GE
Laszlo a fuit la Hongrie en 1956, à l'âge de 17 ans, en sautant d'un train qui longeait l'actuelle Croatie. "Pour éviter de me faire les poteaux au bord de la voie, j'ai plongé sur l'un d'eux. De sauter d'un train qui roule à 80 km/h, ça t'aide ainsi à l'éviter".
Quelques semaines avant de fuir, Laszlo s'était ouvert de son projet à un prêtre de sa paroisse, à Pécs. Celui-ci lui avait fait cadeau de 1000 Forints.
Depuis, Laszlo rembourse sa dette envers l'église chaque fois qu'il retrouve la cathédrale de Pécs.
... livre dont je ne vois plus le moment qu'il soit dans les mains de l'éditeur
L'entrée au parc olympique correspond à l'entrée dans un monde magique, comparable à celui de Walt Disney ou des Bisounours... à choix!
Stéphanie Lacombe devant le travail de Marion Fontecave, stagiaire à Olivier Culmann.
Zoé vient de terminer Platon qu'elle a lu après avoir achevé l'oeuvre d'Aristote, pour le plus grand bonheur de sa maman Céline.
Pierre-Edouard, ami et photographe, s'illumine dès que la lumière fait son apparition.
Carmen, Karina, Ruben et Thaïs. Une belle soirée chez des amis où la belle maman, en visite en Suisse, a joué de la casserole pour me faire découvrir les charmes de la cuisine Péruvienne.
La meilleure des journées est celle qui se termine à refaire le monde avec un ami et du bon vin. Hervé partage avec moi cette passion du bon vin et il en a même fait son métier depuis peu en créant son entreprise de promotion des vins Suisse, Swiss Wine Selection.
Ça bourdonne à la forêt-école ...
Démonstrations d'utilisation de bûcheuses multifonctionnelles, porteurs, bouteurs, chargeuse à godet, niveleuse, camion 35 tonnes, scies à chaîne, ect. sont en action ...
Comme à chaque année, l'AFAT (association forestière de l'Abitibi-Témiscamingue) est sur place dans le cadre de son activité 'Le camp des profs' à bord d'un autobus Maheux ...
Près de 40 enseignants de partout en région visitent pendant 4 jours des entreprises reliées à l'industrie forestière ainsi que la SOPFEU et les installations de l'école de foresterie ...
BONNE VISITE @ VOUS TOUS !
c'est le lieu où tu désires être bousculé et bousculer
où on te jette à terre et te relève, afin que la fureur se poursuive
[pogographie]
la photographie est toujours une violence / j'adore qu'on me photographie
[pogographie]
ce morceau de substance humaine devient alors le jouet de toutes les violences / j'adore qu'on me photographie et qu'on violente mes instants paralysés
[pogographie]
Café croissant, lis les nouvelles du monde : qu'importe les médailles, c'est participer qu'il faut... la Syrie flambe... manque d'eau au sud... la bourse hoquette et l'embargo économique se renforce sur l'Iran, etc... et là, dans ma rue, accotée au poste de police, une dame dort.
J'y retourne.
Elle est maintenant adossée à un charme, la cinquantaine, beau visage, lessivé par de la tristesse.
-Madame !
Elle m'oppose un non. Tout doux. Ferme. Sans qu'elle sache ce que j'allais lui dire et se retranche dans une immense solitude.
Quoi faire ?
Amitié. Champagne. Fondue. Cris. Bulles. Rêves. Mères. Nicolas. Illusions. Photographes. Regards croisés. Interrogations. Faire. Ne pas faire. Boire. Joie. Simplicité. Asymétrie. Orage dans un regard. Un autre dans le ciel. Enfance. Promesses. Saucisses. Innocence. Pourquoi ? Pluie. Quel beau cadeau. Casse-couilles. Joie encore. Illusion aussi. Délectation. Charmer. Mâle dominant. Baratiner. Tarte aux abricots. Mariage. Mirage. Regrets. Jus de pommes. Railleries. Aimer. Ardeur. Ivresse. Extase. Quarante ans. Mais pourquoi pas. Mordre la vie.
Dans l'air chaud et tendre, Chloé lance son pied en avant avec l'élégance du cheval de concours au pas ...
Jean-Luc, pour être sûr d'être bien placé, vient de sortir le hit 2013.
Tapez youtube et piripingpong
À l'ère du déjà vu
En trois question maintes fois posées, je me propose d'interroger (par cette image du jour) les pratiques photographiques aujourd'hui à l'ère du déjà vu.
L'art de photographier, à quoi répond-il exactement ?
Qui est photographe et qui ne l'est plus/pas ? et comment devient-on photographe ?
Qu'est-ce que photographier aujourd'hui à l'ère du déjà vu ?
Vers 8h ce matin, j'ai pris mon appareil photo et je me suis tenu à ma fenêtre avec le regard extra-muros. Patiemment et pendant plus de deux heures, j'ai observé et enregistré des instants sans accorder à mon regard un brin de jugement sur ceux-ci. Durant les deux heures qu'a duré mon expérience, ma réflexion s'est portée sur l'attente et ces conséquences sur mon image du jour ; qu'est-ce qui a déterminé le choix des instants que j'avais décidé d'enregistrer ?
Pourquoi n'ai-je pas enregistré un des instants ou l'espace sous mes yeux, semblait vide par l'absence de personnes ou d'animaux en mouvement ?
Pourquoi ai-je trouvé sans intérêt ce beau ciel bleu au soleil levant pardessus toutes ces maisons/boutiques qui entourent la station pré-métro Handel dans la zone 2060 à Anvers ?
Me suis-je fait avoir par le pouvoir de l'instant dans ce qu'il a d'insaisissable et de futile ? à votre avis ?