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René Jullien virtuose de l'image numérique.
Entre Poulenc et Bartok, pour deux marimbas et piano : Les Aventures extraordinaires de Balthazar d'Yves Meylan.
Entre Berne et Genève, les aventures extraordinaires de Pierre sur son vélo électrique.
La vérité ? Quelle vérité ? Peut-être est-ce parce que nous ne supportons pas le vide que nous le remplissons de sens ?
…pensant tailler dans le gras de la journée une belle tranche de couleurs dégoulinantes pour la faire frire sur l'écran de mon HP, me voilà, nez en l'air, démuni sous un cerisier en fleurs, l'appareil photo en berne. Je vois alors un croissant de lune me faire signe à travers la neige des fleurs. Me dégage : un pas en arrière, et suspends la lune au bout d'une des branches de l'arbre. Et zip, c'est flou. Je recommence. Ajuste, me reprends. Je la tiens ! Elle se balance. Je déclenche, jubile et baisse la garde en lui disant : « Je t'ai eue ! Je t'ai accrochée à la branche du cerisier ! ». A ce moment même, entre …isier et le point d'exclamation, entre la lune et la cime de l'arbre, entre la pulsation d'un instant et celui qu'il faut au suivant pour reprendre son souffle, glisse dans ces entre-deux, avec ses ailes en lame de couteau, un héron cendré silencieux.
Le regard embué par les vapeurs fumantes du génocide hormonal que subissent neuf sexagénaires sur dix, X (un ami proche, père de famille dévoué) me raconte sa rencontre avec une jeune Lilith dans un club sado maso New Yorkais alors qu'il y accompagnait, par curiosité désinvolte, son fils et quelques uns de ses amis.
« Une jeune et belle femme voit mon appareil autour du cou et me demande si ça me ferait plaisir qu'elle pose nue pour moi. Mon instinct de photographe ne fait qu'un tour sur lui-même, me fait dire oui.
Depuis que X m'a raconté cette histoire, attestée par une image de cette belle Lilith, je ne quitte plus mon Canon que je fait pendre autour de mon cou comme une cloche de vache…
Râcler sa truffe contre les angles humides des immeubles, battre de la queue quand un sucre vous est promis, chier sans vergogne, pisser en même temps, n'importe où, n'importe quand, mordre les gens en uniformes, s'étaler de tous ses poils sur un trottoir aux pieds d'une prostituée et regarder vibrer la lumière dans les diamants de ses chaussures – oui, j'envie parfois la vie des chiens.
« Cent mille peut-être… j'en sais rien mais j'photographie tout ce que je vois… mon fils après stock mes images sur des disques… ce que j'aime, c'est prendre des images avec mon téléphone…. j'adore photographier ma voiture… au boulot, tu sais bien, je suis chauffeur… quand j'roule je fais plein de photos… j'aime ça… salut ! »
They flew free because the sexy, gorgeous, and cool Eyjafjallajokull spat its ash and dust all out and paralyzed other air travel for a time. Mamma Nature's self-defense?
« Quand on connaît nos fragilités, on est déjà plus fort!» C. Bouchard (Photographe)
"Our language has wisely sensed the two sides of being alone. It has created the word loneliness to express the pain of being alone. And it has created the word solitude to express the glory of being alone." P. Tillich
Le leader de la production de cuivre au Mexique vient chercher des capitaux à Genève
Vraie boutonnière ou pas ? Laisser le premier bouton ouvert pour marquer le coup ? J'en perds le mode d'emploi de mon flash.
Chez Rezo, on m'a appris qu'il faut regarder dans l'objectif par dessous.
Gil donne des cours de photo dans un pénitencier. Une expérience forte qui pourrait donner lieu à une expo qui le serait tout autant s'il parvient à convaincre l'administration du canton…
On peut bien t'appeler
"petit oiseau du Bon Dieu"
Mésange enjouée !
Belleville est un quartier de Paris très coloré. Dans tous les sens du terme…
Envie de quoi ? De fumer, de faire l'amour sur la table, de pisser dessus ? Non, ouvrir un Livret d'Épargne ! Les publicitaires nous prennent vraiment pour des cons à récupérer jusqu'à nos pulsions…
Elles parlent la même langue et n'ont pas le même langage vestimentaire … code mode!