GE
pas de photo aujourd'hui ... passé ma journée à classer les photos ... pas vu le temps passer ...
une bienvenue à vous tous le 27 ... afterwork au scandale ...rue de lausanne
bonne nuit !
Résultat un "Palais idéal".
Aujourd'hui on fait mieux:
on passe plus de temps devant la télé et l'ordi;
mais qu'en reste-t-il? De l'insaisissable.
Mon texte du 19-04 a été écrit dans l'ignorance de la sortie de l'article de Télérama : "Arrière toute! la culture du DOUDOU!". Drôle de coïncidence!
Mais restera-t-il (l'été)?
présenté dans le cadre de l'expo annuelle
du groupe photo de Périgny-La Rochelle.
On compare le cancer à un crabe; c'est pire que cela, c'est comme une explosion nucléaire, ses pinces sont plutôt des radiations, traîtres , pénétrantes, qui finissent par agir sur les proches, même après la disparition du malade. Et beaucoup de nos problèmes actuels se répandent tels des radiations...
L'informatique et la nature, une longue histoire d'amour.
[instant-de-geek ON]
Parce que je test mon nouveau filtre Hoya ND400.
20s à F11 à 50 ISO de plein jour, c'est génial.
[instant-de-geek OFF]
En live à l'Electron Festival
-Tu as tort de me parler comme ça.
-Mais enfin comment te faire comprendre que Monnet n'avait pas le sens de la lumière…
-Attention à la voiture.
-Tu m'écoutes ? Tu vois bien qu'il nous mène en bateau, Monnet
-Mais non, mais non tu confonds Monnet avec Manet.
-Merde le pain. On a oublié le pain.
-T'es nul
-Ouais vraiment, comme ce paysage à la con. C'est moche quand c'est trop jaune, trop bleu, trop beau…
(Extrait de : Je me suce l'index en lisant Beckett)
Quelques idées pour revivifier la ferveur religieuse :
-Fourrer les hosties de chocolat. (Les vieux chrétiens meurent, avec leur foi. Il faut donc remplacer cette population déclinante par des jeunes, cependant souvent désintéressés par le spirituel. Mais on doit s'opposer fermement à certains radicaux qui envisagent de truffer les hosties de psychotropes pour fidéliser une nouvelle clientèle.)
-Supprimer l'adoration du supplice. Décrocher Jésus de sa croix, le remettre sur pied, lui souhaiter bonne santé.
-Célébrer l'Amour ! Celui par lequel, Evêques, bouchers, pharmaciennes, militaires, photographes et fleuristes naissent.
-Ne plus culpabiliser d'avoir tué le fils de Dieu.
-Introduire le rire, la joie dans la liturgie.
"Philippe : nies-tu l'histoire du monde entier ?
Lorenzaccio : Je ne nie pas l'histoire, mais je n'y étais pas."
La tête de Lorenzaccio est mise à prix.
Désinhibée par un thé au chanvre, une grand-mère de 86 ans, surfe sur les avalanches qu'elle déclenche au-dessus de la tête de ses invités en proclamant :
-Il faut se dire la vérité !
Ce chien avait :
…une gouaille nasillarde, de brocanteur.
…un petit fond de vitalité, par sursaut, qui faisait que son allure empoussiérée, un peu sale passait au second plan.
…un air de cogneur, de mauvais garçon, un caractère bagarreur.
Il semblait :
…graveleux mais avec verve. Qu'est-ce que ça devait être dans ses jeunes années. Cochon avec démesure ?
…affectueux parce qu'en manque de caresses ?
Etait-il le miroir de son maître ?
à grands frais ils construisent des simulacres de paradis faits de nature mensongère dont ils excluent tous ce qui pourrait les effrayer: petites bêtes, mauvaises odeurs, humains malpolis - entre luxueux, ils peuvent alors se raconter qu'ils aiment la vie et se laisser croire qu'ils en tirent le meilleur - alors ils jouent à des jeux compétitifs avec de petites boules griffées, comme à la télévision, et peuvent ainsi continuer à penser comme dans les monopolys de luxe dont ils ne sortent jamais
attaque de la succursale de la banque Migros à Santa Fé, le 18 juin 2015, avec la Chica Nera, Big Bill Bronco, Joseph le Maigre et Emma la transparente.
les caisses étaient vides, mais chacun des bandits recevra 100 dollars de l'office du tourisme pour sa brillante prestation hebdomadaire subventionnée par la caisse de retraite des bandits mythiques
un taurillon, les tripes joyeusement pleines de cette fureur vivace qui m'emplit jusqu'aux cornes de ferveur, et je martèlerais le bitume des villes et la boue des plaines de mes sabots, secouant la pointe des piques qui veulent me contraindre et faisant résonner sauvagement les murs de ferraille des camions où on m'enfermerait...
[mais il est con ce mec !]