GE
Maîtresse implacable
ne voyant que plaies et boursouflures
regarde mes désignations
s'étirer en longs frayages du temps
vers les points cardinaux
[UPJ: paparazzi des arbres]
J'ai vu dans la porte entr'
bâille / à l'attente
poussent tes branches
aux quatre points cardinaux
M'a taillé la souche Et bouche d'en Vie
[UPJ: paparazzi des arbres]
C'est alors que les phrases se mirent
à glisser sur ma peau
Tachant de mille impacts
de monde en feu
Elles crièrent "au revoir" et "reviens"
Figèrent des lames
de promesses démunies
Quincampoix est perdu, stop
...éperdu le prie-dieu,stop,
...Ange reparti, stop,
...autour de mes reins, stop,
...s'éteint le drame
Moi aussi, moi aussi
j'arrive à la ville
pour y verser ma vie
je monte la rue
tel un géant [Lhasa]
L'enfant posa ses affaires
la mère se tournait les sangs
et les gens dans sa tête
puis elle partit
les côtes défaites criaient intrus
"Prends les bulbes des jacinthes
et met les en pot"
ordre du cabinet Michalov
c'est fait depuis longtemps
mais elles sont devenues stériles
Cinq cents hivers
Moi qui traverse, infime,
Ton existence si vaste
Divisé, coupé en deux,
il m'a dit et sans ces grandes échasses,
Déchiré, fatalement!
Sexualité plus ou moins faussement pacifiée par l'art.
Souvenir d'enfance au mur du couloir entre les chambres.
A présent chez moi.
Hommage à mon père.
[UPJ: paparazzi des arbres]
Une fiction burlesque mais trop vraie !
[préparations pour Pogography le livre]
Sur un Remix commandé à DJ Whiteshoe ! merci à DJ et aux habitants de ces images tous si proches de mon coeur et de mes tripes !
Joseph le Maigre est un Croyant, un foutu Militant !
La bonne blague avec lui c'est de le pousser un peu dans ses délires de Pogo.
Pas besoin de s'y mettre à 10 ! il démarre au quart de tour.
Joseph le Maigre est un convaincu, il croit que tout est forcément vivifié, réveillé par une bonne dose de joyeux chocs.
C'est ce qu'il prêche. Par la parole et par l'exemple.
Irrésistible ! On le sent venir de loin.
Le Pogo est une danse sauvage en concert, le Rire des Chocs, la Joie des Chutes.
Le délire de Joe est d'en avoir fait une Philosophie Tout-terrain.
Une sorte de Cortège de tête de l'Amour et de la Parole.
Mais ça lui réussit pas souvent.
Il est pas très lucide dans le Pogo des âmes et des mots.
Nous on se garde bien de le ramener à des philosophies moins trash.
C'est trop le pied quand il se plante.
Les mots brutaux
Frôlés avec les mots caressés
Pour lui c'est la Vie Vraie.
Et les chutes sont le Signe de l'Amour Véritable.
Ce con ne peut pas ouvrir les yeux sur ce qu'il faut aux Autres.
Des mots idéaux, des mots de Justes
Des pensées stables, de la Vérité
Et de la perfection...
Aucune chance pour le Maigre.
Ce jour-là on le regarde ruminer interminablement.
Puis son visage s'éclaire de joie intérieure: il pense avoir saisi la solution.
Nous on pouffe dans son dos quand on le voit s'élancer en direction de sa Belle Bête Brutale.
On est là à le regarder partir plein d'énergie au casse-pipe.
Prêt pour le grand cirque de la colère amoureuse et du désir.
Il voudrait nous convaincre de sa Méthode.
"mais tu vois, elle comprend pas que..."
Et on le laisse dire, on le détrompe pas.
C'est une fête furieuse qui se profile à l'horizon.
Et le voilà qui retravaille et perfectionne son scénario pendant des heures.
Il demande même notre avis.
On est un peu salauds parce que
la belle bête sombre avec laquelle ils se fracassent depuis un bout de temps
elle lui a quand même joliment retourné le cuir.
Sa belle, elle, n'a pas la croyance du Pogo.
Et bien vite elle s'excède de son Chaos de Mots.
Pour elle Noir c'est noir et Blanc c'est blanc.
Elle le cueille d'un Uppercut de grande classe.
Qui l'envoie aussi sec au tapis, tout surpris.
Il faut dire qu'il est beau le Maigre quand il vacille.
Nos copines le trouvent sexy.
Pour elles, Pogo ou Pas Pogo, c'est pareil au même,
Noir ou blanc, vérité ou mensonge, elles s'en foutent.
Nous on se bourre les côtes de rire, un peu vaches.
Mais on est heureux de savoir que très bientôt
on va l'avoir de nouveau avec nous, rien qu'à nous.
On l'aime trop le Jo.
Ce soir y a Binamé dans un sous-sol de banlieue.
Heureusement.
On l'emmène, encore un peu groggy.
Ici au moins il pourra se cogner aux autres corps avec délices.
Et quand ses vieilles jambes vacilleront
et que la Vague le foutra à terre
il y aura personne pour le piétiner.
Peut-être même qu'une jolie, retrousée du nez et bien tatouée
Se dira
"Allez ! je l' relève... et on va se cogner un peu parmi "
Là ça va pas foirer,
le Pogo des Corps est plus simple que le Pogo des Âmes.
Et ça durera ce que ça durera, pas bien long.
Ensuite il sera repris par l'rrésistible désir chevaleresque,
du Pogo d'Amour.
Et il en prendra encore plein la gueule.
N'empêche qu'au fond il a raison Joseph le Maigre.
Pas une bonne chose de tergiverser avec ses croyances.
Au fond on l'admire tous un peu
Mais son avenir sentimental nous paraît trouble.
Ce qui l'empêche en rien d'y croire dur comme fer
à son histoire de Pogo...
je rassemble les eaux troubles
avec les falaises noires
les eaux troubles m'agitent
les falaises m'étreignent et me calment
je laisse apparaître des morceaux cassés
tranchés découpés
il y a même un palan sur un pic
je me demande ce qu'il transporte celui-là
s'il me transporte
et je dépose le tout
dans les souterrains de mon corps
et sur la table de reproduction
il m'est arrivé d'appeler celà les images ouvertes
qui ne cachent pas leurs intimités
même pas leurs tricheries
ouvertes à tous les vents
L'arbre des amants sont deux et aujourd'hui il a eu de la visite
[UPJ: paparazzi des arbres]
L'arbre des amants
L'oeil était dans l'écorce et regardait mon âme
[UPJ: paparazzi des arbres]
Ils étaient plusieurs, nichés dans son ventre, à me regarder venir
[UPJ: paparazzi des arbres]
AUX ROIS DE CE MONDE
Il réunit les vieux prêtres et leur posa des questions sur les rois qui jadis avaient possédé le monde. « D'abord, leur demanda-t-il, comment se fait.il que le monde leur ait appartenu, ensuite qu'ils nous l'aient laissé dans un si triste état ? Et comment expliquer qu'ils aient pu vivre sans le moindre souci durant le temps de leurs travaux héroïques ? »
Firdausi, Shah-Nama
CONVERSATION INTERCOMMUNAUTAIRE
L'Indien de nature est très curieux, quand il rencontre un étranger, il ne peut s'empêcher de lui demander :
- Which country ?
- Switzerland
- Ooooh ! Very beautiful country !
Léger moment de silence entre deux bruits de klaxons de motos.
- First time in India
- No
Arriver à ce point de la conversation, son attention et sa soif de connaissance vis-à-vis de l'étranger avec lequel il vient d'entrer en contact redouble et il s'enhardit avec la question qui lui brûle les lèvres :
- Your name ?
- Jean-Louis
L'étonnement se lit sur son visage. Le sourire qui illuminait son visage quelques secondes auparavant à sensiblement diminuer, car ce nom de Jean-Louis ne fait pas parti du panthéon des divinités hindoues composé de trente-trois millions de dieux et ça le déstabilise. Mais comme tous les dieux ne font qu'un, il tente une dernière question :
- Where are you going ?
- Pitchisson
Là le visage de l'Indien se décompose, car Pitchisson est un lieu totalement inconnu pour lui, c'est un autre monde et il ne voit pas comment il peut continuer cette conversation qui avait pourtant bien débuté. La gêne s'installe entre l'Indien et l'étranger et le rapprochant intercommunautaire s'arrêtera là.
Ces petits moments de plaisir je les vis une dizaine de fois par jour et je ne m'en lasse pas.
YOGA INDIEN
C'est en Europe qu'on « fait du yoga », ce n'est pas en Inde. Chez nous, il s'agit d'une sorte de gymnastique respiratoire, d'un exercice popularisé depuis longtemps, dont les bienfaits peuvent être sensibles – si nous savons nous méfier des charlatans qui prolifèrent.
En Inde, lorsque nous abordons ce thème, lorsque nous lançons ce mot, nous nous trouvons en face d'un système de pensée et d'une manière de vivre qui, sauf cas d'exception, nous sont impénétrables, et cela d'autant plus que, là comme ailleurs, la tradition indienne est morcelée, fuyante, presque insaisissable. Quelle est la juste école ? Où trouver le bon guru ? Questions aux mille réponses, donc questions sans réponses.
Théoriquement, le yoga est une technique de libération de l'esprit qui est formulée dans un texte, les Yoga sutra, attribué à un auteur semi-légendaire nommé Patanjali (et connu en Occident depuis les Aphorismes de Patanjali, de Schopenhauer). Qui était Patanjali et quand vivait-il ? Nous n'en savons rien. Les estimations vont du IIe siècle avant notre ère au Ve siècle après. De toute évidence, les textes rassemblés sous son nom recueillent des traditions plus anciennes. Le yoga, dont l'ambition secrète est au cœur même de l'Inde, est connu dans les Upanishad comme dans la Bhagavad-Gita.
Extrait du : DICTIONNAIRE AMOUREUX DE L'INDE Jean-Claude CARRIERE Plon 2001
VOIE ANTIQUE OU VOIE EN KIT
Jean René Albert de Paris, capitale de la douce France de Marine, arriva près de la grotte où disait-on, vivait un ermite sans âge. Jean René Albert fort impressionné par la longue barbe blanche du sage ascète lui demanda :
- Combien de temps faut-il pour parvenir à la connaissance
- Toute une vie, répondit le sage ermite
- Et si je fais beaucoup d'efforts
- Plusieurs vies
- Et si je ne fais plus que cela
- Alors tu n'y arriveras jamais.
Penaud, notre nigaud n'ayant rien compris aux sages paroles du sage ermite, s'en retourna à Rishikesh, capitale mondiale du yoga. Marchant dans la rue principale de Lakhsman Jhula, Jean René Albert, de Lutèce ancienne capitale de la Gaule et de la gaudriole, tomba en extase devant une affiche qui allait changer sa vie et certainement le mener sur la voie de la réalisation de Soi.
CACAO ! KUNDALI ! TANTRA ! ECSTATIC DANCE !
SOUND HEALING !
Every Sunday in january 2017 from 1 – 4 pm
Cash : 700 INR (EarlyBird) or 900 INR at the door
**pls bring exact change, thank you**
5000 ans de pratiques spirituelles et de philosophies hindoues concentrées en 3 heures, voilà ce qu'il fallait à Jean René Albert, de Paris où sous le pont Mirabeau coule la Seine. Il allait enfin concentrer ses pensées sur un point précis et être enfin délivré de sa source principale d'affliction, cette relation si solidement établie avec un monde d'illusion. Rishikesh, capitale olympique du Salut.
En attendant dimanche, jour du « Shamanic Cacao Ceremony », Jean René Albert s'en alla au Bouddha Café manger un Banana Pancake et profiter de regarder sur son A-Phone, le dernier épisode de « Game of Thrones » saison 7..... En vitesse accélérée naturellement.
UNE SEULE RELIGION
Le Christ savait bien que son message réunirait un grand troupeau formé de ceux qui étaient déçus d'anciens systèmes religieux mais qui n'avaient fait choix d'aucun. Il savait bien qu'il allait toucher par son Verbe une petite partie d'une masse humaine plus vaste. Mais la grande erreur de tous les dévots sectaires, à quelques religions qu'ils appartiennent, est de penser que leur Dieu (Rama, Krishna, Zoroastre, Bouddha, Christ, Mahomet, etc.) est le seul et le meilleur, et que par conséquent il est impératif d'aller répandre dans les autres religions sa propre conception de la vérité. Il faut reconnaître que cet état d'esprit a surtout prévalu dans le christianisme et l'Islam. Le zèle ardent, le mensonge la propagande et la violence pour recruter n'est pas l'évangélisation.
Si le Christ a envoyé ses apôtres deux par deux en leur ordonnant d'enseigner la vérité, il ne leur a certainement jamais dit d'imposer l'image du Christ en affirmant qu'il était le seul valable, que tous les Krishna, Rishis et Bouddhas du passé n'avaient été que des charlatans ou des ignorants, et qu'en dehors de lui il n'y a point de salut !
Soyons sérieux ! Seul le petit peuple des non-penseurs peut encore adhérer à une telle idée.
Alors que le soleil se couche sur la plaine du Gange, les haut-parleurs du Temple de Swarg Niwas diffusent les prières du soir. C'est la célébration du Ganga Aarti, le rituel du soir, ou musiciens et dévots chantent et allument des bougies. Le rituel hindou consiste a allumé des mèches imbibées de ghee(beurre clarifié) placées sur une feuille de banian et ensuite déposées sur l'eau pour être offerte au Gange.
RICHE - PAUVRE
La Voie du ciel
Ôte au riche donne au pauvre
La voie de l'homme au contraire
Ôte au pauvre donne au riche.
Lao-Tseu
La société indienne était la seule où un homme quelle que fût sa position, pouvait tout abandonner, prendre le bol du mendiant et partir ainsi sur les routes, sans que personne ne s'en offusquât. Par malheur, avec la surpopulation angoissante et, à partir des années 1950, la montée massive du chômage, nombreux sont ceux, parmi les gens de condition moyenne, qui ont pris le bol de mendiant. Ainsi l'équilibre s'est trouvé rompu.
Extrait du : DICTIONNAIRE AMOUREUX DE L'INDE Jean-Claude CARRIRE Plon 2001
LE GANGE
À une trentaine de kilomètre de Rishikesh, à Déoprayag, deux rivières se rencontrent ; la Bhagirathi, qui prendre sa source à Gaumukh au-dessus de Gangotri et l'Alakananda, née du glacier de Nanda Devi une montagne qui culmine à 7800 mètres. C'est à partir de Déoprayag que le puissant cours d'eau formé par la réunion des deux torrents prendra le nom de Gange. Il continuera ensuite son chemin durant 2700 km de l'Himalaya au golfe du Bengale, irriguant 25% du territoire indien et nourrissant quelques trois cent millions d'Indiens.
Le Gange est un fleuve unique. Chaque goutte est sainte et sacrée. Le Gange apporte le salut, offre la rédemption, donne l'absolution. S'y baigner lave de tout péché. Il n'existe pas un autre fleuve au monde pour lequel on ait imaginé autant de noms. On en dénombre mille. Rien d'étonnant à cela lorsque l'on sait que le panthéon hindou ne comporte également pas moins de trente-trois millions de divinités.... Gange est d'origine féminine. Ce sont les Occidentaux qui, allégoriquement l'ont masculinisé.
Ayant parcouru les rives du Gange, l'illustre pèlerin chinois Hiuen-Tsang écrivait au 7ème siècle :
« Ses eaux sont bleuâtres et ses flots ont une étendue immense. Un grand nombre de créatures merveilleuses y vivent, d'ailleurs inoffensives pour les hommes. L'eau a une saveur douce et agréable et entraîne avec elle un sable d'une extrême finesse. Dans les textes indiens, on l'appelle « l'Eau de Félicité ». Ceux qui s'y baignent, assure-t-on, se trouvent purifiés de tous leurs péchés. Ceux qui en boivent ou seulement s'en lavent la bouche voient s'évanouir les malheurs qui les menaçaient. Ceux qui s'y noient renaissent parmi les dieux. Une multitude d'hommes et de femmes se rassemblent sur les bords. »
Dommage que le Rhône n'est pas les mêmes vertus sacrées ; de sa source valaisanne au golfe du Lion il atténuerait peut-être la connerie des gens qui votent pour la félicité de l'UDC et du Front National qui prône la division et l'exclusion. Mais c'est sûr, chez ces gens-là, l'eau n'a pas le même goût que le pinard que madame Cécile Amaudruz (UDC Genève) s'envoient, conduisant avec 1,92 gr. dans le sang et jurant devant la presse qu'un homme aux cheveux long à transformé l'eau en vin durant le banquet qu'elle partageait avec le l'insignifiant Parmelin.
Le resserrement de l'immigration frauduleuse exacerbe la méfiance des patriotes virulents hostiles aux moeurs hétéroclites.
L'agencement constitutionnel des distinctions éminentes amasse des faveurs impensables aux frais des contribuables bridés.
Le paradoxe sarcastique des régulations maîtrisées raffermit l'altérité dissemblable dans des divisions hermétiques.
La fureur des ignominies infernales obscurcit l'inhérence de l'ascendance à éliminer une astreinte innocentée des exemptions rapportées.
L'agitation imprudente des scissions disputables occupe des lieux informels constellés par d'inconstants dialogues disconvenants.
L'échappement suffocant des dispositifs aux combustions fossiles empoissonne l'équilibre atmosphérique détérioré par des emphases énergivores.
Les affectations continuelles assignées aux nécessiteux asservis fructifient les marchés lucratifs des monopoles ultimes.
at dawn we found a field where we just laid down our bodies
the grass was profound... it was so soft, and there was a strange glow...
it was the end of the run
Le corps Elle
Achète une Echarpe
La ville se remplit de Rencontres
Mortelles
Le corps Lui Sourit
Ne Sent pas
Le pistolet Contre sa Tempe
[Douceurs et le Cortège de Tête]
La fête chez F aurait eu Lieu
Le corps Elle
Et le Corps moi
Joueraient à Cache Corps
Devant les Invités Derrière les Invités
C'est Rigolo !
[De la Nécessité du cortège de Tête]
C'est Rigolo !
Mais les Dieux doivent
Recevoir Leur Dû
Dû de Mort
Dû d'Exclusion
Sinon le sacrifice Serait rejeté
Sur les Corps Vrais
[De la Nécessité du cortège de Tête]
Les pouvoirs empêchent
À Tout Prix
Les nous
de pulser
Les pulsars sont accusés
[L'amour Est une Manif]
Le Dixième de Février est le Jour de Flandre
An II
le prie-dieu se noie dans l'eau boueuse
le sous-sol cesse d'être sombre
les phrases crient « »
un géant se met debout
un autre descend du wagon
la rue est secrète
personne n'est là pour les voir
deux enfants se regardent
se tiennent juste la main
se parlent
je viendrai
The first thing that caught my eye for the first post.
A primeira coisa que chamou minha atenção para o primeiro post.
Garbarge pickers: intense and aerobic activity.
Catadores de lixo: atividade intensa e aeróbica.
Chasse a l'arbre, ici texture et couleur, je poursuis la recherche...
Brume, branches et soleil, arbre mort et feuilles vives, boules blanches et rameaux secs.
Je passe mon chemin... la chasse continue
Arbre jeux d'enfants désert, plus de rires ni de feuilles seules les couleurs monochrome persistent dans l'hiver. Je chasse toujours...
Arbre rose, soleil rasant d'une fin de journée d'hiver, un peu de couleur qui réchauffe... je passe mon chemin.