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Le marché de la poterie au bord du fleuve Niger, à Bananissabakoro.
Au Marché de boulkassoumbougou en commune 1, Sitan est une vendeuse de feuille pour la nourriture.
Mon projet dans le cadre du 8 mars 2014 à l'Institut Français de Bamako.
Sitan a à peu près 16 ans elle est aide ménagère à Boulkassoumbougou à Bamako.
j'ai encore rencontré Sitan au marché aujourd'hui.
"May our goods bring you happiness and good fortune"
Slogan cueilli au-dessus d'un rayon des grands magasins Daimaru
Le Japon ?
Un chapelet d'images accrochées à la queue de mon cerf-volant...
Genève à 14 heures 12, un 25 octobre...
Je rêve d'un café, un vrai, arpente la ville en la reniflant, me réapproprier des lieux, des atmosphères, les faire coller à mon histoire, ma toute petite histoire personnelle (et ce matin, pourquoi ce matin ? avec une acuité qui me surprend moi-même, dans chaque tête de passant que je croise, j'en devine une qui palpite), considère un arbre jamais vu, peut-être parce qu'il flambe de toutes ses feuilles, d'ailleurs voilà une des vertus du voyage, me dis-je, rafraîchir le quotidien qu'on ne voit plus à force de l'avoir sous le nez, puis cet amoncellement de déchets au coin d'un immeuble, mais qu'importe, au Japon, impensable, et un oiseau, plus loin une flopée de pigeons dans une tache de lumière, comme s'ils se baignaient, je comprends mieux les touristes japonais qui brandissent devant nos pigeons leurs appareils photos, pas d'oiseaux au Japon, peu, presque pas, du moins dans les villes, sinon des corneilles par centaines, menaçantes et la mélodie entêtante du coucou, omniprésente, à chaque sémaphore pour que les aveugles, (on dit maintenant non-voyants), puissent s'élancer rapidement sur la chaussée, il est bref le temps laissé aux piétons au Japon pour passer d'un trottoir à l'autre, en vagues humaines, au moment où le chant de l'oiseau l'autorise, puis revois ce chauffeur de taxi qui, dans un anglais impeccable raconte son tour du monde, seul, c'est de voir un sac à dos qui le rend loquace, une madeleine pour lui, puis très vite dévide sa vie aventureuse, si loin de cette grégarité nippone qui encombre les préjugés de l'occidental, sa traversée de l'Afrique, toutes ses affaires volées, sourit et montre une cicatrice au poignet, un coup de couteau, ils sont si pauvres dit-il, sans ironie et sans la moindre acrimonie, travelling is beautiful, have a nice stay in Hiroshima, et retourne à sa vie avec ses souvenirs et son taxi, tout ça se bouscule dans ma tête lorsque j'aperçois, distraitement, un encombrement de couvertures dans un abribus, reviens en arrière, et y découvre un visage, et ce visage me bouleverse, je ne peux pas rester là à le contempler, je continue mon chemin, mais dix pas plus loin reviens en arrière, tout doucement, le reconsidère, et repasse encore, et m'agenouille, et photographie, surpris par mon audace, surpris par cette misère qu'à Genève j'avais pourtant déjà côtoyée mais que je ne voyais déjà plus...
La prochaine fois que je passerai à la télé, je ferai comme Sofia: une sublime extinction de la voix, rien de tel pour que les téléspectateurs se rapprochent davantage
Plutôt que de faire l'amour à sa chère et tendre, ce théatral troubatour préfère traduire des textes sacrés du sanscrit ? Silvia en rit déjà.
Jusqu'en 2006, nous vivions dans la "Grande Modération": les cycles conjoncturels avaient disparus. C'était la fin de l'histoire, telle que prédite par Francis Fukuyama. Avec la crise de 2007, nous sommes rentrés dans la "Grande Récession". Le cycle est mort, vive le cycle !
On m'aurait dit il y a encore 6 mois que j'allais faire le marathon de Lausanne (le petit tout de même...), j'aurais pris mes jambes à mon cou
Un jour, voilà que nous prenons la liberté de ne plus coller aux bords de la feuille. A moins que nous adhérions à l'art brut.
Khaled Zaki. Dans la pénombre du Pavillon de l'Egypte, le sculpteur égyptien expose quelques unes de ses sculptures de bronze, comme celle-là, parfaitement illuminée.
Pawel Althamer, un artiste polonais, plastifie des Vénitiens pour la 55ème Biennale de Venise.
Chez Optic 2000, on vous conseillera sur le choix de bonnes lunettes adaptées à votre vue.
Ceux qui professent extérieurement leur religion mais ne la pratiquent pas, peuvent être pris à tort pour de véritables dévots. (Même la mafia à ses saints)
"Il n'y a rien de drôle dans Halloween. Cette fête sarcastique reflète plutôt une infernale demande de vengeance des enfants par rapport au monde adulte" - Jean Baudrillard
"Words are only painted fire; a look is the fire itself" - Mark Twain
"Our fatigue is often caused not by work, but by worry, frustration and resentment" - Dale Carnegie
"What is to give light must endure burning" - Viktor E. Frankl
"Now, God be praised, that to believing souls gives light in darkness, comfort in despair" - William Shakespeare
Jaures arrive de Marseilles avec ses deux chiens et va chercher du travail aux alentours de Sierre ...
Regarder virevolter les feuilles de bouleaux comme des papillons jaunes dans le vent