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La Cigogne claquette ou craquette…?
Qu'importe … elles sont toujours là pour nous apporter d'heureuses nouvelles …!
Couché de Soleil au Bord de l'île depuis la fenêtre.
se sont abattues en même temps sur le début
de la cérémonie funéraire de Mickaël Jackson!
Heureusement que je me campronnais à la moquette!
Michel Piquemal modèle les phrases musicales dans la matière ductile du Grand Choeur de l'Abbaye aux Dames de Saintes. Yaroslava Dautry-Shevlyuga l'accompagne au sommet de la tension émotionnelle.
de Marie-Rose Lortet visibles à Niort tout l'été.
Les sculptures textiles de cette artiste (présente d'autre part au Musée de l'Art Brut de Lausanne)
se sentent à l'aise dans une région riche en Art Brut.
ici aussi on sort la dernière création, une sorte de défilé de haute couture à plusieurs centaines de milliers d'euros…
Faudrait aussi leur interdire le restaurant. C'est à cause d'eux qu'augmentent les primes maladie, ils ont du diabète, font fréquemment des accidents cardiovasculaires, et ça coûte cher à la collectivité. En plus c'est obscène un obèse, ça mange la bouffe des pauvres.
Avec Nico, ça fonce, on parle pendant qu'on mange, on avale en respirant, vite, on s'épuise en récupérant, on se marre en photographiant… et déjà on est plus loin, tout étonné qu'il soit déjà 5 heures et quart.
Elle suçait ses radicelles avec la ferveur d'une mystique qui redécouvre la vraie vie après s'être échappée d'un couvent. Il lui caressait le feuillage en lui murmurant des mots qu'elle ne connaissait pas. Qui se gravaient dans sa chair. Lui, étendaient ses bras au ciel en lui promettant de le retenir pour elle. Ils s'offraient l'un à l'autre l'abandon.
Mettre des gants s'impose parfois pour immortaliser les amis de Nan Goldin.
Je retourne sur la tombe de mes grands-parents et lance une bouteille à la mer pour retrouver mon oncle. Les voisins… peut-être ?
Au début des années 80,je trouvais le terme de "Rencontres" totalement usurpé pour les journées de la photographie. J'avais l'impression que le rapport entre spectateurs et photographes se vivait au singulier. Aujourd'hui, les Rencontres sont au rendez-vous en Arles.
J'aime cette idée de connaître l'heure où nous irons en enfer pour cause de bière périmée
Et j'aime toujours à me moquer de ses dessous de table qu'elle entretient à la perfection comme si elle craignait un soudain tremblement de terre qui nous fasse rouler et nous contraigne à terminer là le repas.
On ne pense que trop rarement que les mains des musiciens, et des plus grands, leur servent aussi à manger, à se protéger du soleil, à esquiver une grimace, à caresser, à laisser venir précisément ce qui va finir en musique.
Je crois encore parfois pouvoir lutter contre la marée, menacer la pluie ou protester encore contre les nuits de lune noire, mais elle, elle ne fait que s'amuser des nuages.
Aujourd'hui, comme parfois, c'est les images d'hier qui s'imposent, les premiers voyages à partir desquels on commence à ne jamais revenir.
Comme tous les vendredi depuis la promesse du 6 mars dernier et même aujourd'hui lendemain de chute!
Repos imposé aux heures longues de la grisaille luttant contre le ciel d'été.
Je jouais avec lui, et ne me doutais pas
Que la fée qui berça d'amour et de confiance
De douceurs, de mots doux, de soleil et de joie
Ma vie, de mon enfance à mon adolescence,
Etait partie déjà, laissant ce monde là
D'un adieu déchirant et sans un mot d'espoir
Partie en coup de vent jusqu'à son au-delà
Abandonnant ici ses raisons, ses sourires,
Ses rêves et son amour,
Sans pensée de retour.
Aujourd'hui, je suis maman. Je me suis perdue dans les bois, j'ai endormis un enfant en faisant de la poussette-cross, et j'ai vu un grand cheval noir apparaître entre les troncs lumineux et passer lentement à côté de nous.
Tout à l'heure ils viendront me chercher, j'ai vu mes parents pleurer,
Mais je ne ressent pas son absence.
Aucune cellule de mon corps ne me confirme qu'elle est partie. Comment le croire? Elle est si vivante! Je vois son sourire, je sens ses caresses, j'entends sa voix.
Je cherche son visage dans les nuages qui passent, là où sont ceux des gens qui sont morts, mais le sien n'y est pas.
Elle est encore là, je vous le jure!
Je ne comprend pas.
Aujourd'hui, il paraît que je suis orpheline.
La rouille de la contre-culture des années 60 et de la génération hippie…
Après un échange bruyant de noms d'oiseaux, ils décidèrent de se séparer…
Dans un chalet isolé en montagne, entre les sapins les vaches et ses lapins lunatiques, Céline, une petite fille aux yeux vifs et pétillants construit son rêve et redistribue l'espace de sa maison.
Et ce fut au matin,
Dans l'ode du silence
Une neige sur les dieux des montagnes
beauté
choix
meilleur
perfection
femelle
force
bouquet
cadeau
sentimental
romanesque
fraîcheur
fleur exotique
elle sauvage, fleur de peau