GE
L'erba se ne sta appartata, lì sull'altipiano;
e poi cresce, e poi muore, ogni anno.
Neanche il fuoco selvaggio la estingue;
brezza di primavera, soffiando, la rianima.
La fragranza si diffonde lontano,
invadendo l'antico sentiero;
lì, nel limpido cielo,
il suo verde colore smeraldo
si congiunge alle mura in rovina.
Io, frattanto riprendo commiato
dal mio nobile amico in partenza;
provo pure una forte emozione,
che già cresce nel cuore, come l'erba.
Po Chu-i, poeta cinese dell'epoca T'Ang
Poser son appareil et attendre qu'il capte la poésie de l'instant, bonheur du photographe
Emouvant ce poisson qui stimule un compagnon mourant jusqu'à ce qu'il revienne à la vie
Faudra pas que j'oublie de laisser mes mains s'exprimer à la radio. La voix en est posée.
Pour détrôner les 30 millions d'exemplaire de "50 shades", faudra prévoir un peu de SM dans la prochaine édition de La Bourse et la vie...
Simona! Voilà bientôt 5 ans que je vais la trouver chaque année. Elle gère une cave qui produit 250'000 bouteilles par an. Son sourire et la qualité de ses vins sont toujours au rendez-vous.
Nadine n'aime pas les photos. Elle se cache derrière le pouce.
Visite de la cave Coop près de Bâle. Amoureux des artisans vignerons-encaveurs et de leurs produits exceptionnels, l'ambiance est différente ici. Une production annuelle de 45 millions de litres et des moyens colossaux pour produire les flacons.
Dans la vie il y a d'innombrables "première fois"... Aujourd'hui, mes premières pâtes fraiches.
Cédric m'explique en détail le processus de percolation du café et l'importance d'une température de 92°C atteinte par la technique du time surfing qui consiste à attendre exactement 1 minute 30 après l'extinction du témoin du thermostat, ceci pour extraire tous les arômes. Cette machine à l'allure un peu surannée est la formule 1 des machines à expresso! Son maniement demande une certaine expérience mais pour avoir goûté, le résultat est là! La mort de la capsule? Dans mon cas oui, bientôt!
omaha beach? beirut? baghdad? tripoli? nicaragua? Sarajevo? checheni? aleppo? vietnam? etc, etc,...................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
Toujours le même rituel, que ce soit dans un sens ou dans un autre, on peut suivre la roue perpétuelle de l'habillage et du déshabillage professionnel.
[voyage immobile d'un fumeur de mots]
Ce n'est pas sans raison que l'on a donné ce no au chemin. Durant plus de 8 milles ans, les Algonquins de la région se servaient d'une piste à proximité pour portager entre deux réseaux hydrographiques soient la rivière Kinojavis et les lacs Preissac-Chassignol que les Algonquins avaient baptisé le grand lac Kéwagama et le lac Malartic menant à la rivière Harricana.
Magnifique journée de l'été indien* remplie de soleil, du vent du Sud et de 18 degrés.
*Période de doux temps durant laquelle les autochtones quittaient les camps d'été pour se rendre aux camps d'hiver.
C'est meilleur dans la casserole.
Mais le texte pête pas des briques, je vous l'accorde...
Texte suivre - pour le moment c'est le trop-plein de saveurs qui risque de se déverser sur les mots...
Simple, sauf quand la lumière du soleil rend la photo magique.
I particularly liked the patterns and colours. Suddenly this little girl came running down the road all happy and joyful. Her mother and baby brother following close behind.
These poplars are boarding my house. Actually they separate my backyard from a Jewish graveyard. When the wind blows their leaves make a very peaceful sound. Those trees are standing where the sun sets.
Straight lines, bordered areas, order, glass and reflections are elements which I like to bring into my pictures. With an interruption like the cyclist above.
I went out of the house with my D90 fitted with a pinhole cap. Near to my house is an industrial area with a long road going past. My exposure is 3 minutes, a truck drives by, lights emit from a factory. I don't like the picture so I turned it upside down.
In 1984 he closed his bicycle shop which his family had run for generations in a small town near Amsterdam. He was done with it. More than a bicycle repairman he was more of an artist. Being first in bringing the most beautiful frames from Italy to the serious minded Dutch market.
After closing shop he began restoring vintage Italian mopeds. And expanding his collection of records and paraphernalia from the fifties. Like Vargas' pinups and dinky toys for example.
"I have to show you this", he said, while he took me to a glass display closet. It was filled with what looked like stones. But turned out to be tools dating back thousands of years. His eyes shimmered when he held a hammer-like rock which, he said, was used by a person 50.000 years earlier. Each year he would travel to France to plough through a farmer's field morning to evening for every day searching for more rocky tools. Without the farmer's consent he had to operate on the sly.
I am his godfather. He is 10 years of age holding a wish to become an actor in the movies. In the week to come he is going to enroll with a casting agency and for this he needs a picture. "You can do it, you are a photographer", he said. So I did.
My neighbour was about to trash his old gloves. Luckily his wife thought I could maybe use them in the garden. I love them. Nicely made of leather, I wear them all around. But not in the garden. In this picture I am waiting for the ferry to arrive, looking at my new glove while the sun is playing with them. I like the contrast in this picture and the texture of the concrete road in front of me.
Quand on fabrique du rêve encore faut-il lui trouver une tête.
Mamallapuram. Temples splendides, lumières folles, odeurs invraisemblables. Et partout cette gentillesse qui fait fleurir les sourires
La tongue et le lotus fait l'objet d'un poème mythologique moderne où un Dieu se fait dévorer sa jambe par un crocodile en voulant cueillir une fleur de lotus pour sa bien aimée qui savait que sous le lotus nichait le crocodile mais qui voulait éprouver le courage de son prince maintenant unijambiste. Elle pensait ainsi le retenir près d'elle Elle s'était dit qu'avec une jambe il ne pourrait pas la fuir (comme son père le roi avait fuit sa mère) et qu'il aurait toujours besoin d'elle pour prendre appui. Je ne me souviens pas vraiment de la suite, c'est une longue est tortueuse histoire.
Je me rappelle juste que le Prince eut une nombreuse descendance. Avec la baby-sitter.
C'est que la mythologie locale, c'est compliqué.
Chaos suite aux inondations. Les racines des arbres ne s'accrochent plus fermement au sol. Trois blessés.
Gardiennes du temple fort de Brihadishwara à Tanjore, ancienne capitale du grand Empire chola...
Elections ! Nous sommes bien loin de la triste et grise iconographie électorale à l'occidentale. En Inde on ne craint pas de se parer des plumes du paon, ni même de passer pour une star aux côtés de Vishnu...
Tirupparakunram. A l'entrée du temple, Badrakali (Parvati en colère) est bombardée de boulettes de ghee (beurre) afin d'apaiser sa férocité après avoir moins bien dansé que Shiva...