GE
"Philippe : nies-tu l'histoire du monde entier ?
Lorenzaccio : Je ne nie pas l'histoire, mais je n'y étais pas."
La tête de Lorenzaccio est mise à prix.
Désinhibée par un thé au chanvre, une grand-mère de 86 ans, surfe sur les avalanches qu'elle déclenche au-dessus de la tête de ses invités en proclamant :
-Il faut se dire la vérité !
Ce chien avait :
…une gouaille nasillarde, de brocanteur.
…un petit fond de vitalité, par sursaut, qui faisait que son allure empoussiérée, un peu sale passait au second plan.
…un air de cogneur, de mauvais garçon, un caractère bagarreur.
Il semblait :
…graveleux mais avec verve. Qu'est-ce que ça devait être dans ses jeunes années. Cochon avec démesure ?
…affectueux parce qu'en manque de caresses ?
Etait-il le miroir de son maître ?
Les vieux motards que jamais savent-ils qu'ils ont 26 fois plus de chance de se mettre sur le toit qu'un automodébiliste ?
La tendre tristesse de voir s'éloigner les rivages de l'adolescence se mêle à l'effrayante immensité de l'océan.
Mon texte du 19-04 a été écrit dans l'ignorance de la sortie de l'article de Télérama : "Arrière toute! la culture du DOUDOU!". Drôle de coïncidence!
Mais restera-t-il (l'été)?
présenté dans le cadre de l'expo annuelle
du groupe photo de Périgny-La Rochelle.
On compare le cancer à un crabe; c'est pire que cela, c'est comme une explosion nucléaire, ses pinces sont plutôt des radiations, traîtres , pénétrantes, qui finissent par agir sur les proches, même après la disparition du malade. Et beaucoup de nos problèmes actuels se répandent tels des radiations...
dans la cour intérieure de la bibli universitaire.
(artiste G Lhériteau)
En live à l'Electron Festival
attaque de la succursale de la banque Migros à Santa Fé, le 18 juin 2015, avec la Chica Nera, Big Bill Bronco, Joseph le Maigre et Emma la transparente.
les caisses étaient vides, mais chacun des bandits recevra 100 dollars de l'office du tourisme pour sa brillante prestation hebdomadaire subventionnée par la caisse de retraite des bandits mythiques
un taurillon, les tripes joyeusement pleines de cette fureur vivace qui m'emplit jusqu'aux cornes de ferveur, et je martèlerais le bitume des villes et la boue des plaines de mes sabots, secouant la pointe des piques qui veulent me contraindre et faisant résonner sauvagement les murs de ferraille des camions où on m'enfermerait...
[mais il est con ce mec !]
En étant penchés vers l'objet, le désir engendre le déséquilibre. Il en est tout autre du rêve.