GE - Une photo par jour
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La bise fait rage

Je regarde le large
Rêverie du jour
J'écoute la mer dans les coquillages.

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Dans un bleu profond toucher au zénith de sa Vie

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Elle ne se lasse pas…

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rien d'autre

qu'une journée dévorée par le temps

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I LOVE le chocolat

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quel funèbre décor!

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géométrie d'un corps convexe

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"Ouvrir Ici"

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"Côte à Côte"

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"Blasé en Situation"

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"Et Mon Appareil Pris Feu."

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une vision du Paradis,

mais déjà un diable s'approche…

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Attention çà va dégainer…les poissons n'ont plus qu'à passer

au large, si leur vision n'est pas éblouie par l'abondant soleil…

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Que de monde!

on dirait même que le TGV veut s'inviter sur le quai!!

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c'est la rentrée des maçons ,

mais on reste peu expansif!

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Festival de Sablé sur Sarthe,

le "jardin secret" après le concert d'ouverture donné par un ensemble franco-turc; le Directeur du festival (en sombre) mène les échanges avec le public avec humour.

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La tentation du clavecin….

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Les toilettes d'un Café munies d'une baignoire!

Rare mais très ancien…La campagne française est très conservatrice!

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Choulex - 18 heures 58

D'une fleur cueillie à l'autre offerte
l'inexprimable rien.


Giuseppe Ungaretti

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Carre d'Aval - 13 heures 24

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Bienne - 12 heures 13

L'historiette de l'image. Une histoire triste, bien sûr, qui finit mal :

Vendredi Saint.

San Lorenzo Tezonco est un quartier situé au sud ouest de la périphérie de Mexico city. C'est une région parsemée de zones industrielles et de cités-dortoirs, peuplées de pendulaires chassés du centre ville par la spéculation immobilière. Le caractère villageois de San Lorenzo, pourtant, semble résister à la pression urbaine et c'est toujours aux abords immédiats de l'église que se déroulent les fêtes et les célébrations, entremêlements de rites préhispaniques et de catholicisme. De toutes les fêtes religieuses - avec le jour des morts, en novembre - ce sont les festivités pascales qui drainent le plus vaste public.

Cent cinquante acteurs du quartier et des alentours sont mobilisés. Un âne, vingt chevaux et une quarantaine d'enfants de dix ans complètent le tableau. Chacun s'occupe de sa tenue - à ses propres frais, pour les seconds rôles. D'anciennes familles, la paroisse et certains commerçants soutiennent la fête - en espèce, en nourriture, en vêtements - pour lui assurer sa pérennité. La commune met à disposition le matériel de sonorisation, se charge du transport de l'âne, offre des oranges et de l'eau à tous les participants.

C'est en septembre de chaque année, lors de la messe dominicale, que le curé recrute pour les prochaines célébrations. Les volontaires se retrouveront plusieurs fois par semaine pour faire des essais de voix, se voir attribuer un rôle, si ce n'est un avancement pour les figurants de l'an passé. Il faut être vierge pour être Marie, avoir un physique imposant pour être bourreau, bien retenir son texte et le dire d'une voix claire pour incarner Ponce Pilate. Le rôle principal ne peut-être attribué que trois fois de suite - exception faite pour Fernando, qui cette année, a dû remplacer au pied levé le Jésus choisi par le comité.

N'est pas Jésus qui veut. Le rôle est exigeant : il faudra traîner une croix de bois de plus de cent kilos sur plusieurs kilomètres. Etre capable d'endurer les coups : des lanières découpées dans des chambres à air cinglent le dos de l'acteur. Mais ces qualités valent bien peu si le candidat n'a pas une taille, un physique avantageux et un système pileux fourni (chauves et protestants s'abstenir). Il doit avoir entre 22 et 35 ans. Au final, c'est une moralité exemplaire exempte de vices qui fera du postulant l'élu. Le comité d'organisation reste intransigeant sur ce dernier point.

Vendredi Saint : Fernando n'a pas mangé, ni bu. Il est incarcéré dans une petite chapelle attenante à l'église avec pour seule compagnie son double en fibre de verre. Ce Christ grandeur nature semble apitoyé par le sort réservé à Fernando. Le public défile devant la cellule gardée par deux légionnaires adolescents, chaussé pour l'un d'une paire de Nike à la place de sandales, dérive qui fait rager les anciens du comité, mais qui n'altère en rien l'aplomb du soldat. Vers midi, on traîne brutalement Fernando, enchaîné, sur l'esplanade, devant l'église.

Ils lui ôtèrent ses vêtements, et le couvrirent d'un manteau écarlate. Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant: Salut, roi des Juifs! Et ils crachaient contre lui, prenaient le roseau, et frappaient sur sa tête. Après s'être ainsi moqués de lui, ils lui ôtèrent le manteau, lui remirent ses vêtements, et l'emmenèrent pour le crucifier.

Matthieu (27 :21)




Le cortège se met en route, un tambour bat la cadence, lugubre. Tout au long du parcours le public est contenu par des cordes et un service d'ordre efficace. Beaucoup se signent au passage de la procession. L'émotion est à son comble. On pleure. Fernando s'épuise, s'effondre. On ne sait plus si le réel déborde le récit, si c'était écrit qu'il doive s'effondrer, ou si c'est parce qu'il s'effondre que c'est écrit. Jésus écrasé par sa croix, est plaqué sur le goudron brûlant, on aimerait l'aider, du moins aider Fernando, épuisé par sa charge, exténué par son rôle. Le cortège redémarre de manière inattendue, les fouets claquent, certains figurants renâclent, le public se mêle au cortège, on crie, un cheval sans cavalier passe au galop…

Trois mille personnes sont massées devant le Golgotha de San Lorenzo. Fernando, recru de fatigue, mort de soif, est couché à plat ventre dans la poussière au sommet de la butte. La tension est retombée. Moment de flottement, de relâchement. Les figurants boivent, sucent les quartiers d'orange offerts par la commune. La sonorisation tombe en panne. Les apôtres et une kyrielle de jeunes vierges se regroupent en prières autour de Marie en larmes. Les marchands ambulants sillonnent la foule qui se protège du soleil, ça et là, sous des parapluies. La sonorisation, crépite, crachote et fonctionne à nouveau. A ce signal, une quinzaine de jeunes soldats vigoureux dresse la croix sur laquelle est crucifié Jésus mais au moment où la croix s'enfonce d'un coup sec dans son logement, le socle sur lequel repose Fernando se décloue. Suspendu par les bras en croix, la douleur le fait s'arc-bouter. Une clameur immense monte de la foule. Il est soutenu par la plante des pieds par des dizaines de mains pendant que d'autres reclouent le support.

Après les Sept Paroles prononcées et le coup de lance fatal, Fernando perd connaissance. Deux ambulanciers en faction se frayent un chemin entre les acteurs et plaquent rapidement une échelle en aluminium contre la croix. On descend Fernando en douceur à l'aide de longues pièces de tissu blanc passées sous les aisselles. Il est déposé sur un brancard pour y être ranimé.

Au même instant, à Ixtapalapa, à quelques kilomètres de San Lorenzo, un million de personnes assistent mots pour mots, au même scénario. Ce haut lieu de la célébration Pascale attire des mexicains de tout le pays, des touristes étrangers de passage et éclipse par son gigantisme toutes les autres mises en croix - qui sont florès au Mexique. Cette année la procession la plus médiatisée du pays à failli dégénérer en affrontement avec les forces de l'ordre : la légion romaine s'est vu empêcher l'accès au Calvaire par la police mexicaine qui tentait, sans distinguer les acteurs des spectateurs, de refouler la foule agglutinée aux pieds sanglants du fils de Dieu.

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Choulex - 21 heures 46

…et pendant ce temps l'orage éclatait.

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Genève - 10 heures 26

Isabelle en star-conchita sous les feux de la rampe.

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Calvingrad - 21 heures 21

Louable et intelligente tentative de rendre Calvin plus humain, Calvin dont on fête la naissance il y a 500 ans, Calvin l'intransigeant, Calvin père de l'économie moderne capitaliste, celui par qui la place financière genevoise a pu déployer ses ailes et conquérir l'Amérique. Promoteur génial de la notion de culpabilité/responsabilité - sans aucun doute terreau de la psychanalyse moderne. Pourtant Calvin se meurt, sa doctrine avec lui. Son héritage n'est plus que pièces de théâtre, livres commémoratifs et colloques studieux. Mais Calvin reviendra. C'est sûr ! Calvin qui n'est peut-être pour l'instant qu'un enfant innocent et travailleur - trouvera dans son époque de quoi alimenter le feu de sa foi et rallumer les bûchers.

A Islamabad ?
Dans l'Arkansas ?
A Lausanne ?
A Pékin ?

C'est pour cette raison qu'il faut soutenir les pompiers, mettre des extincteurs dans les bibliothèques et faire lire Darwin aux créationnistes.

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Genève - 13 heures 20

Kamasutra - page 42

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Entre Genève et Nyon…

… il y aurait une plage déserte ?

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Nyon

King not dead

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Nyon

L'orage menaçant, je cherchais à capter la lumière du ciel. C'est à mes pieds qu'elle fut.

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Genève

Le snapshoot avec rencontre préalable, bonheur du photographe.

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Genève

C'est bien à 20 ans que l'on devient adulte ?

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Genève

Safer Sax on the beach (www.safersax.com)

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Genève

Parfois, je cherche une justification en guise d'invitation à la pose. Je lui dis qu'elle a de beaux yeux et je rajoute "si je peux me permettre". Une porte s'ouvre et je m'enfuis.

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pot à fleurs

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I was a nice young man

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intimité de la productivité, de l'hygiène et de l'ordre

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pieds dans l'herbe

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le serpent est maléfique

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sans titre

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Lausanne

Maturité, Jour - 1

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Genève

Maturité, jour + 1 !!
Plus qu'à attendre les résultats…

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Feu…

Quand la pleine nuit… les feux de camp s'allument…
nos regards s'illuminent sur les flammmes du désir !

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Ping-pong…pong-ping…!

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Chrysalides… moules… ou papillons ?

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Nyon !

Après la chaleur…. la fraicheur et son lot d'humidité !

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Entre Nantes et Pornic !

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En voiture…!

Relax côté passagé !

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Ecoutes … des marins pêcheurs…!

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Sciez

Je n'ai pas besoin de grandes-personnes, ô allez, vas-y, sonne!

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Buis

Le gamin qui fait d'une gouille un océan et d'un bouquet de noisetiers son comptoir colonial se fout bien de qu'il en sera demain, et les courants d'air frais, et les ombres accueillantes remuent toujours un peu ce farniente vif et involontaire de l'enfance.

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Charmilles

Un changement de selle ravive, à la monture comme au cavalier, le goût des grands vents et des espaces à franchir!

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Vautier

Une rencontre et les choses se déplient et les affaires roulent.

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Lausanne

Je traine souvent, peut-être trop souvent (mais ici ce genre d'appréciation reste insensée), la nostalgie grisante des promenades perdues, la nuit autour de la station Irigoyen dans Barracas al Sur, des fumerolles qui se trainent comme des élans ratés, de la voix du Polaco, éreintée, et de ces nuits qui n'en finissent pas ou ne commencent peut-être réellement jamais.

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Abraham Gevray

Un photographe qui parcourt la terre entière, publie ses pérégrinations, mondanise ses sorties, ne perd pas une miette de ses doutes!

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Jour du poisson - 26

Et revoilà le refrain, j'allais dire la rengaine si ce mot ne comportait pas l'idée de rangement, ne serait-ce que d'un colt, du vendredi depuis le 6 mars dernier.

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Passer le temps

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Cousine dans la forêt de ses ancêtres

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Au commencement

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Ile Rousseau

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19h15, quand l'Ombre se fond au mur.

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Sismondi

Accrochée à la gouttière avec les orteils juste pour prendre cette photo…

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Titop

Avec ses parents, sur un bateau de fortune, elle vend quelques fruits aux touristes dont elle accoste la jonque…

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Lao Cai

Le pont routier à la frontière de Lao Cai-Hekou qui sépare le Yunnan chinois et le nord Vietnam. Le trafic y est intense et les moyens de transport les plus divers…

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Hanoï

L'inextricable réseau électrique qui parcourt les rues de Hanoï. À la saison des pluies, les incidents sont nombreux et les incendies fréquents…

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Tong

Les murs de Hanoï sont recouverts de ces inscriptions que j'ai mis du temps à comprendre. Il s'agit en fait de numéro de téléphone de petits entrepreneurs qui proposent leurs services pour de menus travaux…

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Quan Thanh

Culte bouddhiste Mahayana qui, entre autres particularités, vénère les “bodhisattvas”, des êtres qui ayant déjà atteint l'illumination et qui pourraient prétendre au nirvana préfèrent rester pour soutenir les fidèles dans leur quête…

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Deux roues

Hanoï, 5 millions d'habitants, 1 million de motos. Et la photo n'a pas été prise à l'heure de pointe…

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Rouge

La visite au mausolée de l'oncle Hô, comme tous les vietnamiens appellent affectueusement Hô Chi Minh. D'anciens combattants, dont certains très handicapés, arborent leurs décorations dans un recueillement quasi-religieux.

On ne peut visiter ce pays sans songer au conflit nord/sud dévastateur qui a pris fin en 1975. Traces et cicatrices y sont partout présentes.

Plus de 3 millions d'américains ont servi au Vietnam pendant la guerre et 60.000 y sont morts. 3689 avions et 4857 hélicoptères ont été détruits. Dans les rangs de l'armée nord Vietnamienne et du Viet-Cong on estime qu'il y eu plus d'un million de morts, ainsi que 4 millions de civils du nord (10% de la population) tués ou blessés du fait des bombardements.

Il reste entre 500.000 et 800.000 tonnes de bombes non explosées dans le pays (soit entre 6 et 10 kilos d'explosif par habitant !) qui ont causé le mort de 38.849 personnes et fait 65.852 blessés depuis la fin de la guerre…

Vietnam pays héroïque, quoi qu'on puisse penser du système politique en place. Et héroïques parmi les héroïques, les femmes vietnamiennes qui assument les tâches les plus pénibles sans aucune contrepartie de pouvoir, les hommes ayant accaparé tous les postes importants. Elles cassent les pierres sur les chantiers, travaillent au champs et portent de lourdes palanches avec bonne humeur, sans oublier leur rôle important dans la guérilla contre les américains. Bien des mâles occidentaux ne pourraient rivaliser sur le plan du courage ou de la résistance à l'effort avec elles…

La femme est l'avenir du Vietnam.

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Harandane

Il pile le mile à Kalabougou, Ségou

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Le Sida

C'est une réalité!

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Une route plastiquer

A Bamako…

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En famille

Bamako….

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Sensibilisation

Un des panneaux au bureau de l'UNICEF Mali

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Bamako

A l'ACI 2000

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Chez Papa

A Bamako

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Muses De La Pluie


Je veux être la source où tu auras bu
À la fois pure et crue
M'échoir dans le creux de tes mains
Et fondre contre la chaleur de tes seins
Ta perpétuelle volupté enlace mon corps
Arrose mes douleurs de tes propres pleurs
Pour assouvir les désirs et les songes de mon cœur

Tard à l'aube ou tôt la nuit
Je cherche les muses de la nuit

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Wind Speaker

" Doesn't matter very much which wind is blowing, you just need to feed DjuWedenshuu with meat in the fire. DjuWedenshuu is the boss of the winds. It is Djuwedenshuu that tells me what I will catch, It gives me the animals. Djuwedenshuu is just a human being, who is hard for us to see. In the old days, Indians saw the North Wind." Interviews with William Saganash (1969), Harvey Feit, as translated by Eva Ottereyes

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Visite Nocturne