GE
un peu d'humour quand même :
"les distinctions c'est comme les bombes, elles tombent le plus souvent sur ceux qui ne les méritent pas".
Nous sommes tous des créatures de Dieu. Même celles qui chient sur les façades des temples qui le vénèrent.
Un théologien et un avocat, débordés par un débat d'idées, font jaillir la fougue de l'adolescence, après s'être mutuellement ébranlés les convictions.
Youuuuu ! youuu ! Hiiiii ! Hiiiiii ! Youuu ! Hi, hi !
Le public en transe est emporté par l'énergie phénoménale des Bubble Beatz qui arrachent des sons à des couvercles de poubelles, font couiner des enjoliveurs, hurler des tuyaux de chauffage, chuinter des chaînes sur des tôles…
Le vent ourle la peau du lac. Samedi soir. Une souris trotte dans le grenier, cherche probablement quelque chose à se mettre sous la dent. Max fume son cigarillos. Charles-Henri le sien. Il raconte. Les fleurs se dodelinent dans leur vase posé sur un djembé, mêlent leur haleine à la nôtre. Claire amène le tiramisu. L'esprit vif de Marguerite se faufile entre les verres, les fait tinter. On rit, écoute, boit et mange.
Entre les nuages de nos souvenirs et l'instant présent, tout le poids du monde sur les genoux de Philémon.
Un peu d'humour dans cette ville balafrée par les travaux et aux réseaux tracés sur le bitume palimpseste…
Vernisage expo photo "Weegee's New York"
BAC, rue des Vieux-Grenadiers
Expo du 4 septembre au 24 octobre
Mais pour le champagne et les ptits fours fallait venir au vernissage…
Il faut
Il faut que tes mains s'ouvrent comme ces torrents de lumières
Il faut
Il faut que les vents chantent dans tes cheveux
Il faut
Il faut que l'on retrouve ta terre, entière
Il faut
Il faut faire crier ta révolutionnaire voix
Il faut
Il faut
Tes mots
Ta paix vit en toi
Qu'en fais-tu?
Elle persiste comme l'hiver s'entête
Le savais-tu?
Quand le vent souffle ses éternelles complaintes
Pleures-tu devant sa beauté, toi?
Rs à RM
The strange story of the caterpillar and Romeo becoming Friends on…Butterfly Avenue!!
"Je suis un peu lasse
De n'entendre que ma voix
Mais mon cœur cherche toujours
Ma confiance est grande
Ma foi est présente
J'écoute au-delà des mots
…" RM à RS
…
« Partage-moi ton savoir
Et dis-moi un peu de tes mots
Il est vrai que la paix est grande
La frontière est un fil si fragile
Entre le passé et l'avenir
Mon présent m'appartient
Car je l'ai choisi…
Je pleure doucement
Dans la lumière des pierres
Car la peine si profonde de ma mère la terre
et le désespoir de voir l'homme
s'ignorer lui-même
Je puise en la force du présent
Car je prie avec force
et cette croyance si tenace
qu'un jour nous trouverons la véritable source… » RM à RS
En ce jour, Romain entre vraiment dans le monde des adultes, or doesn't he ?
J'attends la pluie avec impatience. Qu'elle remette ses chaussures de caoutchouc et qu'elle s'élance dans sa transe.
A 22 ans, je pensais qu'on ne rencontrait personne … aux Rencontres d'Arles. Plus maintenant.
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
Le timbre de la voix qui va pénétrer les corps, les sons qui dressent les corps et les secouent, la colère qui joue avec les corps, et les corps qui rient, les corps qui tiennent les autres corps, les corps qui se jettent dans le vide, les corps qui naviguent sur les mains tendues…
Même un homme immobilisé sur sa chaise roulante qui s'élève sur les corps et que les mains lèvent vers le son…
Cette nuit-là, je comprends que ce qu'ils appellent POLITIQUE est plus vrai quand ça sort des corps et des voix et des sons.
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
bref, ce 74-ième jour de ma vie - mais oui cher John ! - je décidai que je tenais debout, et je me levai dans le ciel bleu…
… au risque de servir de cible aux snipers
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
Ayant connu ce qu'ils appellent NAISSANCE, ce qu'ils appellent LUMIERE, MAL, ART, ce qu'ils appellent RELIGION, POLITIQUE, MUSIQUE…
Ce qu'ils appellent MOI, et SEXE et TENDRESSE …
Ouvert les yeux et connu que j'avais ainsi traversé les grands territoires de la vie.
Ai compris qu'il me restait encore un mystère, encore un érotisme, qu'il me restait encore !
Encore à penser, inventer, créer et traverser ma mort. Sous diverses formes, avec des douceurs et des violences variées…
Ô MORT, cerise sur le gâteau d'une vie !
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
MA MORT - ESSAI 1 - se perdre dans un territoire vierge, se recroqueviller d'épuisement, devenir terre
sacrifier ta pensée à l'admiration des autres, cacher ton corps derrière les déguisements, te laisser dérober ta réalité par une illusion et sans fin regarder grandir et grossir le mensonge qui a pris ta place
[voyage philosophique d'un angelot échappé des verts jardins de l'innocence - an introduction to evil]
LOVE, LOVE, LOVE
Ils aimeraient bien qu'on se taise
Mais on est encore là
La course aux vices dans leurs thèses
Mais on est toujours là
Nos joies accentues leur malaise
Mais on est encore là
Nos coeurs sont chauds comme la braise
Parce qu'on est toujours là.
Voler sans sentir d'autre vent que celui de la climatisation!
"Laissez-moi fuir la menteuse et criminelle illusion du bonheur ! Donnez-moi du travail, de la fatigue, de la douleur et de l'enthousiasme. " George Sand