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Toujours le même rituel, que ce soit dans un sens ou dans un autre, on peut suivre la roue perpétuelle de l'habillage et du déshabillage professionnel.
Clément, de retour du Pakistan, et sa copine Charlie, de retour du Congo. Deux humanitaires qui parcourent le monde pour essayer de panser notre planète!
Moment de complicité après un merveilleux repas au paradis des gastronomes et de la dolce vita, le Piémont. Lui est cuisiner, pâtissier-confiseur et futur oenologue, elle, pâtissière confiseuse. Un couple gourmand.
Josetta Zaffirio nous fait visiter sa cave avant de nous faire déguster ses crus, Dolcetto, Barbera, Nebbiolo, Barolo...
Simona! Voilà bientôt 5 ans que je vais la trouver chaque année. Elle gère une cave qui produit 250'000 bouteilles par an. Son sourire et la qualité de ses vins sont toujours au rendez-vous.
Nadine n'aime pas les photos. Elle se cache derrière le pouce.
Visite de la cave Coop près de Bâle. Amoureux des artisans vignerons-encaveurs et de leurs produits exceptionnels, l'ambiance est différente ici. Une production annuelle de 45 millions de litres et des moyens colossaux pour produire les flacons.
Dans la vie il y a d'innombrables "première fois"... Aujourd'hui, mes premières pâtes fraiches.
Un homme, son bateau et un café en attendant le vent.
Pour tout le reste il y a Master Card.
C'est meilleur dans la casserole.
Mais le texte pête pas des briques, je vous l'accorde...
Texte suivre - pour le moment c'est le trop-plein de saveurs qui risque de se déverser sur les mots...
On the Iowa Electronic Market, you can buy real-money futures markets where contract payoffs depend on economic and political events such as elections.
Les marchés misent sur Obama.
Un magasin de luxe bien genevois a eu le génie de vendre des habits rongés par les mites à des prix qui eux, ne sont pas piqués des vers. Mais c'est à la mode et... en plus c'est réservé aux "beautiful people"
L'erba se ne sta appartata, lì sull'altipiano;
e poi cresce, e poi muore, ogni anno.
Neanche il fuoco selvaggio la estingue;
brezza di primavera, soffiando, la rianima.
La fragranza si diffonde lontano,
invadendo l'antico sentiero;
lì, nel limpido cielo,
il suo verde colore smeraldo
si congiunge alle mura in rovina.
Io, frattanto riprendo commiato
dal mio nobile amico in partenza;
provo pure una forte emozione,
che già cresce nel cuore, come l'erba.
Po Chu-i, poeta cinese dell'epoca T'Ang
Poser son appareil et attendre qu'il capte la poésie de l'instant, bonheur du photographe
Emouvant ce poisson qui stimule un compagnon mourant jusqu'à ce qu'il revienne à la vie
[voyage immobile d'un fumeur de mots]
Ce n'est pas sans raison que l'on a donné ce no au chemin. Durant plus de 8 milles ans, les Algonquins de la région se servaient d'une piste à proximité pour portager entre deux réseaux hydrographiques soient la rivière Kinojavis et les lacs Preissac-Chassignol que les Algonquins avaient baptisé le grand lac Kéwagama et le lac Malartic menant à la rivière Harricana.
The man was shadowing this wall and I was shadowing this man. I had to walk fast to keep up with him. Juggling my camera in one hand, a bag in the other. Using the autofocus - which is normally turned off - I managed to capture him while he was making a nice pattern with the rain pipe, middle wallpiece and all the other bricks.
Maybe this one is too simple. Simplicity rules sometimes. Photography is about light. So there you go. I took one of the light.
I particularly liked the patterns and colours. Suddenly this little girl came running down the road all happy and joyful. Her mother and baby brother following close behind.
These poplars are boarding my house. Actually they separate my backyard from a Jewish graveyard. When the wind blows their leaves make a very peaceful sound. Those trees are standing where the sun sets.
Straight lines, bordered areas, order, glass and reflections are elements which I like to bring into my pictures. With an interruption like the cyclist above.
I went out of the house with my D90 fitted with a pinhole cap. Near to my house is an industrial area with a long road going past. My exposure is 3 minutes, a truck drives by, lights emit from a factory. I don't like the picture so I turned it upside down.
La mante est morte ce matin. Je l'ai vue faire ses derniers soubresauts au bas de la lampe halogène. Je l'aurai finalement observée plus d'un mois et demi. Il n'y a pas à dire, UPJ nous pousse à de drôles de comportements. Je n'avais pas imaginé avoir une relation avec une mante, qui plus est religieuse.
Paix à son âme.
Simple, sauf quand la lumière du soleil rend la photo magique.
Sur son portable, Jean-Pierre me montre une image de Loulou. Il en est fier, ne tarit pas sur ses qualités, sur ses performances, qui, il faut le dire son impressionnantes. Stéphanie, acquiesce, avec un doux sourire.
Loulou est son taureau reproducteur, Jean-Pierre éleveur, Stéphanie sa compagne et moi j'ai partagé avec ces amis déjà quittés, de bons jus de fruits et quelques belles platées de rires.
Planer si près du ciel étoilé dans une carcasse de trois cents tonnes est un miracle dont je ne me lasse pas de jouir - et me fait un peu oublier tous ce par quoi, pour voler, on nous fait passer : les rituels sécuritaires méprisants, la mise en boîte de mes données personnelles et les paradis clinquants des Duty Free.
Au-dessus de l'Irak des torchères brûlent la nuit et rappellent ces images douloureuses de puits enflammés pendant la guerre.
-Will you stop in Dubaï ?
Parce que je le dois, oui, mais jamais ne visiterai ce lieu fake, toc et creux, où le baril doit au sable ce que la perle doit à l'huître.
Puis cette jeune Turque et son Jules, tout deux employés dans une banque, qui partent en vacances à Calcutta et au Népal et vont voyager en Inde en bus. Ils adorent découvrir d'autres culture mais n'ont hélas que trois semaines de vacances par an. Elle me tend le petit paquet de noisettes qu'ils ont emporté, et dans ce geste, quelque soit l'extraction sociale, je retrouve une dernière fois la belle et grande générosité turque.
Chennai c'est l'incessant et frénétique va-et-vient entre organisation et chaos, entre beauté et laideur, juxtapositions d'extrêmes, qui ne cherchent pas à s'annuler, ni jamais ne s'atteignent, mais au contraire se renforcent les uns face aux autres.
C'est du moins une de mes premières impressions.
Vivement demain pour que je revois ma copie.
Quand on fabrique du rêve encore faut-il lui trouver une tête.
Mamallapuram. Temples splendides, lumières folles, odeurs invraisemblables. Et partout cette gentillesse qui fait fleurir les sourires
La tongue et le lotus fait l'objet d'un poème mythologique moderne où un Dieu se fait dévorer sa jambe par un crocodile en voulant cueillir une fleur de lotus pour sa bien aimée qui savait que sous le lotus nichait le crocodile mais qui voulait éprouver le courage de son prince maintenant unijambiste. Elle pensait ainsi le retenir près d'elle Elle s'était dit qu'avec une jambe il ne pourrait pas la fuir (comme son père le roi avait fuit sa mère) et qu'il aurait toujours besoin d'elle pour prendre appui. Je ne me souviens pas vraiment de la suite, c'est une longue est tortueuse histoire.
Je me rappelle juste que le Prince eut une nombreuse descendance. Avec la baby-sitter.
C'est que la mythologie locale, c'est compliqué.
Chaos suite aux inondations. Les racines des arbres ne s'accrochent plus fermement au sol. Trois blessés.