinage à Tso Pema (Rewalsar Lake)
et toujours pas de réponse du côté du pouvoir…
on se débrouillait pour supprimer le maximum de retraités, le sauvetage serait aisé....
Pouvons-nous vous prier de déclarer clairement si Dieu existe ou non ?
Monsieur, pourquoi voulez-vous le savoir ? Quelle différence cela vous ferait-il que je le déclare clairement ou non ? Je vous confirmerais dans votre croyance, ou je vous ébranlerais dans votre croyance. Si je confirmais votre croyance, vous seriez content, et vous continueriez à vivre selon vos habitudes, aimables et hideuses. Si je vous troublais, vous diriez : " Oh ! cela n'est pas important ", et malheureusement vous continueriez aussi à être tel que vous êtes. Mais pour quelle raison voulez-vous savoir ? Voilà qui est plus important que de découvrir si Dieu existe ou non. Pour connaître Dieu, Monsieur, pour connaître le réel, il ne faut pas le chercher. Si vous le cherchez, c'est que vous fuyez ce qui est; et c'est pour cela que vous demandez si Dieu existe ou non. Vous voulez échapper à votre souffrance, fuir dans une illusion. Vos livres sont pleins de divinités, chaque temple est plein d'images faites par la main; mais il n'y a pas de Dieu, parce que ce ne sont là que des évasions hors de votre souffrance. Pour trouver la réalité, ou, plutôt, pour que la réalité entre en existence, la souffrance doit cesser ; et simplement chercher Dieu, la vérité, l'immortalité, c'est fuir la souffrance. Mais il est plus agréable de discuter si Dieu existe ou non que de dissoudre les causes de la souffrance, et c'est pour cela que vous avez des livres innombrables traitant de la nature de Dieu. L'homme qui discute sur la nature de Dieu ne connaît pas Dieu, parce que cette réalité ne peut pas être mesurée, elle ne peut pas être captée dans des guirlandes de mots. Vous ne pouvez pas saisir le vent dans votre poing; vous ne pouvez pas capturer la réalité dans un temple, ni en faisant puja, ni au cours d'innombrables cérémonies. Ce ne sont là que des évasions, comme boire de l'alcool. Vous buvez, vous vous enivrez parce que vous voulez vous évader ; de même, vous allez dans un temple, vous faites puja, vous suivez des rituels �ou ce que c'est que vous suivez � et c'est afin de vous évader de ce qui est. Ce qui est, est la souffrance, cette perpétuelle bataille contre soi-même, donc contre un autre; et tant que vous ne comprenez pas et ne transcendez pas cette souffrance, la réalité ne peut pas entrer en vie. Donc votre interrogation au sujet de l'existence ou de la non-existence de Dieu est vaine, n'a aucun sens, ne peut mener qu'à une illusion. Comment un esprit qui est prisonnier de l'agitation quotidienne, de l'affliction et de la souffrance, qui est ignorant et limité peut-il connaître ce qui est sans limites, indicible ? Comment ce qui est le produit du temps peut-il connaître l'intemporel ? Il ne le peut pas. Il ne peut même pas y penser. Penser à la vérité, penser à Dieu est encore une forme d'évasion; car Dieu, la vérité, ne peut pas être saisi par la pensée. La pensée est le résultat du temps, d'hier, du passé ; et étant le résultat du temps, du passé, étant un produit de la mémoire, comment la pensée peut-elle trouver ce qui est éternel, intemporel, immesurable ? Comme elle ne le peut pas, tout ce que vous pouvez faire c'est libérer l'esprit du processus de pensée ; et pour libérer l'esprit du processus de pensée, vous devriez comprendre la souffrance et ne pas la fuir � la souffrance non seulement sur le plan physique, mais sur tous les plans de la conscience. Cela veut dire être ouvert, vulnérable à la souffrance, ne pas se défendre contre la souffrance, mais vivre avec elle, l'embrasser, la regarder. Car vous souffrez maintenant. Vous souffrez du matin au soir, avec un rayon de soleil occasionnel, avec une éclaircie occasionnelle dans le ciel nuageux. Or, puisque vous souffrez, pourquoi ne pas considérer cela, pourquoi ne pas y entrer pleinement, profondément, complètement et le résoudre ? Cela n'est pas difficile. La recherche de Dieu est beaucoup plus difficile, parce que c'est l'inconnu, et vous ne pouvez pas aller à la recherche de l'inconnu. Mais vous pouvez rechercher la cause de la souffrance et la déraciner en la comprenant, en en étant conscient, non en la fuyant. Puisque vous avez fui la souffrance au moyen de différentes évasions, examinez toutes ces évasions, mettez-les de côté, et arrivez face à face devant la souffrance. En comprenant cette souffrance, il y a un affranchissement.
Krishnamurti: Dieu existe-t-il ? (Entretiens de Saanen)
Attention de d'zou, le petit gros zoiseau va sortir...
Une entrainante musique cubaine fait vibrer les fauteuils.
Une carte postale, brutalement, me barre le chemin.
Un correspondant de guerre a sa mise - sa vie - dans ses mains, et il peut choisir de la risquer sur tel ou tel cheval, ou il peut refuser de la jouer à la toute dernière minute. Je suis un joueur.
Robert Capa
Où il est question du championnat de foot italien, de châtaignes avec un verre de moût. Et de façonner des capelletti.
J'essaye toujours d'avoir de l'avance à la gare de Milan et y prendre le temps de découvrir l'attente
Des têtes de mort en guise de boutons de manchette: un contraste saisissant pour ce grand Monsieur de la philanthropie qui n'exige qu'une chose pour ses dons: qu'ils figurent sous "Anonymes", histoire d'être en haut de la liste alphabétique.
If you bring this client to the Bank and have him open an account, you'll get a commission.
As long as he stays in the Bank, there will be no sunset for you.
Who ever said there is no poetry in Finance ?
Une méthode révolutionnaire pour soigner les flutteurs typiques auriculaires.
[interdit aux moins de 18 ans]
[production hollywoodienne des années 50 - sous la direction de la famille Walter Aebi - technicolor encore imparfait]
Dans la conception de réaliser un Shoes Stock 41 années après Woodstock.
Reprenant la suite de l'évènement de hier, l'Usine (centre culturel alternatif de Genève) a décidé de faire grève et de faire un défilé sauvage dans Genève.
Bravo à l'équipe de l'Usine d'avoir organisé ce magnifique rassemblement de 1000 personnes.
Depuis la fermeture du MOA, l'Usine entre en saturation.
Parce que la Ville de Genève ferme les lieux de fête sans en ré-ouvrir, l'Usine a décidé de faire une manifestation pour montrer que si ils ne se bougent pas les fesses, les jeunes feront la fête dans la rue.
Ton Dieu m'a protégé des encombres routiers
Mes anges ont ouvrèrent la voie du marché parisien
Mes yeux, comme cette feuille, voguent sur cette eau huileuse
"Je vois la vie, la mort, la colère, l'amour, la douleur, la souffrance, la joie, le bonheur... " G.S.
Je ne suis pas arrivé a enlever ce magnifique halo violet autour des phares...
Voilà mon premier jour sur le site "une photo par jour". j'ai profité d'être descendu à Marseille en taxi avec mon fils, pour regarder un peu la mer. Mais je l'ai pas beaucoup vu, ici les grevistes bloquent les terminaux pétroliers, alors c'est l'embouteillage aux pompes et dans la rade. N'empêche qu'au moment de choisir quelle serait ma première photo, j'ai choisi celle là, parceque la mer me manque, là haut dans les montagnes.
Aujourd'hui je suis allé dans la manifestation de Gap. j'essaye de vendre mes photos aux syndicats, voire à la police. Je suis trop "artistique" pour les journaux du coin, et de toutes façon les photographes en place m'ont bien fait comprendre les limites de leurs territoires. Je flânais donc dans le cortège quand je suis tombé sur ce gars là …
C'est l'histoire de Raphaël, un petit garçon formidable. Deuxième d'une fratrie de 4, timide, mais volontaire et fort. Quand il rit c'est un torrent de joies qui s'échappe de son être, nous rendant la vie bien plus facile.Et ce petit garçon se tennait dans le froid pour aider son papa à faire ses repérages pour le mariage de samedi. Des fois c'est pénible les repèrages en altitude, il fait froid. Mais il y toujours un chocolat chaud à l'arrivée ! Merci à toi Raphaël !
Faut bien aller faire ballader la chienne ; j'ai trouvé cette excuse imparable pour sortir avec l'appareil et le pied (et la chienne) et puis me laisser aller aux poses longues. Et essayer d'en ramener quelque chose. Je dis bien essayer, car la technique n'est pas si simple, et seul dans la nuit j'en suis presque à préférer vivre le moment plutôt que le ramener à la maison dans ma boite.