GE
ça c'est une lumière chaude, un sujet humant doux le bonheur, qui plaîra au péquin...
allez ! enfile !
[pogographie]
arroser quotidiennement le public
afin qu'il n'ait jamais soif
ou qu'il ne se dessèche jamais
la nourriture que je préfère lui offrir c'est la soif
l'abscence d'ombre où se cacher
[pogographie]
"le théâtre de la cruauté"
(un peu chiant cet Antonin !)
[pogographie]
Improbable mariage entre une fan de Maxim Vengerov et un inconditionnel de David Guetta
J'ai voulu aller faire la fête sur sa tombe au Père Lachaise, mais il y avait trop de monde
Petit shoot de cortisone, chez mon chirurgien de la main. Dans la salle d'attente, je retrouve ce livre, déjà "upjiser" en date du 29 janvier 2007.
Can we youtube you for your forthcoming book "Money and Life" ? Je ne dis pas non
Skype, ce générateur de désirs, part tout seul dans la sublimation artistique
Une terrasse suspendue au milieu du temps pour observer le monde qui poursuit sa course folle.
La soirée file, trop vite, à en oublier ma photo du jour. Sur le quai de gare, je crois enfin savoir ce que je veux.
Comme s'amuse à dire un ami : « la terre tourne à la bonne vitesse ».
José, photographe et spécialiste du tirage depuis 30 ans, m'explique toutes les finesses afin d'obtenir une image qui "claque". En même temps, il me dit transpirer à grosse goutte. Le photographe photographié, il préfère être derrière, moi aussi.
Claude Masson, le plus talentueux et eloquent pétabosson qu'il m'ait été donné de rencontrer. Il a officié comme un chef lors du mariage de Patricia et Alain.
J'avais envie d'écrire : Mimi a le panache d'un ananas. Ca la flatterait, j'en suis sûr. D'autres me prendraient pour un con de comparer une femme avec un fruit. D'autres, c'est sûr, pourraient penser que de légender continuellement des images c'est reconnaître leurs faiblesses. Tout ça c'est sans doute un peu vrai. Mais, ce jour-là, à ce moment-là, et le fruit et Mimi, portaient beau...
...pendant que je cherche mes mots, un hélicoptère de l'armée découpe l'air en tranches au-dessus de la campagne. En rondes obsédantes. Un prisonnier a dû s'échapper de la prison toute proche. Je pense à lui, à son souffle d'animal traqué, pendant qu'un âne braie, qu'un merle s'époumone, qu'une moto ronronne, qu'un enfant crie...
Le cÅ“ur de l'évadé doit battre comme celui de cet écureuil qui plongeait d'une cime à l'autre pour échapper à l'appétit vorace d'une martre.
Allez, tant pis pour l'évadé et l'écureuil, je me suis assez trituré les neurones, je me replonge dans Putains meurtrières de Bolaño...
Triple flamme, double mise en abîme, merguez, agneau et tiramisu.
Une maghrébine, d'une beauté irradiante et n'en doutant pas, lâche son caddy devant un grand magasin après avoir chargé ses victuailles dans le taxi qui l'attend. Tout ça en téléphonant. (Le chauffeur s'accroche au volant parce qu'il est sur un passage clouté). Je dis maghrébine parce qu'elle parlait l'arabe à son téléphone et un français parfait à son chauffeur.
Le caddy, largué par elle avec désinvolture, fout le camp attiré par la pente alors qu'une mammy à chien clopine en sens inverse.
Superman alors s'élance en beuglant : « Eh ! Oh ! Le chariot... Ooooh ! » s'interpose in-extremis entre le caddy fou et le toutou à sa mammy et anone :
« Quand même, eh Madame ! Oh ! Hein ! »
Elle se retourne, exquise de détachement. De la main gauche (elle téléphone de la droite), elle saisit le chariot au super héros, le pilote jusque devant le mur de portes vitrées du grand magasin et s'enfourne dans le taxi qui trépigne.
« Mais de Dieu, c'est pas vrai... » marmonne Superman. Mais au même moment déboule un second taxi klaxonnant à plein poumon :
« C'est ma course, c'est ma course... » aboie l'un.
« Va te... » réplique l'autre.
Je plie alors ma panoplie de super héros et continue mon chemin, l'idéal en berne...
Le merveilleux goût rance du plaisir vrai...
Entre plaisir vrai et vrai plaisir on a vite fait de choisir.
Le responsable relations publiques - marketing - merchandising UPJ en pleine tournée promotionnelle!
Le dos meurtris, envier celui qui se fait masser...
Avec JF Luthy, plutôt improbable au col du pas des Chevaux, à 2700m d'altitude. Emmitouflé dans sa veste jusqu'au oreilles, il est tout juste 10h15, il vente et il fait froid. Cela fait déjà quelques heures qu'il peint, avec le soleil et en captant la lumière sur les pierres. Il a bientôt fini car l'heure avance et les ombres avec elles.
A voir, à connaître!
http://jfluthy.com/
Pour amuser un spectateur fidèle, qui est amoureux du-'es soleil(s)
Alors là FT, promis juré je l'ai trouvée comme ça ce matin