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Atterrante Une de la Tribune de Genève. Cécilia Sarkozy : « Je ne suis pas venue à Genève en juillet ».
Et les journaux payants se déclarer menacés par la presse gratuite. On sait enfin qu'au niveau du contenu rien ne les distingue - sinon qu'ils nous piquent deux balles en plus pour assister à leur agonie.
Le diable et les anges, quand on les entend se battre dans les nuages qui tonnent et que la bagarre est serrée, font parfois pleuvoir des plumes.
Vu trois moines bouddhistes sortir de la boutique de luxe Bally pour entrer chez Ochsner sport. Le cul entre deux temples, mes repères se brouillent…
Dans les toilettes du Bistro Au coin du monde, cette sculpture m'observait du coin!! En haut de la porte de sortie de ce lieu qui fait face a une église; une citation de mon pote Richard Desjardins: Que Dieu vous garde, moi j'ai pas le temps!
"Les veillards meurent en pleine jeunesse / et les grands-pères ne sont que des enfants déguisés." Avrom Sutzkever
I would be lying if I said they didn't affect my morning when I read about them; I was simply troubled, and the pictures from the cranage-slauthering! Said a witness:"People were happy, celebrating. everything was peaceful. I don't know what is happening to Pakistan." The lady on the picture here is not Benazir Bhutto, but just as beautiful and charming.
C'est comme cela qu'ils font pour réussir une image lumineusement parfaite? OK!
Sooo slowly, it was bizarre de la regarder! Et soudainement, elle tourne vers notre direction, and walked in the Auberge; stopped devant nous for a moment, and…left! La lune?
Entre le plaisir de se frotter aux oreilles de ses adversaires et celui donner un coup de boule à du simili cuir, y'a pas photo.
Il y a 600 salons de coiffure à Genève, soit 1 pour 300 habitants. Si on estime qu'un homme se laisse plumer pour 50 francs par mois, les 15'000 de revenus mensuels payent à peine le loyer du salon de coiffure. Heureusement qu'il y des mèches à reteindre tous les 10 jours…
Projection en l'an 2057. A peine quatre ans après sa mise en orbite sur la Suisse, cet aéroport galactique a déjà besoin de plus d'espace.
Avec mon nouveau joujoulumix, la touche macro n'a rien d'une punition.
Entre le green ripoliné du golf et le gold un tantinet brulé du voisin, mon coeur balance.
"Le mot « Cabale » transcrit l'hébreu qabbalah qui signifie « tradition ». Il désigne une composante ésotérique et mystique de la culture juive, … fondée sur la transcription numérique des caractères hébreux (sefira veut dire « nombre » et a la même racine que l'arabe sifr dont le français a fait « chiffre » et « zéro »[1]) : la Cabale accorde, comme l'école de Pythagore, une valeur mystique aux Nombres."
Michel Volle (www.volle.com)
En plus le film ne sera pas "sali" par les odeurs de pop corn !
Bon dieu, pourquoi les gens aiment-ils suicider leur plaisir en allant dans des multi-salles ?
Située à la confluence du Bani et du majestueux fleuve Niger, la ville de Mopti jouit d'un site remarquable. Cité de banco insulaire, entourée d'eau une partie de l'année, ses habitants se déplacent en pirogue. Les couchers de soleil sur le fleuve sont exceptionnels, comme l'est aussi la diversité de sa population, un véritable concentré de la richesse culturelle du Mali.
dans le lumière automnale, petit déjeuner accompagné des poésies d'Arthur Rimbaud…
"Elle est retrouvée! Quoi? L'Eternité. C'est la mer mêlée au soleil"
Voyelles
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d'ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silence traversés des Mondes et des Anges :
- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! -
Ses yeux sont livrés à ce qu'elle voit vu par ce qu'elle regarde…r.s.17/10/06
C'est cette première pensée
C'est le premier regard
C'est capter la lumière
C'est cette étendue de possible
C'est ce "point" qui retient notre attention
Tous les matins de l'amour
Ont un soir…
J'aimais bien le titre pour décrire,
La relation avec mon plus généreux amant
Mon appareil photo
Et le jeu de cette semaine qui est de faire une photo avant toutes choses
Chaque matin me ramène à cette cause déterminante
Celle de la photographie, qui me donne la liberté
et me permet de redonner …
"Tous les matins de l'amour". Titre du livre de J.S.
Je ne l'ai pas lu du reste !
Surprise en arrivant dans la chambre, une photo de Blossfeld !
Une de mes premières séries « Hors Champs » et les travaux de Blossfeld ,
fut un sujet de conférence au musée Ludwig, Cologne, en Allemagne.
Un signe de bon augure pour mon arrivé à NYC ?
je ne suis pas superstitieuse à ce point !
"le bonheur n'arrive pas automatiquement, ce n'est pas une grâce qu'un sort heureux peut répandre sur nous et qu'un revers de fortune peut nous enlever ; il dépend de nous seuls. On ne devient pas heureux en une nuit, mais au prix d'un travail patient, poursuivi de jour en jour. Le bonheur se construit, ce qui exige de la peine et du temps. Pour devenir heureux, c'est soi même qu'il faut savoir changer." L.&C. C.-S.
«Sur la nature même du bonheur, écrivait Aristote, on ne s'entend plus et les explications des sages et de la foule sont en désaccord.»
"Plaidoyer pour le bonheur" Matthieu Ricard
photo sandra et phil
sacré Mac n'est jamais vide ni plein. Et moi, me je me laisse distraire de la belle lumière dans l'éspace voisin actuellement vide
(Entrée de derrière du pays merveilleux de la pub)
cartes postales, même que ça fait plus de plaisir
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, S'il-t-plait
Croque moi les os s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac ! Tu les manges.
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
Pousse un framvoisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper…
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler…
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat…
Taille-moi le hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat…
La femme chocolat
Olivia Ruiz