Tandis que s'épanouit un concert de musique baroque dans un palais (Jean Christophe Leclère clavecin et Minori Deguchi violon), la guerre éclate en Ukraine...
Rencontres ; la beauté ne renonce pas face aux menaces infâmes de la guerre lointaine.
Passé et art s'entremêlent intimement. La piazzetta me fait penser à un tableau du peintre Suire-Verley.
La Fantaisie est toujours active qu'elle soit italienne ou autrichienne (en bas)
Le palais Grimani expose des oeuvres de Georg Baselitz - en accord parfait - alors que les canaux de Burano me font penser à la scène renaissance du teatro Olimpico de Vicence.
Ni morts ni vivants ... l'idéal pour les pouvoirs ...
Jorge Rafael Videla, dictateur argentin
Conférence de presse, 1979
mon dieu ... y aurait-il un bombardier russe dans mon ciel ?? Je suis tellement effrayée ....
ah non je me sens déjà mieux ... ces milliers d'engins étincelants, j'ai aperçu leurs marques et leurs drapeaux
oui ils sont americano-otanesques
je me sens à présent parfaitement rassurée
voilà ce qui t'attend si tu fais voir les crimes U.S.
britt is cheat
judge drinks blood
killer kingdom
britt be curse
the slow killing of a journalist
business américain as usual:
bombardements en Somalie
bombardements en Iraq
massacres au Yemen
préparation de changement de régime et probable opération militaire en Ethiopie
Pékin 2022 -10- Avant de faire pipi, il faut obligatoirement mettre les pieds sur les marques bleus, sinon c'est le camp de réabilitation (de mon correspondant Kilian à Nanqing)
///Soyons fort dans la révolte car nous sommes qu'au début d'un changement vicéral de notre société.
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///Un enfant court, le visage riant de plaisir. On lui a enfin permis de sortir toucher la terre nouvellement gelée. Il découvre son nouveau domaine, il reste un instant immobile, surpris d'être si heureux tout-à-coup. Il court et touche la glace, d'abord délicatement du bout de sa botte. La glace résiste.
Un sourire malicieux et coupable entrouvre ses lèvres. Et il se met à briser toute la surface blanche des flaques. Il prend dans ses mains une grande plaque froide et coupante, transparente et inquiétante...
A sa mère qui le regarde de sa fenêtre, il crie:
"De la glace !"
Il jette la plaque qui se brise en petits morceaux lumineux.
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///reste par dessus tout l'admirable Casals, le formidable Pablo, formidable de maladresse, avec ses cris et ses grognements, sa sensibilité incontrôlée à l'opposé de toutes les machines faussement humaines fabriquant de la musique sans erreurs
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