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Pierre-Edouard me fait, fièrement, visiter son nouveau studio. Une réussite.
Quand l'équipe des impôts monte au sommet, le contribuable aurait de quoi prendre peur. Laissez-nous un message dans le livre de caisse.
Le fils Abrigo devant sa nouvelle cave. Les vins sont absolument fabuleux.
Fredy est quelqu'un de très organisé et consciencieux, même en voyage.
J'y peux rien, chaque fois que je sens le regard de l'objectif sur moi, je souris
Le Musée de l'Elysée expose Trilogie, une enquête photographique de Christian Lutz sur le Pouvoir.
Le monde politique, la finance et le religieux y sont abordés très subjectivement par le photographe.
La congrégation religieuse au sein de laquelle il a été autorisé à faire des images porte plainte devant les tribunaux, fait interdire le livre prêt à la diffusion, prétextant que certaines images portent atteinte aux droits des personnes.
Le photographe décide de déplacer la polémique du juridique vers l'artistique et expose au Musée les images interdites de publication par la justice. Elles sont sanglées de bandeaux noirs qui dissimulent les visages sur lesquels sont formulées les motivations des plaignants.
Cette redoutable efficacité a pour effet de revivifier instantanément le néo-darwinisme du spectateur à cause du goût-de-canon-dans-la-bouche dogmatique qu'on sent dans le discours des plaignants.
Pendant que nous pérorons contre le diktat de ceux qui ont des valeurs qui ne sont pas les nôtres et les défendent devant les tribunaux, Daniel W, photographe de presse à la retraite, promène son Leica Monochrome au coeur de ce vernissage à teintes militantes.
Mais voilà qu'entre deux discours on lui interdit formellement de faire des images dans le Musée. Il doit rengainer son boîtier.
« Quoi ! quoi ! on s'insurge contre la censure et on m'empêche de faire des images, scandaleux ! »
Cher Daniel, un Pouvoir, toujours, en cache un autre !
Depuis que Dieu est mort, quelle foire d'empoigne autour de son trône....
Par quel mystère naît-on dorade et pas caniche ou Nadal ?
« On a longtemps cherché s'il y avait une langue naturelle et commune à tous les hommes ; sans doute, il y en a une ; et c'est celle que les enfants parlent avant de savoir parler. »
Jean-Jacques Rousseau - Extrait d' Emile ou de l'éducation
...et il en est une autre lorsque la bière remplace le biberon !
Quelle plaisir de se faire plaisir!
La nourriture marche bien mieux que le Prozac... Bon elle fait peut-être plus grossir mais quelle satisfaction!
Mieux que la chasse aux oeufs! Ici les tartelettes au citron se perdent dans les géraniums!
Laissent augurer la présence de lieux encore secrets
le "doë" commente les afffaires du territoire des Convers,
hululement de notes donnant dans le grave sur fond de forêt noire
passer d'une altitude à une autre
à des jours d'intervalles
on vit "plusieurs primtemps" !!!
Ecoute! ils se répondent d'un versant à l'autre
as-tu un sou en poche !?
16H ... quand on n'a pas encore fait sa photo du jour et que l'inspiration n'est pas là
... on passe dans le jardin du voisin, absent !!!!
c'est bien connu , l'herbe est toujours plus verte chez le voisin ....
"I don't see the world unless I see it in ink" - Jewel Kilcher
"Playing games with the faces/
She said the man in the gabardine suit was a spy/
I said, Be careful, his bow tie is really a camera" - Paul Simon (America)
"In the morning a man walks with his whole body; in the evening, only with his legs" - Ralph Waldo Emerson
"Le niveau de radiation restant après le big bang est le même que celui de votre four à micro-ondes, mais beaucoup plus bas. Il ne réchaufferait votre pizza qu'à - 271.3° C - pas assez pour la dégeler, encore moins pour la cuire" - Stephen Hawking
"Et lorsqu'il pleut sur ton défilé, regarde en l'air plutôt que parterre; sans la pluie, il n'y aurait pas d'arc-en-ciel" - G. K Chesterton