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Championnat du monde de tracassets! Une rencontre géniale qui a lieu tous les deux ans. Le gagnant cette année? Un vaudois, comme toutes les éditions (et comme tous les participants).
Reçu un cadeau très original aujourd'hui. Un livre de 1958 sur la vinification. Passionnant, et toujours actuel.
Retour du printemps et des légumes un peu plus colorés.
Devant moi une queue de 150 mètres de groupies. Combien parmi elles sont persuadées que Joël Dicker a eu le Goncourt ? Oui enfin le Goncourt des lecteurs, décerné par ... la Fnac, c'est pareil non ?
D'autant plus avec le son et l'image alentours, de tous ces gens réunis anarchiquement, buvant, buvant et se levant de temps en temps pour scander en coeur "A bas l'austérité!"
"A meringue is really nothing but a foam. And what is a foam after all, but a big collection of bubbles? And what's a bubble? It's basically a very flimsy little latticework of proteins draped with water. We add sugar to this structure, which strengthens it. But things can, and do, go wrong" - Alton Brown
“So fair, so cold; like a morning of pale spring still clinging to winter's chill†- J.R.R. Tolkien
A Amsterdam, en plus des coffee shops, il y a des dealers de Jura...
"Aimer, oui, car l'amour est une inépuisable source de réflexions, profondes comme l'éternité, hautes comme le ciel, vastes comme l'univers" - Alfred de Vigny
Essai de peinture sur les murs de mon appartement... Cela ressemble à un tableau de Mark Rothko. Dommage, tout va disparaître bientôt...
Bonjour chers amis,
Me voici de retour et je vous salue bien bas...
Dans les années 20, souffle à Genève un courant architectural social et humaniste emmené par Maurice Braillard (1879-1965), qui concevra divers projets, dont la Maison Ronde des Charmilles et la Cité Jardin de Vieusseux. Ce dernier ensemble se présente comme une opposition au milieu urbain industriel sans pour autant faire partie de la campagne. Ces immeubles sociaux organisés en coopératives constituent un modèle de logement qui s'est perpétué jusqu'à aujourd'hui. Au fil des ans, ces immeubles ont été détruits et remplacés. Dernier vestige de cette aventure, le 28 avenue des Franchises s'est décrépi au fil des ans, le propriétaire attendant sa mort naturelle faute de locataires. En 1989, la décision est prise de démolir le bâtiment. Les issues sont murées après que les derniers locataires aient été évacués donnant à la bâtisse son surnom de Verrue. Les recours en classement se succèdent, pérennisant cette situation. En 2009, tous les recours sont épuisés. Le propriétaire met l'ensemble à la disposition des graffeurs afin de le rendre plus riant en attendant une éradication qui ne saurait maintenant plus tarder. Aujourd'hui, un projet de restructuration du quartier nous annonce la fin prochaine de cette agonie . A voir...