GE
Mal de tête, pas dans mon assiette, tout tourne. Saleté de grippe.
Il y a ce long bout droit de route, et sur la droite, une vue magnifique sur les montagnes Fribourgeoise qui cachent encore le soleil qui se lève et donne une couleur magique à ce paysage.
Ciel, ma photo du jour! Toujours garder ce regard émerveillé comme au premier regard.
Mon site avance... et la photo de Francis sera à l'honneur sur la page "bio".
Frank
A la question "Comment ça va?", il répond - bien, et qu'au moins, si le cancer revient, ses filles sont assez grandes pour se souvenir de lui.
...
s'il y a une chose que j'adore, c'est faire la chèvre. Le rire a des vertus étonnantes
Le nombre de personnes pour une séance de dédicaces ? Proportionnel à la température dans les rues de la ville.
Il me parle d'Edouard Stern, avec qui il a travaillé pendant plusieurs années. A quelques mètres de l'appartement où le banquier a été assassiné. A la formule "1 million, c'est cher payé pour une pute" qu'aurait lancé Stern à sa maitresse avant qu'elle ne l'abatte de 4 coups de pistolet, on pourrait dire que 5 ans de prison pour un meurtre, eux, ne sont pas très chers payés. Aussi odieuse que la victime soit-elle.
Très forte, l'expo-photo de Simona Bonanno à la galerie Focale.
"A travers le monde, des femmes, des adolescentes et des enfants sont encore tuées au nom de la religion, du pouvoir, de l'ignorance ou de la haine. Le décès ou la disparition de ces femmes restent voilés de silence."
Simona reprend la poupée, objet populaire et innocent, pour en faire le sujet de mises en scène inquiétantes et néanmoins inspirées de fait réels.
Ainsi, cette femme pakistanaise, lapidée en Italie par son mari parce qu'elle avait pris la défense de sa fille, coupable de ne pas se soumettre à la volonté du père.
L'inflation c'est comme le ketchup.
Vous secouez la banque centrale pour qu'elle injecte des liquidités dans l'économie.
Rien ne vient.
Vous secouez encore.
Toujours rien.
Vous secouez plus fort.
Et là, les gens commencent à douter de la valeur réelle des billets de banque.
Ils se précipitent dans les magasins dès qu'ils touchent leurs salaires.
Demandent à être payés toutes les semaines, puis chaque jour.
Vous avez de l'inflation plein l'assiette et les pantalons.
En 1946, en Hongrie, l'indice des prix à la consommation doublait toutes les 48 heures.
Aujourd'hui, le Premier Ministre Viktor Orban aimerait placer un des ses lieutenants à la tête de la banque centrale.
Pour mieux huiler la planche à billet ?
Le ketchup pourrait bien virer au bain de sang.
L'ami Max mord le téton mocca d'une religieuse...
Si j'avais encore cent ans à vivre, je continuerais à exprimer les accords, les harmonies de l'humanité. Ce qui nous unit est plus grand que ce qui nous divise. J'ai traduit mes sympathies : une rose, un son d'orgue.
L'art nous lie. Vive l'art !
Ferdinand Hodler, 1918
Jura Brüschweiler est allé rejoindre Hodler jeudi passé. Ils étaient amis, même s'ils ne se sont jamais connus. Les voilà frères pour toujours.
Gstaad, ville de luxe, d'avant-garde en matière de mode alpine... (?) Ils ont poussé loin! Le vintage est à la mode, les parcmètre le sont aussi!
"One man's ceiling is another man's floor" - Paul Simon
"When I left my home and my family / I was no more than a boy / In the company of strangers / In the quiet of the railway station running scared" - Paul Simon
"And I dreamed I was dying / I dreamed that my soul rose unexpectedly (...)" - Paul Simon
“I'm empty and aching and I don't know why / Counting the cars on the New Jersey Turnpike / They've all come to look for America" - Paul Simon
“Be careful about reading health books. You may die of a misprint†– Mark Twain
"People talking without speaking/ People hearing without listening (...)" - Paul Simon, The Sounds of Silence