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Une piqure de rappel que le bonheur est au bout du désir... n'est-il pas ?
Exponentielle, la montée en puissance de la gauche en France ou ... logarithmique ? Rendez-vous le 6 mai.
Sous une pluie battante, croiser ici des parapluies britanniques qui ressemblent davantage à des parasols ? Certains y renoncent.
Dernière nuit de travail! Même si le ciel menace, les vacances amènent le soleil dans ma tête.
Hôtel Mont-Colon à Arolla.. Dernière rénovation 1945!
C'est parti pour une semaine au coeur de la PDG!!
Pour démystifier le mythe: non, on ne peut plus démarrer le Push avec le couteau suisse depuis qu'ils les ont changés à l'armée!
Voici qui termine un petit jeu que nous avons joué avec Eric: une semaine, un thème. Il est clair que No Man's Land (Eric's choice) ne m'a pas trop forcé à sortir de ma tanière. Le monde m'est en partie étrange lorsque je revêts mon oeil de photographe.
J'ai beaucoup aimé cet exercice et, cher Eric, je te dis à la prochaine fois.
La vie de Raymond ? Combien de volumes papier-bible pour la contenir ?
Toujours cette idée lancinante derrière la tête... qui fait fumer.
Le collectif Tendance Floue expose au Théâtre Forum de Meyrin, 1 place des Cinq-Continents, Meyrin.
Une exposition photographique montée par Thierry Ruffieux et Mat Jacob
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14 à 18 heures
« Tendance Floue est un collectif de quatorze photographes.
Sa création, en 1991, est née d'une volonté farouche de conserver une certaine forme d'indépendance, garante de la liberté de chacun. Explorer le monde à contre-courant d'une image globalisée, regarder dans l'ombre des sujets exposés, saisir des instants à part.
Presse, édition, expositions projections, tirages de collection, communication d'entreprise et institutionnelle : le collectif ouvre toutes les portes, aborde tous les supports de la photographie contemporaine, sans interdits.
Depuis plus de vingt ans, une indéfinissable alchimie d'idées et d'énergies a permis de créer un langage photographique singulier, de questionner les modes du photoreportage et de tenter de renouveler le terrain de la narration. Au-delà de leur démarche individuelle, les quatorze photographes se lancent, ensemble, dans des aventures photographiques aux allures de performances. Confrontation des images, assemblages, combinaisons : du travail mis en commun sort une matière neuve ».
-Ma mère, si elle me voyait au Venezuela avec mes gardes du corps dans ma voiture blindée, elle me ramènerait à la maison en me tirant par l'oreille....
-C'est quoi comme appareil ?
-Ah ces fraises, incroyable ce qu'elles sont grosses...
-...il fait de la voile à Antigua, comme chaque année, avec ses huit copains...
-Les mômes, j'ai dit pas d'ordinateur, pour une fois qu'on est réunis !
-J'adore la photo.
-Tu en fais ?
-Pas le temps, suis en médecine.
-Mangez, mangez... misère qu'est-ce qu'on va faire avec tout ça. Il voit toujours trop gros.
-Bonsoir, comment vas-tu ?
-Euh, me souviens pas, on s'est déjà vu où?
-Chez X, il ya dix ans, une demi-heure.
-Mais oui, ça y est... ça va ?
-Morgan, enlève-toi de là, on veut couper le gâteau, Morgan, on voit tes nichons !
Qui suis-je ?
Je suis le passage de L'Homme et du temps.
Dans les années 1920 et 1930, durant la colonisation des terres abitibiennes, plusieurs familles avaient élu domicile sur le rang 2 de La Morendière, Québec.
Aujourd'hui, il ne reste plus que des presque poussières ...
Curieux tout de même de parler colonisation quand on sait qu'en fait, le territoire abitibien est habité depuis 10 000 ans par les peuples des PREMIÈRES NATIONS...
En Abitibi, chez les Premières nations, on y rencontre principalement des Algonquins ...
AU MENU:
Fondue chinoise avec:_---_ Orignal
___---___---___---___---___ Perdrix
___---___---___---___---___ Crevettes
___---___---___---___---___ Boeuf
La technologie du cellulaire a encore des limites ...
Parfois, il faut se rapprocher de la fenêtre pour obtenir le signal ...
Voilà ma dernière image de la série « No Man's Land », que j'aie entamé ensemble avec Philippe Mahassen. C'était pour moi une expérience intéressante de savoir qu'un autre photographe bosse en même temps sur le même thème, et de voir qu'on remplisse le thème complètement différent !
J'invite tous les UPJ-stes – si intéressé – de reprendre le relais, seul ou en équipe, sur « No Man's Land ». Je serais curieux de voir ce que sa puisse donner !
J'ai choisi ce titre à l'improviste. Je n'y avait jamais consciemment travaillé dessus. Pour moi ce n'était pas évident de passer le message. Le dictionnaire Larousse dit entre autres : ‘Espace inoccupé compris entre les premières lignes de deux belligérants.'
Je me sentais plus attiré par la définition : ‘Zone laissée à l'abandon'. Cependant seulement photographier des terrains délaissés me semblait horrible, et j'ai essayé de me détacher un peu de cette définition, sans trahir son cÅ“ur. Alors que mon collègue Philippe a pris une grande liberté.
Il m'a vraiment plu de partager cette petite expérience avec un autre passionné de la photographie.
Scène du spectacle "Ça tourne" par Yeraz Compagnie au théâtre de 07 Vals-les-Bains
Le 11 et 12 avril 2012 j'ai publié deux images de la série "Black", qui a été coupé par la série "No Man's Land". Pendant ce temps j'ai continué de travailler sur Black, en pensant de reprendre cette série pour UPJ, mais cela n'est plus possible. Il y a un décalage entre les prises de vue et la photo du jour. Donc avec Black 40 j'arrête cette série pour UPJ. Il y aura quand même bientôt un livre photo grand format disponible (65€) et en automne une exposition sur ce sujet.