GE
la nuit
avance vers sa fin
n'a bientot
plus que son squelette
perdue sa chair
de corps et de trouble
Soigner ce dangereux goût du mélange
Le visage fuit, coule dans le tient
Les formes montent des terres anciennes
Écrivant une vie palimpseste
Par les chemins
Et chaque fois vous marchez
trois pas
et tournez les talons et prenez le suivant
trois pas
dans quel état vous sortez de cette valse?
Un hiver de plus qui s'achève
chaque virage inscrit
un espoir de plus au compteur
Ils ne veulent pas savoir
que le coeur qui cogne au loin
grossit la vie ici
et ils se dessèchent de refus
Fissures comme bouches ouvertes
stigmates silencieux
des marches au calcaire explosé
le Rhône menaçait
Alors ce soir, quitte tes rives philosophiques
Et passe le pont venteux
Les tracés des avions dans le ciel
Ne signifie pas leur rencontre
Le lit foiré de plis de draps
oreillers entassés
et s'y recroqueviller chaud enfin
et laisser le texte éternel agir
Au pied de mon arbre...
Ils n'en sont pas revenus de me voir
(UPJ - Paparazzi des arbres)
Le désespoir du singe, même le tronc est piquant!!!
Arbre graffiti, pas beaucoup d'espace, graffiti succinct, ombres et lumeires.
Arbre tronçonné devenu jeu d'enfants dans un parc public. Joli voyage de cet arbre qui perdure de façon ludique et inattendue!
Bonzai géant coincé dans son pot, arbre décor dans une entrée d'immeuble de luxe.
Bani est le village de 7 mosquées, à 35 kilomètre de Dori au Burkina Fasso.
Chaque matin les enfants se rendent à la mare pour transporter de l'eau de quelques traveaux quotidien.