searching for a paradise ?
I would rather kill a paradise, searching for real mud and true dust
tamed and longing for violence
I am
and the bark
inside my body
blasts of boredom
undermines my joy
dazed by hope
dazed by hope
I will
undermined
desire
.
[with Nina Oelmann]
quand les actes et les mots commencent de découdre la camisole de force de la psychiâtrie politicienne
péage libéré du pillage de la multinationale Vinci
Highway Toll liberated from the Robbery of VINCI
"Suis-je bon ?"
Arrabal, effacement du père
.
#bonté #obéissance #sauvagerie #laMère #lePère #révolte #Desire #laFabiqueDeLAutre #parLesRuesEteintes #FêtePaïenne #noAngels #weAreNoAngels #Devils #WeGotToBeDevils #ZADdesDémons #uneparjour #pogography #pogographie #blackandwhitepower #blackpower #pouvoirdunoir #nuit #noirceur #skinpower #pouvoirdelesclave #ritual #rituel
"Faut-il se poser la question chaque jour ?" me demande quelqu'un.
je répond...
Il n'y a aucune question.. je le sais depuis toujours.. je ne suis pas bon du tout... je ne veux pas être bon... je veux vivre et échanger et partager et me battre.. le contraire de la bonté..
parfois je suis un cheval aux mains trop humaines
enfermé par un cadre qui me réduit sans peine
à l'obéissance pathétique des oeuvres d'art
mais la nudité d'un autre corps me crie "Pars !"
et je sors du cadre
vacille
dépars
crie
tombe
insulte
violente
et meurs
dans le bonheur
Rishikesh – Dans la maison de Swami Shivananda, fondateur de « The Divine Life Society » avec un de ses disciples : Swami Janeswarananda.
Swami Shivananda (1887–1963) est né sous le nom de Kuppuswami à Pattamadai dans l'État du Tamil Nadu en Inde dans une famille de brahmane orthodoxe. Après avoir été plusieurs années médecin en Malaisie, il renonce au monde et commence une vie monastique en 1923. Il a vécu la plus grande partie de sa vie à Rishikesh, dans le nord de l'Inde. Il a fondé en 1936 la Divine Life Society (La Société de la vie divine), qui a pour objet d'œuvrer à la paix et la formation de citoyens pratiquant un yoga intégral ; il est le précurseur de l'ouverture de l'hindouisme aux occidentaux sur la base d'un principe : « Servir, aimer, purifier, donner, méditer et réaliser. »
Rishikesh – Selfie au bord du Gange
En six ans, 259 personnes sont mortes en prenant un selfie
Des scientifiques indiens ont fait les comptes.
Vous avez peut-être déjà posé vos yeux sur un article indiquant que les selfies sont plus meurtriers que les attaques de requins. C'est vrai. En moyenne, chaque année six personnes trouvent la mort à cause d'une attaque de requin. Entre octobre 2011 et novembre 2017, 259 personnes sont mortes en prenant un selfie.
En moyenne, les victimes ont entre 22 et 23 ans, selon les scientifiques. Passé 30 ans, le risque de mourir à cause d'un selfie diminue drastiquement. Il est également plus élevé pour les hommes, qui comptabilisent les trois quarts des décès.
L'Inde comptabilise à elle seule 50% des décès, sûrement à cause de la jeunesse de sa population estiment les scientifiques. Le pays compte en moyenne deux victimes par accident mortel, contre une pour le reste des pays concernés, «ce qui devrait être attribué au fait que les selfies de groupe sont plus à la mode en Inde que dans les autres pays», peut-on lire dans l'étude.
Pour les auteurs et autrices de l'étude, il est nécessaire de renforcer les «no selfies zones», ou zone sans selfies, que l'Inde a déjà commencé à mettre en place dans plusieurs grandes villes. «Les selfies en eux-mêmes ne sont pas dangereux, mais le comportement humain qui accompagne les selfies l'est. Les individus ont besoin d'être éduqués face à certains comportements à risques et endroits risqués où sont pris des selfies», conclut l'étude. Pour les scientifiques indiens, les «no-selfies zones» doivent comprendre les zones touristiques avec de l'eau, les sommets des montages et les très hauts bâtiments.
Rishikesh – C'est en vain que le propriétaire d'un des chiens essaye de séparer les deux bêtes qui ont entamé un combat à mort. Il aurait fallu l'intervention de deux hommes armés de bâtons pour séparer les deux chiens enragés Le motif de la discorde, c'était le contrôle du territoire. Pas très différent des comportements humains !
Laxman Jhula – L'indispensable compagnon de la jeune femme indienne : le smartphone.
« De tous les maux dont l'homme s'est fait lui-même responsable, aucun n'est aussi dégradant, choquant ou brutal que son abus de la meilleure moitié de l'humanité ; le sexe féminin Gandhi 1921.
Laxman Jhula – Deux mondes bien différents !
Lorsqu'ils pensent avoir acquis une vertu particulière, la plupart des gens inclinent à en faire étalage au profit de ceux qui ne l'ont pas encore sans avoir conscience que la vanité est leur seul mobile. Il ne manque pas, en ce monde, les exhibitionnistes de la vertu et le spectacle est gratuit ! Mais que signifie, au fond, tout cet étalage de vertu ? Simplement que tel homme, ou telle femme, veut s'ériger en maître à l'égard des autres.
Que chacun de nous se crée autant de règles morales qu'il voudra, si cela peut l'amuser ; mais qu'il les garde pour lui-même, au lieu de l'imposer à autrui. Qui nous a conféré le droit dans les affaires d'autrui ? Pensez-vous qu'en contraignant votre prochain à faire ceci et cela, vous contribuez grandement à son évolution.
L'égoïsme n'est pas un heureux très de caractère, parce qu'il implique une limitation au lieu d'une expansion de la conscience........
(L'Initié dans le nouveau monde)
Laxman Jhula – Ã Rishikesh, la vache est sacrée, elle va où elle veut, il fait ce qu'elle veut.
On trouve de tout sur Amazon. Y compris de la merde. De la vraie. Amazon India va commercialiser une gamme de produit, savons, crèmes de soin, shampoings et autres, fabriqués à base d'urine et de bouse de vache. Sacrée, évidemment. Tout cela vendu par un centre appartenant au RSS, groupe hindou ultranationaliste proche du Premier ministre, Narendra Modi, et responsable de violences contre les minorités. Mais respectueux de la cause animale.
Loue !
le coût de l'écot
vas-y au culot
fera un tolé
ce culte du cul
te coûte une lotte
