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sur le lac d'Annecy, canot ancien en bois précieux
La situation en France révèle de bien belles perversions.
Le petit fanfaron de l'Élysée a maintenant deux femmes à qui se soumettre et qui le dominent, sa maîtresse d'école, et la brute fasciste Marine, qui va très bientôt cesser de faire semblant.
Tout ça est de plus en plus sexuel. On entre clairement dans l'ère du viol politique de masse. Avec les derniers présidents, on était déjà dans le viol, comme l'entrée au forceps dans l'Europe. Mais c'était encore un viol un peu sournois. Maintenant il se passe en pleine lumière. Avec tous les médias qui organisent le voyeurisme comme une émission TV. Alors tous les glauques applaudissent et rigolent en buvant du champagne.
Le gamin fanfaron de l'Élysée, « venez me chercher ! », est presque émouvant dans son ridicule profond. Son vrai caractère devient visible, un vrai joli giton, le giton de sa maîtresse d'école, le giton de l'Amérique, le giton de la grosse Le Pen, il se donne à violer avec un visible plaisir, ce à quoi il avait peut-être dû renoncer, symboliquement en tout cas, avec Benalla et avec tous ses ministres de l'Intérieur, bien plus brutaux et puissants que lui.
Evidemment, le violé violeur a besoin de compenser, de surcompenser, alors il commence par violer tout son peuple. Et on voit bien qu'il rêve d'expédier la jeunesse de la France se faire exploser sous les bombes et sur les mines, après s'être fait exploser ses écoles, ses hôpitaux, sa retraite et tout le reste... Enfin, disons que pour l'instant la basse bourgeoisie se sent un peu épargnée, il est tout de même difficile de baiser toute la planète en une fois. Il est d'ailleurs de bonne stratéfie de se réserver des plaisirs de sadisme pour demain.