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Elle me dit qu'elle ne doit pas rire ni sourire, que c'est du sérieux là.
Janine Niepce, cette grande dame de la Photographie Humaniste, s'expose à Nyon. Elle s'adresse à un public disposé à imaginer une suite à l'histoire proposée par ses images. Le noir-blanc n'est pas fortuit. La couleur serait trop réaliste et moins encline à la rêverie. A méditer.
A Ellis Island, les douaniers américains accueillaient les immigrés par des tests de QI, convaincus qu'ils étaient que l'intelligence était héréditaire. Aujourd'hui, on nous demande si le porc est dans nos bagages.
Epeler mon nom en anglais, c'est tout un programme. Ca me laisse le temps d'ajuster mon macro.
On pourrait croire que cette mégapole financière qu'est New-York est derrière l'actuel Président. Détrompez-vous.
Vous goûter moyennement à cette récupération d'Halloween dans nos frontières? Attendez de voir débarquer la mode des défilés d'ados qui laissent chapeaux pointus et longue toque noire au vestiaire.
Grandiose vernissage des amis Lutz et Righetti au BAC. Réflexions photographiques sur le pouvoir, ses représentations, sa mise en scène.
Et dire que certains ne croient pas à l'existence des dragons… sûr que ce sont les mêmes qui ne croient pas à l'amour.
C'est déguster l'alphabet tout entier qu'il faut. Avec de la crême fraîche et des points d'exclamations.
Au-delà de ce qui pourrait paraître trivial (cette photo a été interdite aux USA), me bouleverse cette poignante métaphore où l'homme cherche à rapprocher son cerveau de son berceau et ainsi réconcilier la chair et l'esprit.
Entre deux vols au Chicago O'Hare International. Elle avait le même itinéraire que moi; Montréal-Chicago-Phoenix. Ch'ais pas sa destination finale!
Cabalistique urbaine nocturne - suite
"La Cabale a influencé les Chrétiens, surtout à la Renaissance ; mais la communication entre les deux cultures a été bloquée par le durcissement de l'Église lors de la contre-réforme, par les risques de persécution, et aussi par le fait que l'Église ayant toujours tenté de convertir les juifs en s'appuyant sur ce qu'ils lui avaient enseigné, ceux-ci ont été incités à conserver leur savoir par devers eux. "
Michel Volle (www.volle.com)
le bonheur affirmé, les surfaces lisses et brillantes, me mettent toujours un arrière-goût de mort dans la bouche… Et je souris de me sentir chez moi dans le noir de l'ombre, de la nuit, du froid…
Son regard sur le monde est vraiement intense, sérieux et chaleureux
son Handycap de Golf, et évidemment, les ami(e)s se réjouissent avec elle.
"Gemeinschaftszentrum". Inutile alors de vouloir éxpliquer en français l'histoire derrière ses toilettes à l'impréssion de coffre fort de banque…
Une de ses oeuvres magiques des années 77 à 79, qui à survécu, grace au goût artistique d'un proprpiétaire de bâtiment.
Être assit à sa véranda, prendre une voix et se retrouver à la croisée des chemins, se tourner et se retourner sur soi-même jusqu'à ce qu'un crépitement de sourires vous ramène au-dehors de vous-même; je suis assis à l'arrière du car de transport qui me conduit au Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia de Bamako et je somnole encore.
Un flâneur exigeant et systématique
L'exposition « Mine…» fait partie du projet Ville-Visage, commencé par Guy Wouete à Cotonou il y a deux ans et poursuivi à Bamako, avant d'autres capitales africaines. Un projet mené dans une logique de pélerin plutôt que de voyeur : à travers les photographies, les peintures ou les vidéos, ce n'est pas l'extraordinaire qui est recherché, mais le banal, le quotidien des scènes de rencontre avec l'étranger. Au fil des voyages et des travaux, les impressions des villes se confondent et se superposent. Douala, Cotonou, Bamako. Medellin, aussi, une ville latino-américaine réputée pour sa violence, où l'artiste a résidé pendant plusieurs mois. Flâneur
Traduire la ville
Les photos sont prises au hasard des déambulations, parfois volées, parfois consenties. L'enfant fasciné par les gestes du photographe de studio quand sa mère l'y emmenait pour des poses, qui fréquentait en secret les vidéoclubs et rêvait de devenir scientifique à la NASA, s'est formé aux métiers de l'image. Dès lors, le souci de témoigner rejoint la fascination des images de films, tenues en mémoire depuis l'enfance. Comment montrer l'identité d'une ville ? Comment traduire ce qui s'en dégage ? Pourquoi, trop souvent, apparaît-il dans les images comme un sentiment de déjà-vu ? Il faut introduire du mouvement, travailler de manière plus conceptuelle : la photo n'est plus seulement une prise de vue, elle devient médium de recherche. La vidéo l'installe définitivement dans un rapport expérimental.
La peinture, elle, s'insère dans le travail sans rapport a priori aux impressions recueillies à travers les photographies : c'est l'émotion du moment, la survenue d'un fait d'actualité qui la motivent. D'où les fonds parfois plombés, parfois transparents, les explosions de couleurs, l'objet meurtrier sorti de son contexte et emblématisé. C'est cela qui fait sens. Nul besoin de s'étendre dans les explications. La posture artistique est assumée : on ne s'exprime jamais que depuis là où l'on est.
Terrains minés
Chaque ville connaît son lot de violence. Mais l'impression n'est pas la même au contact des personnes rencontrées. Les discussions dans les petits parcs de Medellin appellent un savoir-vivre qui conjure la brutalité des faits. Impressions trompeuses ou réelles antidotes ? La vie continue, même si en sous-main, le destin frappe. Au hasard, ou de manière systématique. Les traits répétitifs sur la toile, ce sont les alignements des personnes qui ne se relèveront pas.
Bamako va plus doucement. On s'y sent à l'écart de la vitesse des autres capitales du continent. D'où peut-être cette impression d'originalité, de vrai dans le vécu des gens, aussi bien dans les bons jours que dans les moments critiques. Au Cameroun, les jeunes ne sont pas positifs vis-à-vis de l'avenir, mais ambitieux pour eux-mêmes. Il n'y a personne qui incarne ce rêve d'avenir, d'un avenir qui pourrait être meilleur.
Ce rêve, c'est peut-être celui de la petite Aïcha de la vidéo « Imminent tsunami ». Son entrée en résistance, son effort quotidien pour réduire l'écart entre un présent hypnotique et un avenir qui serait inaccessible. Car le futur n'est pas ailleurs, il est dans cet entre-deux, il est là où nous étions quand nous étions chez nous : « là-bas ici ».
Dominique Schoeni, d'après les propos de l'artiste
Francis et Max d'une par jour en pleine action lors du vernissage de Nicola Righetti et Christian Lutz, expo à voir absolument.
On Sunday, March 19, 2006, the third anniversary of the start of the war Iraq, the congregation and friends of Marble Collegiate Church hung these ribbons on the fence.
Gold ribbons represent our prayers for the families and friends of the thousands of service people who have lost their lives. We continue to add ribbons and names and to pray for the families and friends as more people die.
Blue ribbons represent our prayers for those in Iraq. For the families and friends of the tens of thousands of Iraqis who have lost their lives, and for all who have been wounded. The toll of human pain and suffering is impossible to measure.
Green ribbons represent our prayers for peace.
We continue to pray daily. We pray for the wounded. We pray for day that war in no longer an option.
Will you too, pray with us?
Mille et un flocons
magiques et envoûtants
d'un point de vue philosophique, le noir symbolise l'invisibilité et l'amitié
une double notion symbolique pour cet oiseau;
idéale, rare et invisible d'une part…
concrète et vécue d'autre part…
CATERPILLAR met en scène trois personnages : Séba, une « petite bonne » chassée, parce qu'elle est enceinte, de la famille bamakoise aisée où elle a été placée. Elle trouve refuge dans une cabane abandonnée au milieu d'un dépôt sauvage d'ordures à la périphérie de la ville.
Les forces de l'ordre (police, gendarmerie et services des douanes) se donnent la main pour traquer les propriétaires de véhicules sans pièce car ne nos jours circuler dans une voiture non immatriculé et souvent sans pièce est devenu chose courante à Bamako. Hier, une rafle générale était organisée à Bamako.
La police et la gendarmerie ont pour mission essentielle de veiller au respect du code de la route. La chasse aux véhicules sans pièce fait partie de leur mission régalienne.
Ainsi, chaque mois, les forces de sécurité organisent des rafles de véhicules de concert avec les douaniers, « les soldats de l'économie ».
La rafle d'hier s'est déroulée sur les principaux carrefours de la capitale du district. Les éléments du Groupement mobile de sécurité (GMS) demandaient les pièces afférentes aux voitures : vignette, assurance, visite technique, carte grise.
Les agents de la douane qui circulaient à bord de pick up filaient les véhicules non-immatriculés ne portant que le numéro de châssis. Il s'agissait, pour eux, de contrôler la régularité de la procédure de dédouanement.
A la mi-journée, plusieurs automobilistes pris en faute ont été pénalisés. Certains engins ont été conduits en fourrière au GMS et les non dédouanés dans l'enceinte des enquêtes douanières à Faladié.